Lettre n° 6918
Par la grâce de D.ieu,
3 Tamouz 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Chimeon(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre dans laquelle vous me demandez comment écrire l’unité de la nouvelle année(2), avec un Kaf ordinaire ou bien avec un Kaf final. J’ai n’ai pas reçu d’instruction, à ce sujet, mais la coutume juive, partie intégrante de la Torah, en la matière, si l’on consulte les références indiquées par le Tour et le Choul’han Arou’h, de même que ceux qui figurent sur les pages(3), a toujours été l’usage d’un Kaf ordinaire(4).
Pour l’heure, je n’ai pas trouvé d’exception à cette règle. Dans les années passées, de nombreux imprimeurs étaient des érudits de la Torah et la publication de livres se faisait toujours avec l’accord des Rabbanim. Or, en tous les textes que j’ai pu voir, c’est bien ainsi que l’on procède. Vous consulterez les traités Chabbat 104a, Meguila 2b, se demandant quelle est la forme la plus courante de cette lettre. Vous verrez aussi le Likouteï Torah du Ari Zal, au début de la Parchat ‘Hayé Sarah. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de vos réalisations communautaires et de vos accomplissements personnels, les uns dépendant des autres, de même qu’en vous souhaitant une bonne fête de la libération(5),
Notes
(1) Le Rav C. Glitsenstein, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°213*.
(2) Le Kaf de Tav Chin Kaf, 5720.
(3) Des différents livres.
(4) Voir aussi, à ce sujet, le recueil Yagdil Torah, publié à Jérusalem, numéro 11, dans les pages 19 à 21.
(5) Du précédent Rabbi, le 12 Tamouz.
3 Tamouz 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Chimeon(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre dans laquelle vous me demandez comment écrire l’unité de la nouvelle année(2), avec un Kaf ordinaire ou bien avec un Kaf final. J’ai n’ai pas reçu d’instruction, à ce sujet, mais la coutume juive, partie intégrante de la Torah, en la matière, si l’on consulte les références indiquées par le Tour et le Choul’han Arou’h, de même que ceux qui figurent sur les pages(3), a toujours été l’usage d’un Kaf ordinaire(4).
Pour l’heure, je n’ai pas trouvé d’exception à cette règle. Dans les années passées, de nombreux imprimeurs étaient des érudits de la Torah et la publication de livres se faisait toujours avec l’accord des Rabbanim. Or, en tous les textes que j’ai pu voir, c’est bien ainsi que l’on procède. Vous consulterez les traités Chabbat 104a, Meguila 2b, se demandant quelle est la forme la plus courante de cette lettre. Vous verrez aussi le Likouteï Torah du Ari Zal, au début de la Parchat ‘Hayé Sarah. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de vos réalisations communautaires et de vos accomplissements personnels, les uns dépendant des autres, de même qu’en vous souhaitant une bonne fête de la libération(5),
Notes
(1) Le Rav C. Glitsenstein, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°213*.
(2) Le Kaf de Tav Chin Kaf, 5720.
(3) Des différents livres.
(4) Voir aussi, à ce sujet, le recueil Yagdil Torah, publié à Jérusalem, numéro 11, dans les pages 19 à 21.
(5) Du précédent Rabbi, le 12 Tamouz.