Lettre n° 7068

Par la grâce de D.ieu,
10 Mar’hechvan 5720,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Vous me décrivez, avec peine, la relation que telle ou telle autre personne entretiennent avec les préoccupations religieuses, alors que la réalité aurait dû être à l’opposé de celle-ci. Il semble qu’il y ait là un des points qui n’a pas changé depuis de nombreuses années et même depuis la génération précédant la nôtre et encore celle qui la précédait, comme le montrent les récits des responsables communautaires de l’époque.

Bien entendu, il n’y a là qu’une demie consolation ou peut-être même encore moins que cela. Pour autant, déjà dans le passé, nous avons emporté la victoire. Il ne fait donc pas de doute que ce sera encore une fois le cas, maintenant. Toutefois, il est regrettable de devoir mobiliser des forces pour lutter contre le mal, alors que l’on aurait pu les investir, avec toute l’ardeur nécessaire, dans l’accomplissement du Précepte : “ Fais le bien ”. Avec ma bénédiction pour une grande réussite en votre mission sacrée, en bonne santé, avec joie et enthousiasme,