Lettre n° 7017
Par la grâce de D.ieu,
28 Elloul 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce lundi, dans laquelle vous me parlez des questions que l’on vous pose parfois, à propos de la foi juive et de ce qui la concerne. Vous m’en demandez la réponse. De façon générale, il n’y a pas lieu de transmettre de telles questions sur un autre continent, d’autant que cela est totalement inutile. Vous pourrez contacter un guide spirituel des ‘Hassidim ou bien l’un des ‘Hassidim âgés. Vous en connaissez sûrement puisque vous me dites que vous avez été l’élève d’une Yechiva ‘Habad, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie. Ces personnes vous guideront. Il est sûrement inutile de vous préciser qu’il n’est pas d’usage qu’un homme recherche les questions, de manière systématique. Il est dit, en effet, que “ l’homme est né pour l’effort ”, afin de faire le bien, ici-bas. Si vous commencez à rechercher des questions, vous y consacrerez tout votre temps, vos jours et vos années, sans parvenir à leur apporter une réponse, car un homme est limité, son intellect l’est également, au même titre que ses jours et ses années.
Puisse D.ieu faire que vous avanciez, avec intégrité, sur la voie de la Torah, la voie de la vie véritable. En effet, la Torah et ses Mitsvot sont “ notre vie et la longueur de nos jours ”. Une telle attitude supprimera les doutes et les interrogations. On peut citer, à ce propos, l’exemple suivant. Un homme affamé et assoiffé a l’intellect troublé et il ne comprend rien de manière directe. Il n’en est pas de même, en revanche, pour celui qui n’a ni faim, ni soif. Or, ceci s’applique, de manière identique, quand l’âme a faim et soif de Torah et de Mitsvot. Il serait bon que vous gardiez la pratique consistant à lire des Tehilim selon leur répartition mensuelle, chaque jour, après la prière du matin. Chaque jour de semaine, avant la prière, vous prélèverez quelques pièces pour la Tsédaka. Avant tout, vous ferez ce qui est en votre pouvoir pour diffuser le Judaïsme auprès de vos amis et de votre entourage, d’une manière sans cesse accrue. Avec ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année, que vous me donniez de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
28 Elloul 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce lundi, dans laquelle vous me parlez des questions que l’on vous pose parfois, à propos de la foi juive et de ce qui la concerne. Vous m’en demandez la réponse. De façon générale, il n’y a pas lieu de transmettre de telles questions sur un autre continent, d’autant que cela est totalement inutile. Vous pourrez contacter un guide spirituel des ‘Hassidim ou bien l’un des ‘Hassidim âgés. Vous en connaissez sûrement puisque vous me dites que vous avez été l’élève d’une Yechiva ‘Habad, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie. Ces personnes vous guideront. Il est sûrement inutile de vous préciser qu’il n’est pas d’usage qu’un homme recherche les questions, de manière systématique. Il est dit, en effet, que “ l’homme est né pour l’effort ”, afin de faire le bien, ici-bas. Si vous commencez à rechercher des questions, vous y consacrerez tout votre temps, vos jours et vos années, sans parvenir à leur apporter une réponse, car un homme est limité, son intellect l’est également, au même titre que ses jours et ses années.
Puisse D.ieu faire que vous avanciez, avec intégrité, sur la voie de la Torah, la voie de la vie véritable. En effet, la Torah et ses Mitsvot sont “ notre vie et la longueur de nos jours ”. Une telle attitude supprimera les doutes et les interrogations. On peut citer, à ce propos, l’exemple suivant. Un homme affamé et assoiffé a l’intellect troublé et il ne comprend rien de manière directe. Il n’en est pas de même, en revanche, pour celui qui n’a ni faim, ni soif. Or, ceci s’applique, de manière identique, quand l’âme a faim et soif de Torah et de Mitsvot. Il serait bon que vous gardiez la pratique consistant à lire des Tehilim selon leur répartition mensuelle, chaque jour, après la prière du matin. Chaque jour de semaine, avant la prière, vous prélèverez quelques pièces pour la Tsédaka. Avant tout, vous ferez ce qui est en votre pouvoir pour diffuser le Judaïsme auprès de vos amis et de votre entourage, d’une manière sans cesse accrue. Avec ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année, que vous me donniez de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,