Lettre n° 7105
Par la grâce de D.ieu,
5 Kislev 5720,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 29/11 et, en un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de votre fils près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément au contenu de votre lettre. S’agissant de votre fils, il faut d’abord le convaincre qu’il ne doit jouer que de très petites sommes, des cents, ce qui réduira son attirance, en la matière et lui apportera la clarté de l’esprit. Il réfléchira et comprendra ainsi à quel point cela n’est pas souhaitable, en y méditant une fois, puis une autre. Ceci affaiblira son habitude et, à terme, la fera disparaître.
Bien plus, il a eu le mérite d’être l’élève d’une Yechiva de mon beau-père, le Rabbi dont le mérite nous protégera. Et, l’on sait la décision de notre sainte Torah, selon laquelle ce qui concerne le domaine de la sainteté, la Torah, les Mitsvot, sont immuables et ne peuvent pas se perdre, doivent laisser une trace qui, à terme, conditionnera l’existence quotidienne. C’est vous qui m’avez transmis cette requête, de même que d’autres points vous concernant. Puisse donc D.ieu faire que vous m’annonciez également de bonnes nouvelles, en la matière, avec une satisfaction véritable, une satisfaction juive de vos enfants et de vos petits-enfants. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
5 Kislev 5720,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 29/11 et, en un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de votre fils près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément au contenu de votre lettre. S’agissant de votre fils, il faut d’abord le convaincre qu’il ne doit jouer que de très petites sommes, des cents, ce qui réduira son attirance, en la matière et lui apportera la clarté de l’esprit. Il réfléchira et comprendra ainsi à quel point cela n’est pas souhaitable, en y méditant une fois, puis une autre. Ceci affaiblira son habitude et, à terme, la fera disparaître.
Bien plus, il a eu le mérite d’être l’élève d’une Yechiva de mon beau-père, le Rabbi dont le mérite nous protégera. Et, l’on sait la décision de notre sainte Torah, selon laquelle ce qui concerne le domaine de la sainteté, la Torah, les Mitsvot, sont immuables et ne peuvent pas se perdre, doivent laisser une trace qui, à terme, conditionnera l’existence quotidienne. C’est vous qui m’avez transmis cette requête, de même que d’autres points vous concernant. Puisse donc D.ieu faire que vous m’annonciez également de bonnes nouvelles, en la matière, avec une satisfaction véritable, une satisfaction juive de vos enfants et de vos petits-enfants. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,