Lettre n° 7191
Par la grâce de D.ieu,
13 Chevat 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mercredi :
Je dois vous dire que j’étais dans le doute, me demandant si je devais vous répondre ou non. En effet, la raison pour laquelle vous me posez ces questions n’est pas claire(1). Néanmoins, j’accorde à un Juif une présomption de vertu, comme le demande la Michna et j’ai bon espoir qu’il s’agit uniquement pour vous d’établir la vérité. Bien plus, on connaît la relation qui existait, déjà en Europe, entre la Yechiva de Telz(2) et Loubavitch, les ‘Hassidim ‘Habad, la ‘Hassidout. A l’époque, des groupes d’étudiants de cette Yechiva apprenaient le Tanya. Sans doute le savez-vous vous-même, avec encore plus de détails. Je reprendrai donc vos questions dans l’ordre :
A) Question : On a coutume de se souhaiter, le 19 Kislev(3), une bonne année, dans l’étude de la ‘Hassidout et dans les voies ‘hassidiques. Vous citez, à ce propos, l’affirmation de nos Sages selon laquelle, un homme est inscrit et scellé, à Roch Hachana, pour tous les événements qui lui surviendront pendant l’année(4).
Réponse : Je préciserai, tout d’abord, qu’il en est ainsi depuis de nombreuses années. Ceci a été imprimé et diffusé, aux Etats-Unis, dès 5703(5) ou même encore avant cela, par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Je ne comprends pas votre remarque, relative à Roch Hachana. Tout d’abord, vous rappelez vous-même que “ l’homme est jugé chaque jour ”. Or, il est clair que ceci ne contredit pas ce qui a été inscrit, à Roch Hachana, comme l’établissent différents textes. Et, vous consulterez également le Séfer Assara Maamarot de Rabbi Mena’hem Azarya de Fano, discours sur l’établissement de la loi, seconde partie, premier chapitre, de même que les autres références citées par l’Admour Hazaken dans son ouvrage, le Likouteï Torah, à la fin de la Parchat Kora’h. Celui-ci expose, en outre, son propre commentaire, en la matière. On verra aussi les commentaires de la Michna, au début du traité Roch Hachana, chapitre 1, Michna 2, qui dit : “ Le monde est jugé à quatre occasions ”(6), Roch Hachana n’étant que l’une d’entre elles. Plusieurs explications données à ce propos s’appliquent aussi à ce qui fait l’objet de notre propos.
B) D’après ce qui vient d’être dit, vous me demandez également pourquoi l’on n’en fait pas de même pour la fête de Chavouot, puisque la Torah fut alors donnée dans sa globalité.
Réponse : Cela est évident également. En effet, le Saint béni soit-Il Lui-même ne fixa pas une fête pour le don de la Torah et Chavouot survient tantôt le 5 Sivan, tantôt le 6 et tantôt le 7. C’est uniquement quand le calendrier est établi à l’avance, sur la base du calcul(7), que Chavouot est également le jour du don de la Torah. Vous consulterez, à ce propos, les responsa du Ribach, au chapitre 96, le Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, au début du chapitre 494. Plusieurs raisons sont invoquées, à ce sujet et, pour la plupart, elles sont précisément liées au don de la Torah dans sa globalité. Vous verrez le Torah Cheléma du Rav M. Kocher, dans les additifs de la Parchat Yethro, fascicule sur le temps du don de notre Torah, établissant un recueil de plusieurs ouvrages, à ce sujet. En outre, on peut ajouter, à ce sujet, que les premières Tables de la Loi n’ont pas été conservées, que les secondes furent données à Yom Kippour, jour saint et redoutable, au cours duquel on est inscrit dans les trois livres(8). Comme le dit la Michna : “ Le jour de Son mariage : c’est le don de la Torah ”.
C) Le 19 Kislev est défini comme “ la fête des fêtes ”(9). Vous en déduisez que ce jour est plus important que Chavouot et vous manifestez votre étonnement, à propos de cette conclusion.
Réponse : Cette expression, elle-même empruntée aux Tikouneï Zohar, est en usage depuis de nombreuses années, des décennies. Elle a été diffusée, y compris aux Etats-Unis, durant l’année ci-dessus(5). On peut répondre à votre question en précisant qu’il s’agit bien de la fête des fêtes, c’est-à-dire, non pas d’une fête supplémentaire, selon votre interprétation, mais, bien au contraire, de ce qu’indiquent les Tikouneï Zohar, en la matière, au Tikoun 21, page 58b : “ une fête pour toutes les occasions et pour toutes les fêtes, une fête pour les trois fêtes de pèlerinage ”. Le Gaon de Vilna explique, à ce sujet, que le point central(10) se révèle chaque Chabbat et chaque fête, devenant ainsi l’aspect commun à toutes ces fêtes. Vous consulterez, à ce propos, le Séfer Béer La’haï Roï. On peut l’expliquer également en fonction de la partie révélée de la Torah. En effet, les fêtes se caractérisent par la joie, selon le traité ‘Haguiga 10b. La joie réunit les hommes et D.ieu. Or, nos Sages stipulent que : “ il n’est de joie qu’avec de la viande ”, précisément celle du sacrifice de ‘Haguiga(11). De ce fait, à notre époque, on peut seulement dire que : “ il n’est de joie qu’avec du vin ”. Et, vous verrez l’analyse que fait l’Admour Hazaken, auteur du Tanya, dans son Choul’han Arou’h, au chapitre 529, paragraphe 7.
Il y a là un point fondamental de l’enseignement de la ‘Hassidout, comme le soulignent différents textes du Baal Chem Tov et de ses disciples, de l’Admour Hazaken et de ses disciples, ainsi qu’il est dit : “ Servez D.ieu dans la joie ”. Et, voici un autre principe. Le service de D.ieu doit faire intervenir le corps, exclure le jeûne et les mortifications, selon l’interprétation bien connue du verset : “ Quand tu verras l’âne de ton ennemi ”, lequel fait allusion à la matière du corps, “ tu lui viendras en aide ”. C’est de cette façon qu’il faut agir, sans repousser ce corps et sans avoir recours aux mortifications. Le 19 Kislev est la date à laquelle l’Admour Hazaken fut libéré ici-bas, parce que l’autorisation avait été donnée, là-haut, de diffuser la ‘Hassidout et ses enseignements. Or, “ un homme ne fait pas un geste du doigt…(12) ”, ce qui veut bien dire que l’accord a été donné, là-haut, de diffuser une telle conception. C’est bien là l’idée commune à toutes les fêtes.
D) Il est dit, dans votre note, que le Gaon, Rav ‘Haïm de Brisk et le Gaon, Rav ‘Haïm Ozer de Vilna considérèrent tout cela(13) avec un grand respect. Vous avancez que cela est incompréhensible et vous me demandez quelle est l’origine de cette rumeur. La manière dont ils observaient le 19 Kislev et ce qui le concerne, y compris en tant que Roch Hachana des ‘Hassidim pour l’enseignement de la ‘Hassidout, a été rendue publique par mon beau-père, le Rabbi, qui a fait reproduire l’une de ses notes de 5662(14), lorsque fut publiée une lettre de son père(15) à propos du 19 Kislev, laquelle parvint jusqu’à Vilna. Celle-ci fut imprimée, à sa demande(16), en 5703(17), dans l’introduction du Kountrass Ou Mayan(18). Vous savez sûrement qu’à l’époque, tous les trois(19) se rencontraient fréquemment et qu’ils entretenaient des rapports amicaux, pas nécessairement pour gérer les problèmes communautaires. Il est dommage que les détails de tout cela n’aient pas été diffusés de la manière qui convient. Il est sûr et certain que de nombreuses insertions, objections, interrogations et divergences d’opinions auraient été évitées, même si toutes n’ont pas une origine sacrée(20). Vous devez comprendre ce que je veux dire.
Puisse D.ieu faire que s’accomplisse très prochainement la promesse selon laquelle : “ les érudits de la Torah multiplient la paix dans le monde ” et, combien plus, dans leur propre monde, celui de la Torah et la décision hala’hique qui conclut la Loi orale : “ Le Saint béni soit-Il n’a pas trouvé d’autre réceptacle contenant la bénédiction pour Israël que la paix ”. Avec mes respects et ma bénédiction,
N. B. : Si ce qui vient d’être dit soulève des remarques de votre part, je serai, bien entendu, satisfait de les recevoir. Il a déjà été précisé qu’au final, la paix règne entre les érudits.
Notes
(1) Sont-elles posées avec bonne foi ou non ?
(2) Dont le destinataire de cette lettre est, vraisemblablement, l’un des Rabbanim.
(3) Date de la libération de l’Admour Hazaken des prisons tsaristes et Roch Hachana de la ‘Hassidout.
(4) Dès lors, que peut ajouter de plus le 19 Kislev ?
(5) 1943.
(6) Et, donc pas uniquement à Roch Hachana.
(7) Comme c’est le cas actuellement, pendant la période de l’exil.
(8) Le livre des Justes parfaits, celui des impies avérés et celui des hommes moyens.
(9) Voir, à ce sujet, la lettre n°3202.
(10) A toutes les fêtes à la fois.
(11) Offert pendant les fêtes.
(12) Si celui-ci n’est pas suggéré d’en haut.
(13) Le 19 Kislev, la ‘Hassidout et ses usages.
(14) 1902.
(15) Le Rabbi Rachab.
(16) Celle du précédent Rabbi.
(17) 1943.
(18) Du Rabbi Rachab.
(19) Le Rav de Brisk, le Rav de Vilna et le Rabbi Rachab.
(20) Et, n’ont d’autre but que d’attaquer.
13 Chevat 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mercredi :
Je dois vous dire que j’étais dans le doute, me demandant si je devais vous répondre ou non. En effet, la raison pour laquelle vous me posez ces questions n’est pas claire(1). Néanmoins, j’accorde à un Juif une présomption de vertu, comme le demande la Michna et j’ai bon espoir qu’il s’agit uniquement pour vous d’établir la vérité. Bien plus, on connaît la relation qui existait, déjà en Europe, entre la Yechiva de Telz(2) et Loubavitch, les ‘Hassidim ‘Habad, la ‘Hassidout. A l’époque, des groupes d’étudiants de cette Yechiva apprenaient le Tanya. Sans doute le savez-vous vous-même, avec encore plus de détails. Je reprendrai donc vos questions dans l’ordre :
A) Question : On a coutume de se souhaiter, le 19 Kislev(3), une bonne année, dans l’étude de la ‘Hassidout et dans les voies ‘hassidiques. Vous citez, à ce propos, l’affirmation de nos Sages selon laquelle, un homme est inscrit et scellé, à Roch Hachana, pour tous les événements qui lui surviendront pendant l’année(4).
Réponse : Je préciserai, tout d’abord, qu’il en est ainsi depuis de nombreuses années. Ceci a été imprimé et diffusé, aux Etats-Unis, dès 5703(5) ou même encore avant cela, par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Je ne comprends pas votre remarque, relative à Roch Hachana. Tout d’abord, vous rappelez vous-même que “ l’homme est jugé chaque jour ”. Or, il est clair que ceci ne contredit pas ce qui a été inscrit, à Roch Hachana, comme l’établissent différents textes. Et, vous consulterez également le Séfer Assara Maamarot de Rabbi Mena’hem Azarya de Fano, discours sur l’établissement de la loi, seconde partie, premier chapitre, de même que les autres références citées par l’Admour Hazaken dans son ouvrage, le Likouteï Torah, à la fin de la Parchat Kora’h. Celui-ci expose, en outre, son propre commentaire, en la matière. On verra aussi les commentaires de la Michna, au début du traité Roch Hachana, chapitre 1, Michna 2, qui dit : “ Le monde est jugé à quatre occasions ”(6), Roch Hachana n’étant que l’une d’entre elles. Plusieurs explications données à ce propos s’appliquent aussi à ce qui fait l’objet de notre propos.
B) D’après ce qui vient d’être dit, vous me demandez également pourquoi l’on n’en fait pas de même pour la fête de Chavouot, puisque la Torah fut alors donnée dans sa globalité.
Réponse : Cela est évident également. En effet, le Saint béni soit-Il Lui-même ne fixa pas une fête pour le don de la Torah et Chavouot survient tantôt le 5 Sivan, tantôt le 6 et tantôt le 7. C’est uniquement quand le calendrier est établi à l’avance, sur la base du calcul(7), que Chavouot est également le jour du don de la Torah. Vous consulterez, à ce propos, les responsa du Ribach, au chapitre 96, le Choul’han Arou’h de l’Admour Hazaken, au début du chapitre 494. Plusieurs raisons sont invoquées, à ce sujet et, pour la plupart, elles sont précisément liées au don de la Torah dans sa globalité. Vous verrez le Torah Cheléma du Rav M. Kocher, dans les additifs de la Parchat Yethro, fascicule sur le temps du don de notre Torah, établissant un recueil de plusieurs ouvrages, à ce sujet. En outre, on peut ajouter, à ce sujet, que les premières Tables de la Loi n’ont pas été conservées, que les secondes furent données à Yom Kippour, jour saint et redoutable, au cours duquel on est inscrit dans les trois livres(8). Comme le dit la Michna : “ Le jour de Son mariage : c’est le don de la Torah ”.
C) Le 19 Kislev est défini comme “ la fête des fêtes ”(9). Vous en déduisez que ce jour est plus important que Chavouot et vous manifestez votre étonnement, à propos de cette conclusion.
Réponse : Cette expression, elle-même empruntée aux Tikouneï Zohar, est en usage depuis de nombreuses années, des décennies. Elle a été diffusée, y compris aux Etats-Unis, durant l’année ci-dessus(5). On peut répondre à votre question en précisant qu’il s’agit bien de la fête des fêtes, c’est-à-dire, non pas d’une fête supplémentaire, selon votre interprétation, mais, bien au contraire, de ce qu’indiquent les Tikouneï Zohar, en la matière, au Tikoun 21, page 58b : “ une fête pour toutes les occasions et pour toutes les fêtes, une fête pour les trois fêtes de pèlerinage ”. Le Gaon de Vilna explique, à ce sujet, que le point central(10) se révèle chaque Chabbat et chaque fête, devenant ainsi l’aspect commun à toutes ces fêtes. Vous consulterez, à ce propos, le Séfer Béer La’haï Roï. On peut l’expliquer également en fonction de la partie révélée de la Torah. En effet, les fêtes se caractérisent par la joie, selon le traité ‘Haguiga 10b. La joie réunit les hommes et D.ieu. Or, nos Sages stipulent que : “ il n’est de joie qu’avec de la viande ”, précisément celle du sacrifice de ‘Haguiga(11). De ce fait, à notre époque, on peut seulement dire que : “ il n’est de joie qu’avec du vin ”. Et, vous verrez l’analyse que fait l’Admour Hazaken, auteur du Tanya, dans son Choul’han Arou’h, au chapitre 529, paragraphe 7.
Il y a là un point fondamental de l’enseignement de la ‘Hassidout, comme le soulignent différents textes du Baal Chem Tov et de ses disciples, de l’Admour Hazaken et de ses disciples, ainsi qu’il est dit : “ Servez D.ieu dans la joie ”. Et, voici un autre principe. Le service de D.ieu doit faire intervenir le corps, exclure le jeûne et les mortifications, selon l’interprétation bien connue du verset : “ Quand tu verras l’âne de ton ennemi ”, lequel fait allusion à la matière du corps, “ tu lui viendras en aide ”. C’est de cette façon qu’il faut agir, sans repousser ce corps et sans avoir recours aux mortifications. Le 19 Kislev est la date à laquelle l’Admour Hazaken fut libéré ici-bas, parce que l’autorisation avait été donnée, là-haut, de diffuser la ‘Hassidout et ses enseignements. Or, “ un homme ne fait pas un geste du doigt…(12) ”, ce qui veut bien dire que l’accord a été donné, là-haut, de diffuser une telle conception. C’est bien là l’idée commune à toutes les fêtes.
D) Il est dit, dans votre note, que le Gaon, Rav ‘Haïm de Brisk et le Gaon, Rav ‘Haïm Ozer de Vilna considérèrent tout cela(13) avec un grand respect. Vous avancez que cela est incompréhensible et vous me demandez quelle est l’origine de cette rumeur. La manière dont ils observaient le 19 Kislev et ce qui le concerne, y compris en tant que Roch Hachana des ‘Hassidim pour l’enseignement de la ‘Hassidout, a été rendue publique par mon beau-père, le Rabbi, qui a fait reproduire l’une de ses notes de 5662(14), lorsque fut publiée une lettre de son père(15) à propos du 19 Kislev, laquelle parvint jusqu’à Vilna. Celle-ci fut imprimée, à sa demande(16), en 5703(17), dans l’introduction du Kountrass Ou Mayan(18). Vous savez sûrement qu’à l’époque, tous les trois(19) se rencontraient fréquemment et qu’ils entretenaient des rapports amicaux, pas nécessairement pour gérer les problèmes communautaires. Il est dommage que les détails de tout cela n’aient pas été diffusés de la manière qui convient. Il est sûr et certain que de nombreuses insertions, objections, interrogations et divergences d’opinions auraient été évitées, même si toutes n’ont pas une origine sacrée(20). Vous devez comprendre ce que je veux dire.
Puisse D.ieu faire que s’accomplisse très prochainement la promesse selon laquelle : “ les érudits de la Torah multiplient la paix dans le monde ” et, combien plus, dans leur propre monde, celui de la Torah et la décision hala’hique qui conclut la Loi orale : “ Le Saint béni soit-Il n’a pas trouvé d’autre réceptacle contenant la bénédiction pour Israël que la paix ”. Avec mes respects et ma bénédiction,
N. B. : Si ce qui vient d’être dit soulève des remarques de votre part, je serai, bien entendu, satisfait de les recevoir. Il a déjà été précisé qu’au final, la paix règne entre les érudits.
Notes
(1) Sont-elles posées avec bonne foi ou non ?
(2) Dont le destinataire de cette lettre est, vraisemblablement, l’un des Rabbanim.
(3) Date de la libération de l’Admour Hazaken des prisons tsaristes et Roch Hachana de la ‘Hassidout.
(4) Dès lors, que peut ajouter de plus le 19 Kislev ?
(5) 1943.
(6) Et, donc pas uniquement à Roch Hachana.
(7) Comme c’est le cas actuellement, pendant la période de l’exil.
(8) Le livre des Justes parfaits, celui des impies avérés et celui des hommes moyens.
(9) Voir, à ce sujet, la lettre n°3202.
(10) A toutes les fêtes à la fois.
(11) Offert pendant les fêtes.
(12) Si celui-ci n’est pas suggéré d’en haut.
(13) Le 19 Kislev, la ‘Hassidout et ses usages.
(14) 1902.
(15) Le Rabbi Rachab.
(16) Celle du précédent Rabbi.
(17) 1943.
(18) Du Rabbi Rachab.
(19) Le Rav de Brisk, le Rav de Vilna et le Rabbi Rachab.
(20) Et, n’ont d’autre but que d’attaquer.