Lettre n° 7352
Par la grâce de D.ieu,
3 Tamouz 5720,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre aux besoins communautaires, le Rav Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 27 Sivan. Vous m’interrogez sur les capsules(2) et je ne vous ai pas écrit, à ce propos, jusqu’à maintenant, car j’effectuais une vérification(3). Je viens d’obtenir une information, qui semble être la plus précise et qui est la suivante. Ces capsules sont différentes, d’un fabricant à l’autre. Certaines sont cachères et d’autres ne le sont pas. Il en résulte deux points :
A) En chaque endroit, la production locale en usage doit être vérifiée.
B) Dans la mesure où la capsule peut être cachère, il est toujours possible de présenter une requête légitime au fabricant, en lui demandant de fournir un produit qui soit acceptable pour tous.
Vous ne me dites rien des actions que vous menez pour diffuser les sources(4), en particulier à l’occasion du bicentenaire du décès de notre maître, le Baal Chem Tov et je n’en connais pas la raison. Une coupure de presse d’un périodique de Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, est parvenue jusqu’à moi. Il est dit que les ‘Hassidim ne sont pas satisfaits de la célébration de ce bicentenaire. Cette question m’a été soumise et j’ai répondu que le critère à retenir, en la matière, est le suivant, conformément aux propos du Rabbi Rachab, qui sont rapportés par le Hayom Yom, à la date du 23 Sivan : que résultera-t-il d’une telle action et, en l’occurrence, du fait de négliger ce bicentenaire ? A mon sens, il est bien clair qu’en le diffusant, on conduira certains Juifs à consulter les livres du Baal Chem Tov, de ses disciples, et des élèves de ses disciples et cela est important, d’autant que l’étude de leur enseignement peut conduire à l’action et à renforcer, de façon générale, tous les domaines du Judaïsme. A l’opposé, si l’on ne fait rien à cette occasion, je ne vois pas ce qui en résultera. Bien entendu, tout ceci s’ajoute au point le plus essentiel(5), que l’Admour Hazaken illustre par la parabole du précieux joyau de la couronne du Roi qui est dissout et déversé, parce qu’il existe la possibilité la plus faible qu’en pratiquant de la sorte, une goutte pénètre dans la bouche du prince mourant ou, a fortiori, seulement malade. C’est bien évident.
Nous approchons des jours de la fête de la libération(6) de mon beau-père, le Rabbi et puisse donc D.ieu faire que soit libéré tout ce qui concerne les ‘Hassidim et la ‘Hassidout, en tous les domaines qui font obstacle et que se diffusent les sources du Baal Chem Tov, celles de la ‘Hassidout, jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur et révèlent la délivrance véritable et complète, très prochainement. Avec mes respects et ma bénédiction pour la fête de la libération et pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Le Rav Y. Landa, Rav de Bneï Brak. Voir, à son sujet, la lettre n°7097.
(2) Médicamenteuses des gélules.
(3) Le Rav Landa écrivait : “ Un chimiste animé par la crainte de D.ieu m’écrit que le calcium traverse de nombreuses modifications, bien qu’il provient de graisses interdites ”.
(4) De la ‘Hassidout.
(5) La diffusion de la ‘Hassidout.
(6) Les 12 et 13 Tamouz.
3 Tamouz 5720,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre aux besoins communautaires, le Rav Yaakov(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 27 Sivan. Vous m’interrogez sur les capsules(2) et je ne vous ai pas écrit, à ce propos, jusqu’à maintenant, car j’effectuais une vérification(3). Je viens d’obtenir une information, qui semble être la plus précise et qui est la suivante. Ces capsules sont différentes, d’un fabricant à l’autre. Certaines sont cachères et d’autres ne le sont pas. Il en résulte deux points :
A) En chaque endroit, la production locale en usage doit être vérifiée.
B) Dans la mesure où la capsule peut être cachère, il est toujours possible de présenter une requête légitime au fabricant, en lui demandant de fournir un produit qui soit acceptable pour tous.
Vous ne me dites rien des actions que vous menez pour diffuser les sources(4), en particulier à l’occasion du bicentenaire du décès de notre maître, le Baal Chem Tov et je n’en connais pas la raison. Une coupure de presse d’un périodique de Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, est parvenue jusqu’à moi. Il est dit que les ‘Hassidim ne sont pas satisfaits de la célébration de ce bicentenaire. Cette question m’a été soumise et j’ai répondu que le critère à retenir, en la matière, est le suivant, conformément aux propos du Rabbi Rachab, qui sont rapportés par le Hayom Yom, à la date du 23 Sivan : que résultera-t-il d’une telle action et, en l’occurrence, du fait de négliger ce bicentenaire ? A mon sens, il est bien clair qu’en le diffusant, on conduira certains Juifs à consulter les livres du Baal Chem Tov, de ses disciples, et des élèves de ses disciples et cela est important, d’autant que l’étude de leur enseignement peut conduire à l’action et à renforcer, de façon générale, tous les domaines du Judaïsme. A l’opposé, si l’on ne fait rien à cette occasion, je ne vois pas ce qui en résultera. Bien entendu, tout ceci s’ajoute au point le plus essentiel(5), que l’Admour Hazaken illustre par la parabole du précieux joyau de la couronne du Roi qui est dissout et déversé, parce qu’il existe la possibilité la plus faible qu’en pratiquant de la sorte, une goutte pénètre dans la bouche du prince mourant ou, a fortiori, seulement malade. C’est bien évident.
Nous approchons des jours de la fête de la libération(6) de mon beau-père, le Rabbi et puisse donc D.ieu faire que soit libéré tout ce qui concerne les ‘Hassidim et la ‘Hassidout, en tous les domaines qui font obstacle et que se diffusent les sources du Baal Chem Tov, celles de la ‘Hassidout, jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur et révèlent la délivrance véritable et complète, très prochainement. Avec mes respects et ma bénédiction pour la fête de la libération et pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Le Rav Y. Landa, Rav de Bneï Brak. Voir, à son sujet, la lettre n°7097.
(2) Médicamenteuses des gélules.
(3) Le Rav Landa écrivait : “ Un chimiste animé par la crainte de D.ieu m’écrit que le calcium traverse de nombreuses modifications, bien qu’il provient de graisses interdites ”.
(4) De la ‘Hassidout.
(5) La diffusion de la ‘Hassidout.
(6) Les 12 et 13 Tamouz.