Lettre n° 7205
Par la grâce de D.ieu,
25 Chevat 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce lundi soir. Vous avez connaissance de la pratique juive selon laquelle, pour fixer la date et l’endroit d’un mariage, les deux parties doivent se concerter. Puisse D.ieu faire que la décision que vous prendrez soit en un moment bon et fructueux, en un endroit judicieux et favorable. Lorsque vous aurez pris cette décision, vous envisagerez également les documents et les diplômes nécessaires, bien entendu en consultant les avocats qui gèrent ce dossier. Il est clair que l’idée d’achever au moins la première partie du Yoré Déa et de recevoir l’ordination rabbinique, à ce propos, est tout à fait judicieuse. Mais, ceci n’est pas lié à la manière dont vous gagnerez votre vie.
De même, il est clair qu’il n’y a pas lieu de repousser cette étude jusqu’à après le mariage. Il faut, bien au contraire, s’y consacrer au plus vite. Ainsi, au bout d’un certain temps, vous serez en mesure de décider quand il faudra l’arrêter. Conformément à la décision hala’hique s’appliquant à un Cho’het, qui doit être respectée en tout état de cause, j’ai bon espoir que vous connaissez d’ores et déjà les lois de la Che’hita, lesquelles sont une partie importante du Choul’han Arou’h, Yoré Déa, tome 1. J’espère aussi que vous avez un temps fixé pour l’étude de la ‘Hassidout, chaque jour et, d’une manière plus intense, pendant le Chabbat, qui est “ consacré à D.ieu ”. Différents textes en établissent l’importance. S’agissant de votre logement, il est évident que vous devez préparer une demeure provisoire puis, par la suite, en choisir une qui sera définitive. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
25 Chevat 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce lundi soir. Vous avez connaissance de la pratique juive selon laquelle, pour fixer la date et l’endroit d’un mariage, les deux parties doivent se concerter. Puisse D.ieu faire que la décision que vous prendrez soit en un moment bon et fructueux, en un endroit judicieux et favorable. Lorsque vous aurez pris cette décision, vous envisagerez également les documents et les diplômes nécessaires, bien entendu en consultant les avocats qui gèrent ce dossier. Il est clair que l’idée d’achever au moins la première partie du Yoré Déa et de recevoir l’ordination rabbinique, à ce propos, est tout à fait judicieuse. Mais, ceci n’est pas lié à la manière dont vous gagnerez votre vie.
De même, il est clair qu’il n’y a pas lieu de repousser cette étude jusqu’à après le mariage. Il faut, bien au contraire, s’y consacrer au plus vite. Ainsi, au bout d’un certain temps, vous serez en mesure de décider quand il faudra l’arrêter. Conformément à la décision hala’hique s’appliquant à un Cho’het, qui doit être respectée en tout état de cause, j’ai bon espoir que vous connaissez d’ores et déjà les lois de la Che’hita, lesquelles sont une partie importante du Choul’han Arou’h, Yoré Déa, tome 1. J’espère aussi que vous avez un temps fixé pour l’étude de la ‘Hassidout, chaque jour et, d’une manière plus intense, pendant le Chabbat, qui est “ consacré à D.ieu ”. Différents textes en établissent l’importance. S’agissant de votre logement, il est évident que vous devez préparer une demeure provisoire puis, par la suite, en choisir une qui sera définitive. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,