Lettre n° 6941
[17 Tamouz 5719]
J’ai bien reçu votre lettre du 15 Tamouz, avec ce qui y était joint. Vous comprendrez à quel point je suis étonné et surpris de constater que vous ne me dites pas un mot du contenu de la réunion ‘hassidique, qui a eu lieu à l’occasion de la fête de la libération des 12 et 13 Tamouz. Si le directeur général de la Yechiva Tom’heï Temimim de tout le pays ne juge pas bon de mentionner ce qui s’est passé, que feront ceux qui ont une situation inférieure à la vôtre ? C’est bien évident.
Cela est surprenant, car, trente deux ans après les miracles et la délivrance, il est nécessaire de rappeler ce qui s’est passé, même si l’on peut trouver une explication et un prétexte en se disant qu’il ne sert à rien d’en rendre des comptes, pourvu que cela se fasse. Or, on peut observer concrètement, comme je l’ai écrit à plusieurs ‘Hassidim, que la nécessité de rendre compte à quelqu’un de ce qui a été fait ajoute de l’enthousiasme à l’action. C’est bien évident. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles, d’un bien visible et tangible et cette période se transformera prochainement en joie et en allégresse. Alors, s’accomplira la promesse selon laquelle nous aurons “ un héritage sans limite ”.
J’ai bien reçu votre lettre du 15 Tamouz, avec ce qui y était joint. Vous comprendrez à quel point je suis étonné et surpris de constater que vous ne me dites pas un mot du contenu de la réunion ‘hassidique, qui a eu lieu à l’occasion de la fête de la libération des 12 et 13 Tamouz. Si le directeur général de la Yechiva Tom’heï Temimim de tout le pays ne juge pas bon de mentionner ce qui s’est passé, que feront ceux qui ont une situation inférieure à la vôtre ? C’est bien évident.
Cela est surprenant, car, trente deux ans après les miracles et la délivrance, il est nécessaire de rappeler ce qui s’est passé, même si l’on peut trouver une explication et un prétexte en se disant qu’il ne sert à rien d’en rendre des comptes, pourvu que cela se fasse. Or, on peut observer concrètement, comme je l’ai écrit à plusieurs ‘Hassidim, que la nécessité de rendre compte à quelqu’un de ce qui a été fait ajoute de l’enthousiasme à l’action. C’est bien évident. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles, d’un bien visible et tangible et cette période se transformera prochainement en joie et en allégresse. Alors, s’accomplira la promesse selon laquelle nous aurons “ un héritage sans limite ”.