Lettre n° 7240
Par la grâce de D.ieu,
28 Adar 5720,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chalom Yehouda Leïb(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre du second jour de Roch ‘Hodech et j’y ai lu, avec plaisir, que vous enseignez publiquement la ‘Hassidout. Bien plus, quelques uns de ceux qui assistent à cet enseignement sont des élèves de Yechiva. Il est clair que vous ne vous contenterez pas du nombre de ceux qui vous écoutent jusqu’à maintenant. Vous vous efforcerez de multiplier largement votre audience, car il est dit d’une âme juive qu’elle constitue, à elle seule, un monde entier. Combien plus est-ce le cas pour un élève de Yechiva, qui fondera bientôt un foyer juif. Chaque ajout de sa part, en particulier à l’étude de la dimension profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout, sera un apport profond et essentiel à la maison qu’il édifiera, en un moment bon et fructueux. C’est bien évident.
Vous me demandez si vous devez fixer une étude également avec les toutes dernières personnes qui se sont adressées à vous, dans ce but. Bien entendu, tout dépend de la possibilité de les réunir toutes ensemble(2). Vous m’interrogez également sur les discours ‘hassidiques que vous devez enseigner. Il va sans dire que ceux-ci doivent être méticuleusement corrigés. Vous choisirez donc des textes imprimés qui, en outre, possèdent pour la plupart d’entre eux, des notes et des références. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de cela, de même que de l’état de santé de votre père, qui aura de longs jours et de bonnes années,
M. Schneerson,
L’envoi de la présente a été retardé et je viens de recevoir votre lettre du 21 Adar. Je vous remercie des bonnes nouvelles que vous me communiquez, concernant votre père, qui aura de longs jours et de bonnes années.
Notes
(1) Le Rav C. Y. L. Gansburg, de Bneï Brak.
(2) De trouver un moment qui convienne à tous.
28 Adar 5720,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chalom Yehouda Leïb(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre du second jour de Roch ‘Hodech et j’y ai lu, avec plaisir, que vous enseignez publiquement la ‘Hassidout. Bien plus, quelques uns de ceux qui assistent à cet enseignement sont des élèves de Yechiva. Il est clair que vous ne vous contenterez pas du nombre de ceux qui vous écoutent jusqu’à maintenant. Vous vous efforcerez de multiplier largement votre audience, car il est dit d’une âme juive qu’elle constitue, à elle seule, un monde entier. Combien plus est-ce le cas pour un élève de Yechiva, qui fondera bientôt un foyer juif. Chaque ajout de sa part, en particulier à l’étude de la dimension profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout, sera un apport profond et essentiel à la maison qu’il édifiera, en un moment bon et fructueux. C’est bien évident.
Vous me demandez si vous devez fixer une étude également avec les toutes dernières personnes qui se sont adressées à vous, dans ce but. Bien entendu, tout dépend de la possibilité de les réunir toutes ensemble(2). Vous m’interrogez également sur les discours ‘hassidiques que vous devez enseigner. Il va sans dire que ceux-ci doivent être méticuleusement corrigés. Vous choisirez donc des textes imprimés qui, en outre, possèdent pour la plupart d’entre eux, des notes et des références. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de cela, de même que de l’état de santé de votre père, qui aura de longs jours et de bonnes années,
M. Schneerson,
L’envoi de la présente a été retardé et je viens de recevoir votre lettre du 21 Adar. Je vous remercie des bonnes nouvelles que vous me communiquez, concernant votre père, qui aura de longs jours et de bonnes années.
Notes
(1) Le Rav C. Y. L. Gansburg, de Bneï Brak.
(2) De trouver un moment qui convienne à tous.