Lettre n° 6891

Par la grâce de D.ieu,
16 Sivan 5719,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

J’ai bien reçu votre lettre du 11 Sivan, qui me demandait une bénédiction pour ce jeune garçon. En un moment propice, je mentionnerai son nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’il obtienne la satisfaction de ses besoins, en fonction de ce que vous écrivez.

De la manière dont vous décrivez sa situation, on peut penser que, si on lui confiait une activité qu’il pouvait diriger, dans laquelle il guiderait les autres, par exemple des après-midi récréatives du Chabbat pour des petits garçons ayant quelques années de moins que lui, il acquérrait de l’assurance et de la fermeté. En effet, il constaterait sa réussite, verrait qu’on l’écoute et qu’on le suit. On peut penser que, grâce à cette évolution, plusieurs troubles disparaîtront d’eux-mêmes. Il y a sûrement plusieurs possibilités, plusieurs manières d’organiser un groupe pour cette activité et pour l’attirer afin qu’il accepte de le diriger. En agissant par les voies de la nature, on forge un réceptacle afin de recevoir les bénédictions de D.ieu, d’une façon surnaturelle.

Vous trouverez sûrement les mots qui conviennent pour expliquer à ses parents que tout ajout à la pratique de la Torah et des Mitsvot est aussi un ajout aux bénédictions que D.ieu accorde, en tout ce qui convient à l’homme et à sa famille. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,