Lettre n° 7311
Par la grâce de D.ieu,
veille du saint Chabbat qui
bénit le mois de Sivan 5720,
Brooklyn, New York,
Aux responsables et aux amis des écoles Beth Rivka,
en général, à ceux qui prennent part au dix huitième
banquet annuel des écoles Beth Rivka, en particulier,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Cette année, le banquet annuel du Beth Rivka a lieu au lendemain du Chabbat qui bénit le mois de Sivan, celui de la réception de la Torah et quelques jours avant le bicentenaire de la Hilloula du Baal Chem Tov, qui sera le premier jour de Chavouot, temps du don de notre Torah. Ces deux moments, le don de la Torah et le décès du Baal Chem Tov, revêtent une signification particulière pour les écoles Beth Rivka, de même que pour leurs responsables, hommes ou femmes et leurs amis, si l’on tient compte du fait que la Torah, en général et la ‘Hassidout, en particulier, accordent un rôle particulièrement important à la femme juive.
Lors du don de la Torah, D.ieu ordonna à Moché, notre maître, de s’adresser d’abord aux femmes et, seulement après cela, aux hommes, ainsi qu’il est dit : “ C’est ainsi que tu parleras à la maison de Yaakov ”, c’est-à-dire aux femmes, “ et, tu diras aux enfants d’Israël ”, aux hommes. La femme et la mère juive, en tant que maîtresse de maison, a l’immense responsabilité et le grand mérite de raffermir et d’assurer les fondements de la Torah et des Mitsvot, au sein du foyer juif. De même, la femme et la mère juive occupent un rôle particulier dans le dévoilement et la révélation de la ‘Hassidout et du mode de vie ‘hassidique, comme le savent tous ceux qui sont familiers de la vie et de l’œuvre des fondateurs de la ‘Hassidout générale et de la ‘Hassidout ‘Habad. Pour s’en convaincre, il suffit de rappeler l’histoire de Ra’hel, grand-mère de l’Admour Hazaken, le fondateur de ‘Habad, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, comme la relate le second tome des mémoires de mon beau-père, le Rabbi, fondateur des écoles Beth Rivka, ouvrage qui vient de paraître à l’occasion de ce bicentenaire.
La conception de ‘Habad et la garantie de la pérennité d’Israël impliquent que les filles juives reçoivent une profonde éducation juive et ‘hassidique. Or, les écoles Beth Rivka sont les institutions qui peuvent l’assurer. Tous ceux qui apportent leur concours dans le but de renforcer et de développer les écoles Beth Rivka prennent donc une large part à la diffusion des sources de la Torah et des Mitsvot, illuminées par la clarté profonde et la chaleur de la ‘Hassidout. Et, c’est ainsi que l’on se prépare à la délivrance complète et véritable, par notre juste Machia’h. Chaque nouvel effort dans cette direction ouvre des sources nouvelles, véhiculant les bénédictions de D.ieu en tous les besoins, matériels et spirituels à la fois. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles, de même que pour recevoir la Torah avec joie et d’une manière profonde,
M. Schneerson,
veille du saint Chabbat qui
bénit le mois de Sivan 5720,
Brooklyn, New York,
Aux responsables et aux amis des écoles Beth Rivka,
en général, à ceux qui prennent part au dix huitième
banquet annuel des écoles Beth Rivka, en particulier,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Cette année, le banquet annuel du Beth Rivka a lieu au lendemain du Chabbat qui bénit le mois de Sivan, celui de la réception de la Torah et quelques jours avant le bicentenaire de la Hilloula du Baal Chem Tov, qui sera le premier jour de Chavouot, temps du don de notre Torah. Ces deux moments, le don de la Torah et le décès du Baal Chem Tov, revêtent une signification particulière pour les écoles Beth Rivka, de même que pour leurs responsables, hommes ou femmes et leurs amis, si l’on tient compte du fait que la Torah, en général et la ‘Hassidout, en particulier, accordent un rôle particulièrement important à la femme juive.
Lors du don de la Torah, D.ieu ordonna à Moché, notre maître, de s’adresser d’abord aux femmes et, seulement après cela, aux hommes, ainsi qu’il est dit : “ C’est ainsi que tu parleras à la maison de Yaakov ”, c’est-à-dire aux femmes, “ et, tu diras aux enfants d’Israël ”, aux hommes. La femme et la mère juive, en tant que maîtresse de maison, a l’immense responsabilité et le grand mérite de raffermir et d’assurer les fondements de la Torah et des Mitsvot, au sein du foyer juif. De même, la femme et la mère juive occupent un rôle particulier dans le dévoilement et la révélation de la ‘Hassidout et du mode de vie ‘hassidique, comme le savent tous ceux qui sont familiers de la vie et de l’œuvre des fondateurs de la ‘Hassidout générale et de la ‘Hassidout ‘Habad. Pour s’en convaincre, il suffit de rappeler l’histoire de Ra’hel, grand-mère de l’Admour Hazaken, le fondateur de ‘Habad, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, comme la relate le second tome des mémoires de mon beau-père, le Rabbi, fondateur des écoles Beth Rivka, ouvrage qui vient de paraître à l’occasion de ce bicentenaire.
La conception de ‘Habad et la garantie de la pérennité d’Israël impliquent que les filles juives reçoivent une profonde éducation juive et ‘hassidique. Or, les écoles Beth Rivka sont les institutions qui peuvent l’assurer. Tous ceux qui apportent leur concours dans le but de renforcer et de développer les écoles Beth Rivka prennent donc une large part à la diffusion des sources de la Torah et des Mitsvot, illuminées par la clarté profonde et la chaleur de la ‘Hassidout. Et, c’est ainsi que l’on se prépare à la délivrance complète et véritable, par notre juste Machia’h. Chaque nouvel effort dans cette direction ouvre des sources nouvelles, véhiculant les bénédictions de D.ieu en tous les besoins, matériels et spirituels à la fois. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles, de même que pour recevoir la Torah avec joie et d’une manière profonde,
M. Schneerson,