Lettre n° 7089
Par la grâce de D.ieu,
24 Mar’hechvan 5720,
Brooklyn,
A monsieur Acher Zelig(1),
Je vous salue et vous bénis,
On m’a transmis votre question relative au texte de la prière. De façon générale, les versets qui y sont mentionnés y apparaissent, bien évidemment, tels qu’ils sont dans la Torah. Néanmoins, il peut parfois en exister plusieurs versions, ou encore peut-il y avoir une faute d’imprimerie dans un livre de la Torah, ce qui explique la modification constatée dans le Siddour. Ainsi, dans le verset Jérémie 17, 7(2), le mot Mivta’ho doit être ponctué d’un Pata’h, comme c’est le cas dans la plupart des éditions imprimées de la Torah. Toutefois, certaines ont un Kamats et quelques Siddourim reprennent donc cette formulation.
Toute chose est effet de la divine Providence et, en l’occurrence, c’est à moi que vous vous adressez, à ce propos. A cette occasion, je voudrais donc vous souligner la nécessité de fixer un temps pour l’étude de la partie profonde de la Torah laquelle, en notre génération, a été révélée par la ‘Hassidout. Si de tout temps et en tout lieu, cela a été indispensable, combien plus est-ce le cas à notre époque et dans ce pays. Il convient, en particulier, que vous gardiez la pratique consistant à dire des Tehilim selon leur répartition mensuelle, chaque jour, après la prière du matin. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) M. A. Z. Rottenberg, de Brooklyn.
(2) “ Béni soit l’homme qui s’en remet à D.ieu. L’Eternel sera son espoir (Mivta’ho) ”.
24 Mar’hechvan 5720,
Brooklyn,
A monsieur Acher Zelig(1),
Je vous salue et vous bénis,
On m’a transmis votre question relative au texte de la prière. De façon générale, les versets qui y sont mentionnés y apparaissent, bien évidemment, tels qu’ils sont dans la Torah. Néanmoins, il peut parfois en exister plusieurs versions, ou encore peut-il y avoir une faute d’imprimerie dans un livre de la Torah, ce qui explique la modification constatée dans le Siddour. Ainsi, dans le verset Jérémie 17, 7(2), le mot Mivta’ho doit être ponctué d’un Pata’h, comme c’est le cas dans la plupart des éditions imprimées de la Torah. Toutefois, certaines ont un Kamats et quelques Siddourim reprennent donc cette formulation.
Toute chose est effet de la divine Providence et, en l’occurrence, c’est à moi que vous vous adressez, à ce propos. A cette occasion, je voudrais donc vous souligner la nécessité de fixer un temps pour l’étude de la partie profonde de la Torah laquelle, en notre génération, a été révélée par la ‘Hassidout. Si de tout temps et en tout lieu, cela a été indispensable, combien plus est-ce le cas à notre époque et dans ce pays. Il convient, en particulier, que vous gardiez la pratique consistant à dire des Tehilim selon leur répartition mensuelle, chaque jour, après la prière du matin. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) M. A. Z. Rottenberg, de Brooklyn.
(2) “ Béni soit l’homme qui s’en remet à D.ieu. L’Eternel sera son espoir (Mivta’ho) ”.