Lettre n° 7103
Par la grâce de D.ieu,
3 Kislev 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 2 Kislev, dans laquelle vous me faites part de vos difficultés pour gagner votre vie. Or, j’ai déjà écrit à plusieurs personnes que, si l’on s’habituait à annoncer également les bonnes nouvelles, à écrire souvent pour les transmettre, les courriers dans lesquels on marque sa proximité ou son attachement en annonçant des nouvelles qui sont le contraire du bien s’amenuiseraient ou même disparaîtraient. C’est bien évident. En tout état de cause, vous savez que le meilleur conseil pouvant être donné, en la matière, est un ajout à la Tsédaka. Aussi difficile que puisse être la situation, vous devez vous habituer à donner au moins quelques pièces de plus, par rapport à votre pratique préalable. L’un des moments propices pour cela, chaque jour de semaine, est celui qui précède la prière du matin.
Autre point, qui est essentiel, vous devez renforcer votre confiance en D.ieu, Qui nourrit et sustente chacun, avec bonté, grâce, bienveillance et miséricorde. Combien plus en est-il ainsi selon la notion de divine Providence, telle que la définit la ‘Hassidout, soulignant que celle-ci porte sur chacun et chacune, jusque dans le moindre détail. Et, vous connaissez le merveilleux dicton de mon beau-père, le Rabbi, imprimé dans le Hayom Yom, à la date du 28 ‘Hechvan, selon lequel on accomplit ainsi le Dessein divin. Vous consulterez ce texte. Et la fermeté de cette confiance renforce encore plus tout cela. Bien plus, nous sommes dans le mois de Kislev et cette année marque le bicentenaire de la Hilloula du Baal Chem Tov. Tout ajout, en particulier, à l’étude de l’enseignement profond de la Torah, lequel, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout, qui est l’arbre de vie, en lequel il n’y a pas de questionnements, pas de voiles, pas d’occultations, suscite une bénédiction accrue. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
3 Kislev 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 2 Kislev, dans laquelle vous me faites part de vos difficultés pour gagner votre vie. Or, j’ai déjà écrit à plusieurs personnes que, si l’on s’habituait à annoncer également les bonnes nouvelles, à écrire souvent pour les transmettre, les courriers dans lesquels on marque sa proximité ou son attachement en annonçant des nouvelles qui sont le contraire du bien s’amenuiseraient ou même disparaîtraient. C’est bien évident. En tout état de cause, vous savez que le meilleur conseil pouvant être donné, en la matière, est un ajout à la Tsédaka. Aussi difficile que puisse être la situation, vous devez vous habituer à donner au moins quelques pièces de plus, par rapport à votre pratique préalable. L’un des moments propices pour cela, chaque jour de semaine, est celui qui précède la prière du matin.
Autre point, qui est essentiel, vous devez renforcer votre confiance en D.ieu, Qui nourrit et sustente chacun, avec bonté, grâce, bienveillance et miséricorde. Combien plus en est-il ainsi selon la notion de divine Providence, telle que la définit la ‘Hassidout, soulignant que celle-ci porte sur chacun et chacune, jusque dans le moindre détail. Et, vous connaissez le merveilleux dicton de mon beau-père, le Rabbi, imprimé dans le Hayom Yom, à la date du 28 ‘Hechvan, selon lequel on accomplit ainsi le Dessein divin. Vous consulterez ce texte. Et la fermeté de cette confiance renforce encore plus tout cela. Bien plus, nous sommes dans le mois de Kislev et cette année marque le bicentenaire de la Hilloula du Baal Chem Tov. Tout ajout, en particulier, à l’étude de l’enseignement profond de la Torah, lequel, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout, qui est l’arbre de vie, en lequel il n’y a pas de questionnements, pas de voiles, pas d’occultations, suscite une bénédiction accrue. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,