Lettre n° 713
Par la grâce de D.ieu,
9 Elloul 5710,
Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu, ...
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Mena’hem Av, avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Comme vous le souhaitez, je lirai cette dernière près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
Je suis surpris que vous n’ayez pas encore répondu à ma question. Je vous demandais si vous aviez fixé un temps pour étudier la Torah, en général et l’enseignement de mon beau-père, le Rabbi, en particulier.
Vous connaissez la sentence de mon beau-père, le Rabbi, qui évoque "les problèmes des ‘Hassidim". Lorsque ceux-ci surviennent, ils se rappellent du Rabbi et de la ‘Hassidout, écrivent une lettre pour demander une bénédiction. Puis, quand tout va bien, l’un reste dans sa vigne et l’autre, sous son figuier.
Vous avez eu le mérite, de manière surnaturelle, de voir le saint visage de mon beau-père, le Rabbi. Je ne sais pas pourquoi il est à ce point nécessaire de vous convaincre de l’importance d’étudier son enseignement. Et, après que cette proposition vous a été formulée, vous réfléchissez encore pour savoir si vous devez l’accepter ou si d’autres activités sont plus importantes.
Il est bien évident que mon but n’est pas de faire preuve du contraire de la miséricorde, ce qu’à D.ieu ne plaise. Mais, je suis particulièrement surpris de voir des personnes qui peuvent choisir d’être des ‘Hassidim des écoles polonaises, des ‘Hassidim des problèmes, des ‘Hassidim de leur épouse, ou encore d’être des ‘Hassidim de la manière la plus proche possible de celle qu’attendent de nous les maîtres de la ‘Hassidout ‘Habad.
Certains, en effet, ont goûté la lumière douce de cet enseignement, puis ils se sont mariés, sont devenus occupés, de sorte qu’ils peuvent maintenant se contenter d’une seule ligne de ‘Hassidout. On ne peut leur en demander plus.
Vous me donnerez sûrement de bonnes nouvelles. Nos Sages enseignent, au traité Kiddouchin, que le bien véritable ne l’est pas uniquement pour les créatures, mais l’est aussi pour D.ieu. Il en est donc de même pour vous et il n’est de bien que la Torah et les Mitsvot, comme les explique le luminaire de la Torah, qui permet de réintégrer le bien, quelle que soit la situation dans laquelle on se trouve.
Je conclus en vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Mena’hem Schneerson,
Comment vont les membres de votre famille?
9 Elloul 5710,
Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu, ...
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Mena’hem Av, avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Comme vous le souhaitez, je lirai cette dernière près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
Je suis surpris que vous n’ayez pas encore répondu à ma question. Je vous demandais si vous aviez fixé un temps pour étudier la Torah, en général et l’enseignement de mon beau-père, le Rabbi, en particulier.
Vous connaissez la sentence de mon beau-père, le Rabbi, qui évoque "les problèmes des ‘Hassidim". Lorsque ceux-ci surviennent, ils se rappellent du Rabbi et de la ‘Hassidout, écrivent une lettre pour demander une bénédiction. Puis, quand tout va bien, l’un reste dans sa vigne et l’autre, sous son figuier.
Vous avez eu le mérite, de manière surnaturelle, de voir le saint visage de mon beau-père, le Rabbi. Je ne sais pas pourquoi il est à ce point nécessaire de vous convaincre de l’importance d’étudier son enseignement. Et, après que cette proposition vous a été formulée, vous réfléchissez encore pour savoir si vous devez l’accepter ou si d’autres activités sont plus importantes.
Il est bien évident que mon but n’est pas de faire preuve du contraire de la miséricorde, ce qu’à D.ieu ne plaise. Mais, je suis particulièrement surpris de voir des personnes qui peuvent choisir d’être des ‘Hassidim des écoles polonaises, des ‘Hassidim des problèmes, des ‘Hassidim de leur épouse, ou encore d’être des ‘Hassidim de la manière la plus proche possible de celle qu’attendent de nous les maîtres de la ‘Hassidout ‘Habad.
Certains, en effet, ont goûté la lumière douce de cet enseignement, puis ils se sont mariés, sont devenus occupés, de sorte qu’ils peuvent maintenant se contenter d’une seule ligne de ‘Hassidout. On ne peut leur en demander plus.
Vous me donnerez sûrement de bonnes nouvelles. Nos Sages enseignent, au traité Kiddouchin, que le bien véritable ne l’est pas uniquement pour les créatures, mais l’est aussi pour D.ieu. Il en est donc de même pour vous et il n’est de bien que la Torah et les Mitsvot, comme les explique le luminaire de la Torah, qui permet de réintégrer le bien, quelle que soit la situation dans laquelle on se trouve.
Je conclus en vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Mena’hem Schneerson,
Comment vont les membres de votre famille?