Lettre n° 7148
Par la grâce de D.ieu,
11 Tévet 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 6 Tévet. En un moment propice, on mentionnera son nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, pour tout ce que vous m’écrivez. Vous me dites que vous ne connaissez la réussite en rien, ce qu’à D.ieu ne plaise. Différents textes de notre Torah, Torah de vie, établissent qu’un Juif n’a pas le droit de parler ainsi, ni même de le penser. Bien plus, la logique élémentaire permet d’établir que ce n’est nullement le cas. La base de notre foi est que tout est effet de la divine Providence, que “ le mal ne peut pas émaner de la bouche de D.ieu ”, ce qu’à D.ieu ne plaise. En outre, la Hala’ha tranche, comme on le sait, que “ tout ce que D.ieu fait est pour le bien ”. Néanmoins, comme l’établissent différents textes, plus l’on raffermit sa foi et sa confiance en D.ieu, sa conviction, comme on l’a dit, que “ tout ce que D.ieu fait est pour le bien ”, d’une manière large et au plus vite, plus l’on observe la vérité dans la pratique concrète. Vous consulterez ce qui est expliqué, à ce propos, dans le saint Tanya, en consultant l’index de cet ouvrage, qui est paru aux éditions Kehot.
C’est l’occasion pour moi de vous rappeler la nécessité de garder les trois études portant sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya, qui sont bien connues. Nous avons entendu de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, qu’elles concernent chacun et qu’elles exercent un effet favorable, y compris dans le domaine précédemment cité(1). Vous me parlez aussi de telle personne dont le comportement n’est pas du tout satisfaisant, alors que vous êtes obligé de vous taire. Vous savez et vous vérifiez concrètement qu’il existe divers moyens d’exercer une influence. La parole n’est pas toujours la plus efficace, surtout quand elle est adressée directement. L’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, nous a fait savoir(2) que : “ un Juif ne veut pas et ne peut pas se séparer de la Divinité ”. Le Rambam fait allusion à cela, par la décision hala’hique qu’il énonce à la fin du chapitre 2 de ses lois du divorce. A n’en pas douter, il existe donc bien un moyen d’exercer une influence sur cette personne. Toutefois, il est nécessaire de rechercher ce moyen et il est dit que : “ si tu fais des efforts, ceux-ci seront couronnés de succès ”.
En la matière, l’idée centrale est donc la suivante. Bien souvent, il s’avère plus efficace d’exercer une influence indirecte, par l’intermédiaire d’amis, plutôt que directement, par des proches. Vous m’avez transmis cette requête et puisse donc D.ieu faire que vous m’en donniez également de bonnes nouvelles. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Pour lequel le destinataire de cette lettre demandait une bénédiction.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°7053.
11 Tévet 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 6 Tévet. En un moment propice, on mentionnera son nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, pour tout ce que vous m’écrivez. Vous me dites que vous ne connaissez la réussite en rien, ce qu’à D.ieu ne plaise. Différents textes de notre Torah, Torah de vie, établissent qu’un Juif n’a pas le droit de parler ainsi, ni même de le penser. Bien plus, la logique élémentaire permet d’établir que ce n’est nullement le cas. La base de notre foi est que tout est effet de la divine Providence, que “ le mal ne peut pas émaner de la bouche de D.ieu ”, ce qu’à D.ieu ne plaise. En outre, la Hala’ha tranche, comme on le sait, que “ tout ce que D.ieu fait est pour le bien ”. Néanmoins, comme l’établissent différents textes, plus l’on raffermit sa foi et sa confiance en D.ieu, sa conviction, comme on l’a dit, que “ tout ce que D.ieu fait est pour le bien ”, d’une manière large et au plus vite, plus l’on observe la vérité dans la pratique concrète. Vous consulterez ce qui est expliqué, à ce propos, dans le saint Tanya, en consultant l’index de cet ouvrage, qui est paru aux éditions Kehot.
C’est l’occasion pour moi de vous rappeler la nécessité de garder les trois études portant sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya, qui sont bien connues. Nous avons entendu de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, qu’elles concernent chacun et qu’elles exercent un effet favorable, y compris dans le domaine précédemment cité(1). Vous me parlez aussi de telle personne dont le comportement n’est pas du tout satisfaisant, alors que vous êtes obligé de vous taire. Vous savez et vous vérifiez concrètement qu’il existe divers moyens d’exercer une influence. La parole n’est pas toujours la plus efficace, surtout quand elle est adressée directement. L’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, nous a fait savoir(2) que : “ un Juif ne veut pas et ne peut pas se séparer de la Divinité ”. Le Rambam fait allusion à cela, par la décision hala’hique qu’il énonce à la fin du chapitre 2 de ses lois du divorce. A n’en pas douter, il existe donc bien un moyen d’exercer une influence sur cette personne. Toutefois, il est nécessaire de rechercher ce moyen et il est dit que : “ si tu fais des efforts, ceux-ci seront couronnés de succès ”.
En la matière, l’idée centrale est donc la suivante. Bien souvent, il s’avère plus efficace d’exercer une influence indirecte, par l’intermédiaire d’amis, plutôt que directement, par des proches. Vous m’avez transmis cette requête et puisse donc D.ieu faire que vous m’en donniez également de bonnes nouvelles. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Pour lequel le destinataire de cette lettre demandait une bénédiction.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°7053.