Lettre n° 7304
Par la grâce de D.ieu,
19 Iyar 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me faites part de votre situation particulière et je mentionnerai encore une fois votre nom près du saint tombeau de mon beau-père(1), le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Lorsque le Rav et ‘Hassid était ici, il me semble lui avoir dit, en évoquant votre cas, que je ne vois qu’une unique raison à ce retard(2). C’est votre désir d’activer les choses depuis que vous avez commencé à m’écrire, à ce propos. Certes, c’est seulement d’un objet trouvé qu’il est dit qu’on le découvre toujours par surprise. Pour autant, il en est de même pour la manière de gagner sa vie. Un grand effort ne fait rien avancer, bien au contraire. Il est parfois expliqué, à ce propos, qu’il est nécessaire d’emprunter les voies de la nature afin de gagner sa vie, au même titre que pour satisfaire tous les besoins de l’homme, ainsi qu’il est dit : “ en tout ce que tu feras ”, précisément(3).
Pour autant, quand on forge de tels vêtements au-delà de toute mesure, non seulement une telle prolongation n’est d’aucune utilité, mais, bien plus, elle entrave un avancement rapide. Certes, vous avez raison d’écrire que vous soulignez ce problème depuis plusieurs années déjà. Je dois, cependant, constater que, d’emblée, vous avez introduit votre effort, en la matière et vous avez voulu brusquer les choses. Mais, en tout état de cause, on ne peut percevoir l’homme au moment de son malheur. En outre, et ceci est essentiel également, le mérite de ce qui est public vous vient en aide et, avant tout, celui de vos importantes actions menées dans les domaines de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël. J’ai bon espoir que la fermeté de votre confiance en D.ieu élargira et hâtera la bénédiction que vous recevrez. Puisse D.ieu faire qu’il en soit très prochainement ainsi, au sens le plus littéral, en un bien visible et tangible. Nous venons de vivre le jour lumineux de Lag Baomer, Hilloula de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï, dont le comportement était basé sur le verset : “ Des étrangers viendront et feront paître votre troupeau ”(4), comme l’explique le traité Bera’hot 35b. D.ieu fasse donc qu’il en soit de même pour ce qui vous concerne, ce qui veut dire que vous gagnerez votre vie dans la largesse véritable, que vous consacrerez la plus large part de votre temps, de votre énergie, de vos capacités aux domaines de mon beau-père, le Rabbi. Avec ma bénédiction pour donner de véritables bonnes nouvelles, avec une joie véritable et très prochainement,
Notes
(1) Ceci ayant déjà été fait à l’issue de la lettre n°7166.
(2) Pour gagner sa vie.
(3) L’action de l’homme étant nécessaire.
(4) De sorte qu’il pouvait se consacrer à l’étude de la Torah.
19 Iyar 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me faites part de votre situation particulière et je mentionnerai encore une fois votre nom près du saint tombeau de mon beau-père(1), le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Lorsque le Rav et ‘Hassid était ici, il me semble lui avoir dit, en évoquant votre cas, que je ne vois qu’une unique raison à ce retard(2). C’est votre désir d’activer les choses depuis que vous avez commencé à m’écrire, à ce propos. Certes, c’est seulement d’un objet trouvé qu’il est dit qu’on le découvre toujours par surprise. Pour autant, il en est de même pour la manière de gagner sa vie. Un grand effort ne fait rien avancer, bien au contraire. Il est parfois expliqué, à ce propos, qu’il est nécessaire d’emprunter les voies de la nature afin de gagner sa vie, au même titre que pour satisfaire tous les besoins de l’homme, ainsi qu’il est dit : “ en tout ce que tu feras ”, précisément(3).
Pour autant, quand on forge de tels vêtements au-delà de toute mesure, non seulement une telle prolongation n’est d’aucune utilité, mais, bien plus, elle entrave un avancement rapide. Certes, vous avez raison d’écrire que vous soulignez ce problème depuis plusieurs années déjà. Je dois, cependant, constater que, d’emblée, vous avez introduit votre effort, en la matière et vous avez voulu brusquer les choses. Mais, en tout état de cause, on ne peut percevoir l’homme au moment de son malheur. En outre, et ceci est essentiel également, le mérite de ce qui est public vous vient en aide et, avant tout, celui de vos importantes actions menées dans les domaines de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël. J’ai bon espoir que la fermeté de votre confiance en D.ieu élargira et hâtera la bénédiction que vous recevrez. Puisse D.ieu faire qu’il en soit très prochainement ainsi, au sens le plus littéral, en un bien visible et tangible. Nous venons de vivre le jour lumineux de Lag Baomer, Hilloula de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï, dont le comportement était basé sur le verset : “ Des étrangers viendront et feront paître votre troupeau ”(4), comme l’explique le traité Bera’hot 35b. D.ieu fasse donc qu’il en soit de même pour ce qui vous concerne, ce qui veut dire que vous gagnerez votre vie dans la largesse véritable, que vous consacrerez la plus large part de votre temps, de votre énergie, de vos capacités aux domaines de mon beau-père, le Rabbi. Avec ma bénédiction pour donner de véritables bonnes nouvelles, avec une joie véritable et très prochainement,
Notes
(1) Ceci ayant déjà été fait à l’issue de la lettre n°7166.
(2) Pour gagner sa vie.
(3) L’action de l’homme étant nécessaire.
(4) De sorte qu’il pouvait se consacrer à l’étude de la Torah.