Lettre n° 7087
Par la grâce de D.ieu,
23 Mar’hechvan 5720,
Brooklyn,
A monsieur ‘Hano’h Héni’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de ce dimanche, avec les salutations que l’on vous a demandé de transmettre depuis notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie par notre juste Machia’h. Je vous en remercie beaucoup, de même que pour m’avoir relaté un effet de la divine Providence, au cours d’un simple jour de semaine, à l’occasion d’un événement très prosaïque, pour reprendre votre expression. Tout ceci fait la preuve que le monde a un Maître, Qui dirige toute chose, y compris ce qui semble être le fait du hasard, tout à fait ordinaire. Il en résulte que les événements les plus courants, parce qu’ils sont dirigés par D.ieu, ne peuvent pas être uniquement une manifestation banale. S’ils sont utilisés de la manière qui convient, ils peuvent recevoir une immense importance. Je ne sais pas si celui que vous avez rencontré(2) vous a donné des précisions sur sa personne. D’après ce que vous m’écrivez, il semble que ce soit l’un de ceux dont on connaît différents aspects de la vie et qui rencontre la divine Providence à chaque pas, comme on peut le constater avec ses yeux de chair.
Je souligne également que la personne à laquelle vous faites allusion a pris la décision de se rendre dans un petit village, afin de diriger les enfants juifs, de leur enseigner le Judaïsme, même s’il lui a fallu, pour cela, renoncer à de nombreux aspects de son confort et même de ce qui est une nécessité. Puisse D.ieu faire que cet exemple exerce son effet sur les Juifs, en tout endroit où ils se trouvent, afin qu’ils en fassent de même, qu’ils offrent aux enfants l’opportunité de connaître le Judaïsme, selon les enseignements de notre sainte Torah, Torah de vie. En effet, on ne peut connaître les voies de D.ieu et il est possible que cet événement soit une indication qui vous est donnée par la divine Providence, celle de mener une telle action auprès de vos amis et de vos connaissances. Quand on agit de la sorte, on sait que les paroles émanant du cœur pénètrent dans le cœur. On s’aperçoit alors que les difficultés sont bien moindres que ce que l’on pensait, que les résultats dépassent largement ce que l’on escomptait. Je voudrais vous remercier encore une fois pour vos salutations et j’attends de vos bonnes nouvelles. Avec ma bénédiction,
Notes
(1) M. H. H. Derman, de Brooklyn.
(2) Qui a fait l’objet de cette manifestation de la divine Providence.
23 Mar’hechvan 5720,
Brooklyn,
A monsieur ‘Hano’h Héni’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de ce dimanche, avec les salutations que l’on vous a demandé de transmettre depuis notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie par notre juste Machia’h. Je vous en remercie beaucoup, de même que pour m’avoir relaté un effet de la divine Providence, au cours d’un simple jour de semaine, à l’occasion d’un événement très prosaïque, pour reprendre votre expression. Tout ceci fait la preuve que le monde a un Maître, Qui dirige toute chose, y compris ce qui semble être le fait du hasard, tout à fait ordinaire. Il en résulte que les événements les plus courants, parce qu’ils sont dirigés par D.ieu, ne peuvent pas être uniquement une manifestation banale. S’ils sont utilisés de la manière qui convient, ils peuvent recevoir une immense importance. Je ne sais pas si celui que vous avez rencontré(2) vous a donné des précisions sur sa personne. D’après ce que vous m’écrivez, il semble que ce soit l’un de ceux dont on connaît différents aspects de la vie et qui rencontre la divine Providence à chaque pas, comme on peut le constater avec ses yeux de chair.
Je souligne également que la personne à laquelle vous faites allusion a pris la décision de se rendre dans un petit village, afin de diriger les enfants juifs, de leur enseigner le Judaïsme, même s’il lui a fallu, pour cela, renoncer à de nombreux aspects de son confort et même de ce qui est une nécessité. Puisse D.ieu faire que cet exemple exerce son effet sur les Juifs, en tout endroit où ils se trouvent, afin qu’ils en fassent de même, qu’ils offrent aux enfants l’opportunité de connaître le Judaïsme, selon les enseignements de notre sainte Torah, Torah de vie. En effet, on ne peut connaître les voies de D.ieu et il est possible que cet événement soit une indication qui vous est donnée par la divine Providence, celle de mener une telle action auprès de vos amis et de vos connaissances. Quand on agit de la sorte, on sait que les paroles émanant du cœur pénètrent dans le cœur. On s’aperçoit alors que les difficultés sont bien moindres que ce que l’on pensait, que les résultats dépassent largement ce que l’on escomptait. Je voudrais vous remercier encore une fois pour vos salutations et j’attends de vos bonnes nouvelles. Avec ma bénédiction,
Notes
(1) M. H. H. Derman, de Brooklyn.
(2) Qui a fait l’objet de cette manifestation de la divine Providence.