Lettre n° 7342
Par la grâce de D.ieu,
22 Sivan 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mardi, “ lorsque deux fois fut dit le mot ‘bon’(1) ”, dans laquelle vous m’interrogez sur la manière de protéger vos yeux(2). Il est bien évident que ce point ne peut pas être traité dans le cadre épistolaire et qu’il est même inutile de le faire, car tout cela est exposé par les ouvrages de ‘Hassidout de nos maîtres, en particulier par le Kountrass Ha Avoda du Rabbi Rachab. En outre, on trouve également des explications dans les livres de Moussar. Il en est de même, par ailleurs, pour ce qui concerne les autres sens(3). On peut le comprendre d’après l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ un aveugle est considéré comme un mort ”. Or, quand les yeux observent ce qui est interdit, ils vont à l’encontre de la finalité de leur création. Un tel homme est alors momentanément aveugle, ou même encore pire que cela. Et, point n’est besoin d’en dire plus, tant cela est évident.
Bien que vous ne le précisiez pas clairement, j’ai bon espoir que vous fixez un temps pour l’étude de la ‘Hassidout. Le Kountrass Ets ‘Haïm, du Rabbi Rachab, en souligne la grande nécessité et l’on peut le vérifier, dans la pratique. Combien plus est-ce le cas pour un élève de Yechiva. Bien entendu, ce temps doit être fixé chaque jour et être plus conséquent pendant le Chabbat, qui est saint pour D.ieu, comme l’expliquent les écrits du Ari Zal. Il serait bon de faire vérifier vos Tefillin. De même, chaque jour de semaine, vous prélèverez quelques pièces pour la Tsédaka, avant la prière du matin. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Lors de la création.
(2) De ce qu’il convient de ne pas regarder.
(3) Par exemple la protection de ce que l’on entend.
22 Sivan 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mardi, “ lorsque deux fois fut dit le mot ‘bon’(1) ”, dans laquelle vous m’interrogez sur la manière de protéger vos yeux(2). Il est bien évident que ce point ne peut pas être traité dans le cadre épistolaire et qu’il est même inutile de le faire, car tout cela est exposé par les ouvrages de ‘Hassidout de nos maîtres, en particulier par le Kountrass Ha Avoda du Rabbi Rachab. En outre, on trouve également des explications dans les livres de Moussar. Il en est de même, par ailleurs, pour ce qui concerne les autres sens(3). On peut le comprendre d’après l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ un aveugle est considéré comme un mort ”. Or, quand les yeux observent ce qui est interdit, ils vont à l’encontre de la finalité de leur création. Un tel homme est alors momentanément aveugle, ou même encore pire que cela. Et, point n’est besoin d’en dire plus, tant cela est évident.
Bien que vous ne le précisiez pas clairement, j’ai bon espoir que vous fixez un temps pour l’étude de la ‘Hassidout. Le Kountrass Ets ‘Haïm, du Rabbi Rachab, en souligne la grande nécessité et l’on peut le vérifier, dans la pratique. Combien plus est-ce le cas pour un élève de Yechiva. Bien entendu, ce temps doit être fixé chaque jour et être plus conséquent pendant le Chabbat, qui est saint pour D.ieu, comme l’expliquent les écrits du Ari Zal. Il serait bon de faire vérifier vos Tefillin. De même, chaque jour de semaine, vous prélèverez quelques pièces pour la Tsédaka, avant la prière du matin. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Lors de la création.
(2) De ce qu’il convient de ne pas regarder.
(3) Par exemple la protection de ce que l’on entend.