Lettre n° 7181
Par la grâce de D.ieu,
3 Chevat 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 25 Tévet, dans laquelle vous me parlez d’une union dont les deux parties sont satisfaites. Néanmoins, la famille de la jeune fille s’y oppose. Vous me précisez la raison de ce refus, de la part de la famille. Il semble que, profondément, les membres de cette famille recherchent une crainte de D.ieu plus entière chez le jeune homme. Si c’est effectivement le cas, il est clair que vous devez accéder à cette requête, non seulement parce que la famille le demande, mais surtout parce qu’il s’agit d’une Injonction de notre sainte Torah, Torah de vie, selon laquelle on doit connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. S’il en a été ainsi de tout temps et en tout lieu, combien plus est-ce le cas à notre époque et en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, d’autant qu’il a été dit, à son propos, que “ les yeux de l’Eternel ton D.ieu sont tournés vers elle, du début de l’année à la fin de l’année ”.
Quand on s’apprête à franchir un pas aussi décisif et fondamental que l’édification d’un foyer juif, un édifice éternel, ce qui vient d’être dit est indispensable et vital. Or, “ rien ne résiste à la volonté ”. Parallèlement, un homme doit faire tout ce qui est en son possible pour parvenir au but, tout en empruntant les voies de la nature. Il faut donc s’efforcer, par l’intermédiaire d’amis et de connaissances de convaincre la famille qui refuse de changer d’avis. Tout est effet de la divine Providence et vous rappelez, dans votre lettre, que votre grand-père était l’un des fondateurs et des premiers membres de la communauté des Sages de la Kabbala. J’ai donc l’obligation et le mérite de vous souligner la nécessité absolue, l’obligation personnelle de fixer un temps pour étudier la dimension profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par l’enseignement de la ‘Hassidout. Tout cela est si évident qu’il est inutile d’en dire plus. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
3 Chevat 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 25 Tévet, dans laquelle vous me parlez d’une union dont les deux parties sont satisfaites. Néanmoins, la famille de la jeune fille s’y oppose. Vous me précisez la raison de ce refus, de la part de la famille. Il semble que, profondément, les membres de cette famille recherchent une crainte de D.ieu plus entière chez le jeune homme. Si c’est effectivement le cas, il est clair que vous devez accéder à cette requête, non seulement parce que la famille le demande, mais surtout parce qu’il s’agit d’une Injonction de notre sainte Torah, Torah de vie, selon laquelle on doit connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. S’il en a été ainsi de tout temps et en tout lieu, combien plus est-ce le cas à notre époque et en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, d’autant qu’il a été dit, à son propos, que “ les yeux de l’Eternel ton D.ieu sont tournés vers elle, du début de l’année à la fin de l’année ”.
Quand on s’apprête à franchir un pas aussi décisif et fondamental que l’édification d’un foyer juif, un édifice éternel, ce qui vient d’être dit est indispensable et vital. Or, “ rien ne résiste à la volonté ”. Parallèlement, un homme doit faire tout ce qui est en son possible pour parvenir au but, tout en empruntant les voies de la nature. Il faut donc s’efforcer, par l’intermédiaire d’amis et de connaissances de convaincre la famille qui refuse de changer d’avis. Tout est effet de la divine Providence et vous rappelez, dans votre lettre, que votre grand-père était l’un des fondateurs et des premiers membres de la communauté des Sages de la Kabbala. J’ai donc l’obligation et le mérite de vous souligner la nécessité absolue, l’obligation personnelle de fixer un temps pour étudier la dimension profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par l’enseignement de la ‘Hassidout. Tout cela est si évident qu’il est inutile d’en dire plus. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,