Lettre n° 6915
Par la grâce de D.ieu,
2 Tamouz 5719,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva Tom’heï Temimim
de Lod, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, de diverses sources, des informations selon lesquelles des élèves et des jeunes gens ont demandé à être intégrés à la Yechiva Tom’heï Temimim et n’ont pu être reçus, du fait du manque de place. Je ne sais pas jusqu’à quel point cela est exact. Si c’est bien le cas, la raison invoquée a pu être un prétexte ou bien peut-être y a-t-il eu une autre motivation.
En tout état de cause, le but de la présente est de formuler la remarque suivante. Si cette raison est exacte, il est clair qu’elle n’a pas lieu d’être. Même si, concrètement, il n’y a pas de place pour ces élèves, un immense effort est nécessaire, en la matière. Il me semble avoir dit plusieurs fois qu’à notre époque, un élève demandant à être reçu dans une institution doit être considéré avec le plus grand empressement. De fait, en tout endroit, en particulier en Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, si l’on ne mène pas rapidement une réflexion sur cette question, en lui accordant toute l’attention qu’elle mérite, on peut envisager que ces élèves soient très rapidement intégrés à une autre institution, qui ne leur conviendra pas. Il est, bien entendu, inutile d’en dire plus. Compte tenu de l’importance de l’enjeu, cette lettre vous est adressée en express et j’attends de bonnes nouvelles.
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
2 Tamouz 5719,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la Yechiva Tom’heï Temimim
de Lod, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, de diverses sources, des informations selon lesquelles des élèves et des jeunes gens ont demandé à être intégrés à la Yechiva Tom’heï Temimim et n’ont pu être reçus, du fait du manque de place. Je ne sais pas jusqu’à quel point cela est exact. Si c’est bien le cas, la raison invoquée a pu être un prétexte ou bien peut-être y a-t-il eu une autre motivation.
En tout état de cause, le but de la présente est de formuler la remarque suivante. Si cette raison est exacte, il est clair qu’elle n’a pas lieu d’être. Même si, concrètement, il n’y a pas de place pour ces élèves, un immense effort est nécessaire, en la matière. Il me semble avoir dit plusieurs fois qu’à notre époque, un élève demandant à être reçu dans une institution doit être considéré avec le plus grand empressement. De fait, en tout endroit, en particulier en Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, si l’on ne mène pas rapidement une réflexion sur cette question, en lui accordant toute l’attention qu’elle mérite, on peut envisager que ces élèves soient très rapidement intégrés à une autre institution, qui ne leur conviendra pas. Il est, bien entendu, inutile d’en dire plus. Compte tenu de l’importance de l’enjeu, cette lettre vous est adressée en express et j’attends de bonnes nouvelles.
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,