Lettre n° 7022
[Jours de Seli’hot 5719]
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples connaissances, le Rav Meïr(1),
J’ai bien reçu votre livre, le tome 1 du ‘Houmach Torah Meïra(2) et je vous en remercie beaucoup. En marque d’affection, je reproduis ici quelques notes, très brèves, en fonction du temps dont je dispose et nos Sages disent que “ la paix règne à la fin ”(3) :
Au début de l’introduction : Le commentaire du Baal Chem Tov est rapporté, en particulier, à la fin du Maor Enaïm.
Au début des ajouts, à la page 9a-b : Une lecture rapide du Midrash Ha Néélam, dans le Zohar ‘Hadach, au début de la Parchat Béréchit, établit que, selon l’avis qui dit que “ le monde fut créé par dix Paroles ”, la question est de savoir si le monde pouvait être créé par une seule parole ou même par un Aleph. La formulation de la Michna et de différents textes de nos Sages montre qu’il n’y a pas de controverse, en la matière et qu’il s’agit en fait ici, de différents stades du dévoilement de la création. A ce sujet, vous consulterez, en particulier, le Avodat Ha Kodech, tome 4, au chapitre 4. Pour compléter le sujet et pour les additifs, il aurait été bon de citer également l’affirmation de nos Sages, formulée dans le Yerouchalmi, traité ‘Haguiga, chapitre 2, au paragraphe 2, selon laquelle le monde fut créé par un Beth et le Zohar, tome 2, à la page 20a, qui dit que le monde fut créé par une pensée.
Au début des références de Rachi, à la page 9a : Le renvoi au chapitre 12 du Midrash Béréchit Rabba n’est pas exact. Le Torah Cheléma , au paragraphe 219, dit : “ l’étude de la Torah est mentionnée dans le Midrash Yelamedénou ”, mais je ne dispose pas de cet ouvrage.
A la fin des ajouts, à la page 342b : Le Noun de ‘Haran est retourné. Les commentaires, à ce sujet, sont le Aleph, le Dalet et le Vav. Les autres portent sur “ à ‘Haran ”. Vous verrez, en particulier, le Midrash Béréchit Rabba, chapitre 68, au paragraphe 13, qui dit : “ à ‘Haran : le lieu de Sa colère ”.
Notes
(1) Le Rav M. Meïri, de Londres.
(2) Qui éclaire, du nom de l’auteur.
(3) Les controverses entre les sages n’entament pas leurs bonnes relations.
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples connaissances, le Rav Meïr(1),
J’ai bien reçu votre livre, le tome 1 du ‘Houmach Torah Meïra(2) et je vous en remercie beaucoup. En marque d’affection, je reproduis ici quelques notes, très brèves, en fonction du temps dont je dispose et nos Sages disent que “ la paix règne à la fin ”(3) :
Au début de l’introduction : Le commentaire du Baal Chem Tov est rapporté, en particulier, à la fin du Maor Enaïm.
Au début des ajouts, à la page 9a-b : Une lecture rapide du Midrash Ha Néélam, dans le Zohar ‘Hadach, au début de la Parchat Béréchit, établit que, selon l’avis qui dit que “ le monde fut créé par dix Paroles ”, la question est de savoir si le monde pouvait être créé par une seule parole ou même par un Aleph. La formulation de la Michna et de différents textes de nos Sages montre qu’il n’y a pas de controverse, en la matière et qu’il s’agit en fait ici, de différents stades du dévoilement de la création. A ce sujet, vous consulterez, en particulier, le Avodat Ha Kodech, tome 4, au chapitre 4. Pour compléter le sujet et pour les additifs, il aurait été bon de citer également l’affirmation de nos Sages, formulée dans le Yerouchalmi, traité ‘Haguiga, chapitre 2, au paragraphe 2, selon laquelle le monde fut créé par un Beth et le Zohar, tome 2, à la page 20a, qui dit que le monde fut créé par une pensée.
Au début des références de Rachi, à la page 9a : Le renvoi au chapitre 12 du Midrash Béréchit Rabba n’est pas exact. Le Torah Cheléma , au paragraphe 219, dit : “ l’étude de la Torah est mentionnée dans le Midrash Yelamedénou ”, mais je ne dispose pas de cet ouvrage.
A la fin des ajouts, à la page 342b : Le Noun de ‘Haran est retourné. Les commentaires, à ce sujet, sont le Aleph, le Dalet et le Vav. Les autres portent sur “ à ‘Haran ”. Vous verrez, en particulier, le Midrash Béréchit Rabba, chapitre 68, au paragraphe 13, qui dit : “ à ‘Haran : le lieu de Sa colère ”.
Notes
(1) Le Rav M. Meïri, de Londres.
(2) Qui éclaire, du nom de l’auteur.
(3) Les controverses entre les sages n’entament pas leurs bonnes relations.