Lettre n° 7246
Par la grâce de D.ieu,
6 Nissan 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre de la veille de Roch ‘Hodech Nissan. Je suis surpris que vous ne me disiez rien du temps que vous fixez pour l’étude de l’enseignement profond de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. En outre, il semble que vous n’établissiez aucun lien entre ceci et ce que vous m’écrivez. Peut-être est-ce là la raison des troubles dont vous me faites part. En effet, la dimension profonde de la Torah est qualifiée de : “ arbre de vie, dépourvu d’objections et de controverses, de sorte que les érudits de la Torah ne tirent plus leur subsistance des ignorants, mais uniquement du domaine du bien ”, comme l’affirme le berger fidèle, Moché notre maître. Ceci est également expliqué dans le saint Tanya de l’Admour Hazaken, au chapitre 26 d’Iguéret Ha Kodech.
Et, l’on sait la question qui est posée, à ce sujet. Nombreux sont ceux qui ne se consacrent pas à tout cela mais qui, malgré cela, vivent des jours et des années agréables. Par ailleurs, en plus de toutes les réponses qui peuvent être apportées à cette ancienne objection, on ne peut comparer l’homme à qui la divine Providence a fait connaître ces enseignements, développés par la ‘Hassidout et qui en a effectivement commencé l’étude à toutes les personnes qui n’ont pas eu ce mérite et qui n’en connaissent pas même l’existence, c’est bien évident.
Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, sans attendre une autre invitation à le faire ou encore d’autres allusions, vous fixiez un temps quotidien pour l’étude de la dimension profonde de la Torah, avec un ajout pendant le Chabbat, qui est “ sacré pour D.ieu ”. Cette fixation sera non seulement dans le temps, mais aussi dans l’âme. De la sorte, vous connaîtrez la largesse en vos préoccupations spirituelles et matérielles à la fois. D.ieu fasse que vous me donniez, par retour du courrier, de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
6 Nissan 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre de la veille de Roch ‘Hodech Nissan. Je suis surpris que vous ne me disiez rien du temps que vous fixez pour l’étude de l’enseignement profond de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. En outre, il semble que vous n’établissiez aucun lien entre ceci et ce que vous m’écrivez. Peut-être est-ce là la raison des troubles dont vous me faites part. En effet, la dimension profonde de la Torah est qualifiée de : “ arbre de vie, dépourvu d’objections et de controverses, de sorte que les érudits de la Torah ne tirent plus leur subsistance des ignorants, mais uniquement du domaine du bien ”, comme l’affirme le berger fidèle, Moché notre maître. Ceci est également expliqué dans le saint Tanya de l’Admour Hazaken, au chapitre 26 d’Iguéret Ha Kodech.
Et, l’on sait la question qui est posée, à ce sujet. Nombreux sont ceux qui ne se consacrent pas à tout cela mais qui, malgré cela, vivent des jours et des années agréables. Par ailleurs, en plus de toutes les réponses qui peuvent être apportées à cette ancienne objection, on ne peut comparer l’homme à qui la divine Providence a fait connaître ces enseignements, développés par la ‘Hassidout et qui en a effectivement commencé l’étude à toutes les personnes qui n’ont pas eu ce mérite et qui n’en connaissent pas même l’existence, c’est bien évident.
Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, sans attendre une autre invitation à le faire ou encore d’autres allusions, vous fixiez un temps quotidien pour l’étude de la dimension profonde de la Torah, avec un ajout pendant le Chabbat, qui est “ sacré pour D.ieu ”. Cette fixation sera non seulement dans le temps, mais aussi dans l’âme. De la sorte, vous connaîtrez la largesse en vos préoccupations spirituelles et matérielles à la fois. D.ieu fasse que vous me donniez, par retour du courrier, de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,