Lettre n° 7029
[5718-5719]
Je vous salue et vous bénis,
Avec la plus grande surprise, mêlée à de la peine, j’ai pris connaissance de votre lettre et de votre demande de bénédiction de l’issue du Chabbat. La raison de ma surprise est bien claire. Une demande de bénédiction est, d’ordinaire, lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Or, en l’occurrence, qu’annoncerai-je près de son tombeau ? Je dirai qu’il y a, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, tel homme, qui craint D.ieu et son épouse, également issue d’une famille ‘Habad, se trouvant dans un environnement ‘Habad, ayant assuré l’éducation de leurs enfants dans les institutions de mon beau-père, le Rabbi. Or, cet homme vient de m’écrire pour m’annoncer qu’il retire sa fille aînée d’une de ces institutions de mon beau-père, le Rabbi.
Bien entendu, il me joint les explications, à ce sujet, de l’expert que l’on sait(1), afin de justifier qu’il y a bien là une nécessité. Et, à cause de cela, vous retirez également votre fille plus jeune d’une institution de mon beau-père, le Rabbi(2). En conséquence, vous déménagez, avec tous les membres de votre famille et vous quittez donc le quartier ‘Habad(3). Vous précisez même : “ en un bon moment ” ! Quand je me rendrai près du tombeau, comment présenterai-je cette bonne nouvelle à mon beau-père, le Rabbi ?
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Le mauvais penchant.
(2) Afin de ne pas séparer les deux enfants.
(3) Pour se rapprocher de la nouvelle école.
Je vous salue et vous bénis,
Avec la plus grande surprise, mêlée à de la peine, j’ai pris connaissance de votre lettre et de votre demande de bénédiction de l’issue du Chabbat. La raison de ma surprise est bien claire. Une demande de bénédiction est, d’ordinaire, lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Or, en l’occurrence, qu’annoncerai-je près de son tombeau ? Je dirai qu’il y a, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, tel homme, qui craint D.ieu et son épouse, également issue d’une famille ‘Habad, se trouvant dans un environnement ‘Habad, ayant assuré l’éducation de leurs enfants dans les institutions de mon beau-père, le Rabbi. Or, cet homme vient de m’écrire pour m’annoncer qu’il retire sa fille aînée d’une de ces institutions de mon beau-père, le Rabbi.
Bien entendu, il me joint les explications, à ce sujet, de l’expert que l’on sait(1), afin de justifier qu’il y a bien là une nécessité. Et, à cause de cela, vous retirez également votre fille plus jeune d’une institution de mon beau-père, le Rabbi(2). En conséquence, vous déménagez, avec tous les membres de votre famille et vous quittez donc le quartier ‘Habad(3). Vous précisez même : “ en un bon moment ” ! Quand je me rendrai près du tombeau, comment présenterai-je cette bonne nouvelle à mon beau-père, le Rabbi ?
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Le mauvais penchant.
(2) Afin de ne pas séparer les deux enfants.
(3) Pour se rapprocher de la nouvelle école.