Lettre n° 7305
Par la grâce de D.ieu,
19 Iyar 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre de Pessa’h Chéni. J’ai bon espoir que, malgré le dicton de mon beau-père, le Rabbi, relatif à l’enseignement de ce jour, reproduit dans le Hayom Yom, “ il n’est jamais trop tard ”, vous n’en serez pas moins vigilant, de façon régulière, à propos de ce que vous m’écrivez, afin d’obtenir un résultat concret et de la manière qui convient, conformément à l’exigence de nos maîtres. De la sorte, il y aura, dans les deux endroits à la fois, un bastion de ‘Hassidout ou même encore plus que cela, un lieu à partir duquel se révélera la ‘Hassidout, plutôt qu’un bastion protégeant uniquement celui qui s’y trouve. Et, il y a également là un moyen de mettre en pratique la requête(1) : “ tes sources se diffuseront à l’extérieur ”, selon la supériorité de l’eau vive par rapport à celle qui est recueillie dans un bassin.
En un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous m’en donniez de bonnes nouvelles, d’autant que nous sommes au lendemain du jour lumineux de Lag Baomer, Hilloula de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï. Or, on rapporte, au nom de l’Admour Hazaken, que pour les âmes les plus élevées, comme celle de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï, la destruction du Temple ne s’est jamais produite, comme l’explique le discours ‘hassidique intitulé : “ Voici les noms ”, dont l’auteur est le Juste, Rav et ‘Hassid, Rabbi Hillel de Paritch, dans son Péla’h Ha Rimon, Chemot, à la page 7. Or, son objectif(2) était de révéler la dimension profonde d’une manière évidente. Cela est bien clair. Avec mes respects et ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Formulée par le Machia’h au Baal Chem Tov qui lui demandait quand il viendrait.
(2) Celui de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï.
19 Iyar 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre de Pessa’h Chéni. J’ai bon espoir que, malgré le dicton de mon beau-père, le Rabbi, relatif à l’enseignement de ce jour, reproduit dans le Hayom Yom, “ il n’est jamais trop tard ”, vous n’en serez pas moins vigilant, de façon régulière, à propos de ce que vous m’écrivez, afin d’obtenir un résultat concret et de la manière qui convient, conformément à l’exigence de nos maîtres. De la sorte, il y aura, dans les deux endroits à la fois, un bastion de ‘Hassidout ou même encore plus que cela, un lieu à partir duquel se révélera la ‘Hassidout, plutôt qu’un bastion protégeant uniquement celui qui s’y trouve. Et, il y a également là un moyen de mettre en pratique la requête(1) : “ tes sources se diffuseront à l’extérieur ”, selon la supériorité de l’eau vive par rapport à celle qui est recueillie dans un bassin.
En un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous m’en donniez de bonnes nouvelles, d’autant que nous sommes au lendemain du jour lumineux de Lag Baomer, Hilloula de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï. Or, on rapporte, au nom de l’Admour Hazaken, que pour les âmes les plus élevées, comme celle de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï, la destruction du Temple ne s’est jamais produite, comme l’explique le discours ‘hassidique intitulé : “ Voici les noms ”, dont l’auteur est le Juste, Rav et ‘Hassid, Rabbi Hillel de Paritch, dans son Péla’h Ha Rimon, Chemot, à la page 7. Or, son objectif(2) était de révéler la dimension profonde d’une manière évidente. Cela est bien clair. Avec mes respects et ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Formulée par le Machia’h au Baal Chem Tov qui lui demandait quand il viendrait.
(2) Celui de Rabbi Chimeon Ben Yo’haï.