Lettre n° 6983
Par la grâce de D.ieu,
27 Mena’hem Av 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à la lettre qui a été rédigée par votre gendre, le distingué ‘Hassid, craignant D.ieu, empli d’empressement et qui faisait suite à vos précédents courriers :
A) Il est, bien entendu, particulièrement important, de maintenir les usages positifs que vous avez gardés jusqu’à maintenant, c’est-à-dire le troisième repas du Chabbat, les cantiques, chantés à cette occasion, la prière d’Arvit à l’issue du Chabbat, le repas du Melavé Malka, la lecture des Tehilim, le Chir Ha Maalot et la prière quotidienne, pour de longs jours et de bonnes années. Vous le ferez avec une tranquillité véritable.
B) Il est bon que vous restiez à Detroit jusqu’après les fêtes de Tichri. J’espère que vos enfants se trouvant sur place s’arrangeront pour que vous passiez tous les fêtes ensemble, de la manière qui convient.
C) De façon générale, il est judicieux d’allumer une lumière perpétuelle pendant la première année du deuil. Il est encore plus important d’apprendre, chaque jour, des passages de la Michna pour le mérite de l’âme. Chaque jour de semaine, le matin, avant la prière, vous donnerez dix huit cents à la Tsédaka, dans ce but. Bien entendu, vous adopterez ces deux pratiques sans en faire le vœu.
D) Vous me demandez que faire d’autre, en la matière. Il serait bon d’éditer un fascicule de discours ‘hassidiques, qui sera étudié en différents endroits. On y mentionnera le nom du défunt et celui de son père. Ceux qui l’étudieront éprouveront ainsi de la reconnaissance pour celui qui a permis cette publication et ceci suscitera l’élévation de son âme. Dans la mesure du possible, il serait préférable de faire publier deux fascicules de discours ‘hassidiques, l’un qui sera financé par vous et l’autre, par vos enfants.
En un moment propice, je mentionnerai votre nom et tous ceux que vous citez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que chacun obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous m’écrivez. D.ieu fasse que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit. Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Je vous joins les reçus des institutions Loubavitch auxquelles a été transmise la Tsédaka qui accompagnait votre lettre.
27 Mena’hem Av 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à la lettre qui a été rédigée par votre gendre, le distingué ‘Hassid, craignant D.ieu, empli d’empressement et qui faisait suite à vos précédents courriers :
A) Il est, bien entendu, particulièrement important, de maintenir les usages positifs que vous avez gardés jusqu’à maintenant, c’est-à-dire le troisième repas du Chabbat, les cantiques, chantés à cette occasion, la prière d’Arvit à l’issue du Chabbat, le repas du Melavé Malka, la lecture des Tehilim, le Chir Ha Maalot et la prière quotidienne, pour de longs jours et de bonnes années. Vous le ferez avec une tranquillité véritable.
B) Il est bon que vous restiez à Detroit jusqu’après les fêtes de Tichri. J’espère que vos enfants se trouvant sur place s’arrangeront pour que vous passiez tous les fêtes ensemble, de la manière qui convient.
C) De façon générale, il est judicieux d’allumer une lumière perpétuelle pendant la première année du deuil. Il est encore plus important d’apprendre, chaque jour, des passages de la Michna pour le mérite de l’âme. Chaque jour de semaine, le matin, avant la prière, vous donnerez dix huit cents à la Tsédaka, dans ce but. Bien entendu, vous adopterez ces deux pratiques sans en faire le vœu.
D) Vous me demandez que faire d’autre, en la matière. Il serait bon d’éditer un fascicule de discours ‘hassidiques, qui sera étudié en différents endroits. On y mentionnera le nom du défunt et celui de son père. Ceux qui l’étudieront éprouveront ainsi de la reconnaissance pour celui qui a permis cette publication et ceci suscitera l’élévation de son âme. Dans la mesure du possible, il serait préférable de faire publier deux fascicules de discours ‘hassidiques, l’un qui sera financé par vous et l’autre, par vos enfants.
En un moment propice, je mentionnerai votre nom et tous ceux que vous citez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que chacun obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous m’écrivez. D.ieu fasse que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit. Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Je vous joins les reçus des institutions Loubavitch auxquelles a été transmise la Tsédaka qui accompagnait votre lettre.