Lettre n° 689
Par la grâce de D.ieu,
23 Mena’hem Av 5710,
Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav D.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat Na’hamou, m’annonçant que vous vous êtes installé et avez trouvé un poste convenable.
Je vous remercie de cette bonne nouvelle. Puisse D.ieu faire que vous n’annonciez toujours que de bonnes nouvelles, de vous-même et de tout votre entourage.
Le Rambam, lois des opinions 6, 1, explique que, par nature, l’homme adopte les idées et les comportements de son entourage et de ses amis. C’est la raison pour laquelle il doit se lier aux Justes et se trouver auprès des Sages.
Il fait ainsi allusion à l’homme qui reçoit ce que les autres lui donne, ce qui est bien le cas dans un premier temps. Mais, par la suite, il doit donner à son tour, comme le demande mon beau-père, le Rabbi, dans la causerie qui se trouve dans le fascicule édité à l’occasion du 12 Tamouz 5710(2), au paragraphe 3: "Vivez vous-même et apportez la vie aux autres".
Il nous est demandé d’accomplir tout cela et nous en possédons assurément les forces. En faisant preuve de détermination, chacun d’entre nous éclairera son entourage. Et il n’est de lumière que celle de la Torah et des Mitsvot, ainsi qu’il est dit: "La Mitsva est une bougie et la Torah, une lumière".
En vous bénissant et en vous saluant,
Rav Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav David Hilman.
(2) Sefer Hamaamarim 5710, page 262.
23 Mena’hem Av 5710,
Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav D.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat Na’hamou, m’annonçant que vous vous êtes installé et avez trouvé un poste convenable.
Je vous remercie de cette bonne nouvelle. Puisse D.ieu faire que vous n’annonciez toujours que de bonnes nouvelles, de vous-même et de tout votre entourage.
Le Rambam, lois des opinions 6, 1, explique que, par nature, l’homme adopte les idées et les comportements de son entourage et de ses amis. C’est la raison pour laquelle il doit se lier aux Justes et se trouver auprès des Sages.
Il fait ainsi allusion à l’homme qui reçoit ce que les autres lui donne, ce qui est bien le cas dans un premier temps. Mais, par la suite, il doit donner à son tour, comme le demande mon beau-père, le Rabbi, dans la causerie qui se trouve dans le fascicule édité à l’occasion du 12 Tamouz 5710(2), au paragraphe 3: "Vivez vous-même et apportez la vie aux autres".
Il nous est demandé d’accomplir tout cela et nous en possédons assurément les forces. En faisant preuve de détermination, chacun d’entre nous éclairera son entourage. Et il n’est de lumière que celle de la Torah et des Mitsvot, ainsi qu’il est dit: "La Mitsva est une bougie et la Torah, une lumière".
En vous bénissant et en vous saluant,
Rav Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav David Hilman.
(2) Sefer Hamaamarim 5710, page 262.