Lettre n° 7220
Par la grâce de D.ieu,
10 Adar 5720,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Guedalya(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 8 Adar(2). Puisse D.ieu faire qu’à l’avenir, vous-même et chacun des membres de votre famille, auxquels D.ieu accordera de longs jours et de bonnes années, ne connaissiez plus la peine et la douleur. Vous ne rencontrerez que la bonté et le bienfait, tous les jours. Ceci inclut, bien évidemment, le fait de gagner votre vie de la manière qui convient, dans la tranquillité et l’honneur. Vous me donnerez de bonnes nouvelles de vous-même et de chacun des membres de votre famille, d’un bien visible et tangible. Avec ma bénédiction pour vous-même et pour toute votre famille,
N. B. : Vous faites allusion à la prière suivant l’étude, qui figure dans plusieurs Sidourim. Je n’ai pas observé que les ‘Hassidim la disent. S’agissant du Ta’hanoun pendant la prière de Min’ha, notre coutume, qui est largement diffusée, est de le dire, sauf, bien entendu, aux dates énumérées dans le Sidour de l’Admour Hazaken, juste avant la prière Ou Va Le Tsion, “ et un libérateur viendra à Sion ”. Comme je l’ai entendu une fois de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, notre coutume est de dire le Ta’hanoun également à la date anniversaire du décès et le Tséma’h Tsédek dit, à ce propos : “ Est-il un meilleur moment pour implorer D.ieu ? ”. Or, il en est de même pour la prière de Min’ha, de laquelle nos Sages disent : “ Il faut toujours réciter scrupuleusement la prière de Min’ha, car c’est uniquement pendant celle-ci que le prophète Elie fut exaucé ”. S’agissant du nom qui a été rajouté(3), vous vérifierez tout cela auprès d’un Rav, tranchant la Hala’ha, de votre entourage(4). Les coutumes des douze mois et de la date du décès sont publiées dans le fascicule du 10-13 Chevat et dans celui du 2 Nissan.
Notes
(1) Le Rav G. Axelrod.
(2) Faisant suite au décès du père du destinataire de la présente, le Rav Moché Axelrod. Voir, à ce sujet, la lettre n°7265.
(3) Au défunt, du fait de sa maladie.
(4) Pour déterminer s’il convient de le conserver, malgré le décès ou non.
10 Adar 5720,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Guedalya(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 8 Adar(2). Puisse D.ieu faire qu’à l’avenir, vous-même et chacun des membres de votre famille, auxquels D.ieu accordera de longs jours et de bonnes années, ne connaissiez plus la peine et la douleur. Vous ne rencontrerez que la bonté et le bienfait, tous les jours. Ceci inclut, bien évidemment, le fait de gagner votre vie de la manière qui convient, dans la tranquillité et l’honneur. Vous me donnerez de bonnes nouvelles de vous-même et de chacun des membres de votre famille, d’un bien visible et tangible. Avec ma bénédiction pour vous-même et pour toute votre famille,
N. B. : Vous faites allusion à la prière suivant l’étude, qui figure dans plusieurs Sidourim. Je n’ai pas observé que les ‘Hassidim la disent. S’agissant du Ta’hanoun pendant la prière de Min’ha, notre coutume, qui est largement diffusée, est de le dire, sauf, bien entendu, aux dates énumérées dans le Sidour de l’Admour Hazaken, juste avant la prière Ou Va Le Tsion, “ et un libérateur viendra à Sion ”. Comme je l’ai entendu une fois de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, notre coutume est de dire le Ta’hanoun également à la date anniversaire du décès et le Tséma’h Tsédek dit, à ce propos : “ Est-il un meilleur moment pour implorer D.ieu ? ”. Or, il en est de même pour la prière de Min’ha, de laquelle nos Sages disent : “ Il faut toujours réciter scrupuleusement la prière de Min’ha, car c’est uniquement pendant celle-ci que le prophète Elie fut exaucé ”. S’agissant du nom qui a été rajouté(3), vous vérifierez tout cela auprès d’un Rav, tranchant la Hala’ha, de votre entourage(4). Les coutumes des douze mois et de la date du décès sont publiées dans le fascicule du 10-13 Chevat et dans celui du 2 Nissan.
Notes
(1) Le Rav G. Axelrod.
(2) Faisant suite au décès du père du destinataire de la présente, le Rav Moché Axelrod. Voir, à ce sujet, la lettre n°7265.
(3) Au défunt, du fait de sa maladie.
(4) Pour déterminer s’il convient de le conserver, malgré le décès ou non.