Lettre n° 7102

Par la grâce de D.ieu,
2 Kislev 5720,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de ce mardi, lorsque deux fois fut dit le mot “ bon ”(1), premier jour de Roch ‘Hodech Kislev, le mois des miracles et de la délivrance. Je vous remercie pour la bonne nouvelle figurant au début de votre lettre. Il convient de remercier D.ieu pour une telle situation. Or, aussi bonne que soit cette situation, Il peut toujours accorder plus. Il en résultera sûrement, de votre part et de celle de votre famille, un engagement accru pour la Torah et les Mitsvot, en ce qui vous concerne comme en la diffusion du Judaïsme, de la Torah et des Mitsvot, en tout endroit que vous pourrez atteindre. Vous accomplirez tout cela dans la tranquillité, la joie, l’enthousiasme et, de temps à autre, vous renforcerez votre engagement. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela.

Vous faites référence à une séparation(2) dont la partie supérieure serait faite de verre transparent. La réponse est, par elle-même, bien évidente. Qui trompera-t-on de cette manière(3) ? Par ailleurs, le sens simple du verset Béréchit 19, 17 : “ Et, ce fut quand ils les(4) firent sortir à l’extérieur ” est le suivant. En l’occurrence, ce sont les anges qui les firent sortir. Et, le verset 16 dit également : “ Ils les firent sortir ”, au pluriel. De même, le Targoum d’Onkelos, au verset 19, 17, selon différentes versions, indique : “ Ils les firent sortir ” et non : “ Il les fit sortir ”.

Notes

(1) Lors de la création.
(2) Entre les hommes et les femmes, à la synagogue.
(3) En lui faisant croire qu’il y a bien là une séparation.
(4) Loth et sa famille.