Lettre n° 7233
Par la grâce de D.ieu,
21 Adar 5720,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, issu
d’une illustre famille, le Rav Matityahou Yé’hezkel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre du 18 Adar. En un moment propice, on mentionnera votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément au contenu de votre lettre, de même que celui de votre épouse, afin qu’elle obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous m’écrivez. C’est vous qui m’avez transmis cette requête et D.ieu fasse donc que vous m’en donniez de bonnes nouvelles, d’autant que nous sommes à la fin et à la conclusion du mois d’Adar. Or, de l’ensemble de celui-ci, il a été dit(2) : “ Il a été transformé ” en joie et en fête. Et, que tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu se transforme donc en lumière, en joie, en allégresse et en honneur, y compris selon le sens simple de ce verset. Avec mes respects et ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
N. B. : Vous faites référence aux commentaires figurant dans un manuscrit qui se trouve chez votre frère, le Rav. Le discours ‘hassidique que vous reproduisez figure dans le Torah Or, du Tséma’h Tsédek, publié à Poltava. Il est intitulé : “ Quand un homme vendra sa fille ” et son auteur est “ notre grand maître ”, c’est-à-dire précisément le Tséma’h Tsédek. Néanmoins, vous précisez que ce manuscrit compte 323 pages. A n’en pas douter, il contient donc de nombreux autres discours ‘hassidiques. Si cela ne vous impose pas un grand dérangement, je serais intéressé par toutes les informations que vous pourriez me fournir, à ce sujet. Je vous remercie, par avance, pour tous les efforts que vous pourrez faire dans ce but.
Notes
(1) Le Rav M. Y. Guttman, de Jaffa. Voir, à son sujet, la lettre n°4186.
(2) Dans la Meguila d’Esther.
21 Adar 5720,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, issu
d’une illustre famille, le Rav Matityahou Yé’hezkel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre du 18 Adar. En un moment propice, on mentionnera votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément au contenu de votre lettre, de même que celui de votre épouse, afin qu’elle obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous m’écrivez. C’est vous qui m’avez transmis cette requête et D.ieu fasse donc que vous m’en donniez de bonnes nouvelles, d’autant que nous sommes à la fin et à la conclusion du mois d’Adar. Or, de l’ensemble de celui-ci, il a été dit(2) : “ Il a été transformé ” en joie et en fête. Et, que tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu se transforme donc en lumière, en joie, en allégresse et en honneur, y compris selon le sens simple de ce verset. Avec mes respects et ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
N. B. : Vous faites référence aux commentaires figurant dans un manuscrit qui se trouve chez votre frère, le Rav. Le discours ‘hassidique que vous reproduisez figure dans le Torah Or, du Tséma’h Tsédek, publié à Poltava. Il est intitulé : “ Quand un homme vendra sa fille ” et son auteur est “ notre grand maître ”, c’est-à-dire précisément le Tséma’h Tsédek. Néanmoins, vous précisez que ce manuscrit compte 323 pages. A n’en pas douter, il contient donc de nombreux autres discours ‘hassidiques. Si cela ne vous impose pas un grand dérangement, je serais intéressé par toutes les informations que vous pourriez me fournir, à ce sujet. Je vous remercie, par avance, pour tous les efforts que vous pourrez faire dans ce but.
Notes
(1) Le Rav M. Y. Guttman, de Jaffa. Voir, à son sujet, la lettre n°4186.
(2) Dans la Meguila d’Esther.