Lettre n° 7126
Par la grâce de D.ieu,
21 Kislev 5720,
Brooklyn,
Au jeune homme, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et assume une mission sacrée, le Rav Meïr(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 11 Kislev et je vous joins mon courrier adressé à la septième classe(2). Si une explication complémentaire s’avère nécessaire, vous saurez sûrement trouver les mots qui conviennent. J’ai pris connaissance, avec plaisir, de vos actions sacrées au sein de cette sainte institution(3). Je mentionnerai encore une fois votre nom auprès du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que la réussite soit conforme à la volonté de nos maîtres et que vous soyez(4) “ des lumières pour éclairer ”.
Certes, d’emblée et dans un premier temps, cette expression fut prononcée uniquement à propos des élèves de la Yechiva Tom’heï Temimim. Néanmoins, il est dit que : “ celui qui enseigne la Torah au fils de son prochain est considéré par la Torah comme s’il l’avait enfanté ” et “ l’enfant hérite de son père ” les qualités qui lui permettent d’être cette bougie qui éclaire, comme le précise la Michna, au traité Edouyot, à la fin du chapitre 2. De ce fait, les élèves de cette Yechiva ont le pouvoir et la force d’insuffler leurs qualités à leurs disciples(5), à la condition que ceux-ci fassent un effort en ce sens, avec abnégation et dévouement, comme un père le ferait pour son fils. C’est bien évident. J’espère que vous avez profité du jour lumineux du 19 Kislev également dans ce domaine. Vous en ferez de même pour la période de ‘Hanouka, qui approche. Vous ferez un ajout à tout cela et vous connaîtrez le succès. Avec ma bénédiction de réussite en tous ces points et pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav M. Friedman, de Kfar ‘Habad.
(2) Qui équivaut au début de l’enseignement secondaire dans le système français.
(3) Une école.
(4) Les élèves de cette école.
(5) En l’occurrence, un ancien élève de la Yechiva Tom’heï Temimim en ses élèves, au sein de cette école.
21 Kislev 5720,
Brooklyn,
Au jeune homme, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et assume une mission sacrée, le Rav Meïr(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 11 Kislev et je vous joins mon courrier adressé à la septième classe(2). Si une explication complémentaire s’avère nécessaire, vous saurez sûrement trouver les mots qui conviennent. J’ai pris connaissance, avec plaisir, de vos actions sacrées au sein de cette sainte institution(3). Je mentionnerai encore une fois votre nom auprès du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que la réussite soit conforme à la volonté de nos maîtres et que vous soyez(4) “ des lumières pour éclairer ”.
Certes, d’emblée et dans un premier temps, cette expression fut prononcée uniquement à propos des élèves de la Yechiva Tom’heï Temimim. Néanmoins, il est dit que : “ celui qui enseigne la Torah au fils de son prochain est considéré par la Torah comme s’il l’avait enfanté ” et “ l’enfant hérite de son père ” les qualités qui lui permettent d’être cette bougie qui éclaire, comme le précise la Michna, au traité Edouyot, à la fin du chapitre 2. De ce fait, les élèves de cette Yechiva ont le pouvoir et la force d’insuffler leurs qualités à leurs disciples(5), à la condition que ceux-ci fassent un effort en ce sens, avec abnégation et dévouement, comme un père le ferait pour son fils. C’est bien évident. J’espère que vous avez profité du jour lumineux du 19 Kislev également dans ce domaine. Vous en ferez de même pour la période de ‘Hanouka, qui approche. Vous ferez un ajout à tout cela et vous connaîtrez le succès. Avec ma bénédiction de réussite en tous ces points et pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav M. Friedman, de Kfar ‘Habad.
(2) Qui équivaut au début de l’enseignement secondaire dans le système français.
(3) Une école.
(4) Les élèves de cette école.
(5) En l’occurrence, un ancien élève de la Yechiva Tom’heï Temimim en ses élèves, au sein de cette école.