Lettre n° 7357
Par la grâce de D.ieu,
9 Tamouz 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Nous sommes à proximité des 12 et 13 Tamouz, fête de la libération de mon beau-père, le Rabbi, chef de notre génération, qui fit don de lui-même afin de diffuser la Torah, en général et les sources(1), en particulier. A cette occasion, je ne peux m’empêcher de vous écrire les lignes suivantes. Vous êtes restés ici pendant un certain temps(2) et il est impossible que cela n’ait pas exercé une influence sur vous, que vous ne vous conformiez pas à la volonté et à l’espoir de nos maîtres. Je m’étais donc dit qu’à votre retour, après votre montée en Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, vous commenceriez immédiatement, vous bondiriez, vous vous investiriez aussitôt pour le renforcement, le développement et l’approfondissement de tout ce qui concerne mon beau-père, le Rabbi, à Kfar ‘Habad et dans ses alentours, avec une chaleur et un enthousiasme véritables, d’autant que de telles actions, pour leur plus large part, ont réellement besoin d’être élargies, comme vous pouvez l’observer de vos propres yeux. Seules manquent les personnes se consacrant à cela.
A ma grande peine, je n’ai, pour l’heure, pas reçu de nouvelles, ni de cet enthousiasme, ni même d’actions menées dans l’esprit qui vient d’être défini. Or, il n’est pas de jour que l’on ne reçoive de lettres soulignant le manque de réalisations accomplies dans le cadre de Kfar ‘Habad, en général, des jeunes de l’association ‘Habad se trouvant sur place, en particulier, qu’il s’agisse, par exemple, de projets locaux ou de voyages et de visites. Bien plus, certaines de ces structures ont promis leur participation à ce qui serait fait. Or, pour l’instant, rien n’a été entrepris. En outre, si l’on tient compte du fait que la date du mariage de chacun d’entre vous approche, en un moment bon et fructueux, c’est bien maintenant qu’il faut saisir cette opportunité. C’est pourtant bien là le fondement sur lequel on peut bâtir un foyer juif, une maison ‘hassidique et, point n’est besoin d’en dire plus, tant cela est évident.
Puisse D.ieu faire qu’une solution soit trouvée dès réception de la présente. Comme l’indique l’Admour Hazaken, à la fin du chapitre 9 d’Iguéret Ha Techouva : “ celui qui avait l’habitude de lire une page(3) en lira deux(4) ”. Vous devez, en outre, conduire ceux qui se trouvent près de vous et dans votre entourage à réaliser ces actions fondamentales, qui sont précisément des moyens de construire. J’attends de vos bonnes nouvelles. Avec ma bénédiction pour donner ces bonnes nouvelles et à l’occasion de la fête de la libération,
Notes
(1) De la ‘Hassidout.
(2) Cette lettre est adressée à des jeunes gens d’Erets Israël, ayant poursuivi leurs études, pendant quelques temps, dans la Yechiva se trouvant auprès du Rabbi.
(3) Avant de commettre la faute et désire accéder à la Techouva.
(4) Afin de parvenir à cette Techouva.
9 Tamouz 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Nous sommes à proximité des 12 et 13 Tamouz, fête de la libération de mon beau-père, le Rabbi, chef de notre génération, qui fit don de lui-même afin de diffuser la Torah, en général et les sources(1), en particulier. A cette occasion, je ne peux m’empêcher de vous écrire les lignes suivantes. Vous êtes restés ici pendant un certain temps(2) et il est impossible que cela n’ait pas exercé une influence sur vous, que vous ne vous conformiez pas à la volonté et à l’espoir de nos maîtres. Je m’étais donc dit qu’à votre retour, après votre montée en Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, vous commenceriez immédiatement, vous bondiriez, vous vous investiriez aussitôt pour le renforcement, le développement et l’approfondissement de tout ce qui concerne mon beau-père, le Rabbi, à Kfar ‘Habad et dans ses alentours, avec une chaleur et un enthousiasme véritables, d’autant que de telles actions, pour leur plus large part, ont réellement besoin d’être élargies, comme vous pouvez l’observer de vos propres yeux. Seules manquent les personnes se consacrant à cela.
A ma grande peine, je n’ai, pour l’heure, pas reçu de nouvelles, ni de cet enthousiasme, ni même d’actions menées dans l’esprit qui vient d’être défini. Or, il n’est pas de jour que l’on ne reçoive de lettres soulignant le manque de réalisations accomplies dans le cadre de Kfar ‘Habad, en général, des jeunes de l’association ‘Habad se trouvant sur place, en particulier, qu’il s’agisse, par exemple, de projets locaux ou de voyages et de visites. Bien plus, certaines de ces structures ont promis leur participation à ce qui serait fait. Or, pour l’instant, rien n’a été entrepris. En outre, si l’on tient compte du fait que la date du mariage de chacun d’entre vous approche, en un moment bon et fructueux, c’est bien maintenant qu’il faut saisir cette opportunité. C’est pourtant bien là le fondement sur lequel on peut bâtir un foyer juif, une maison ‘hassidique et, point n’est besoin d’en dire plus, tant cela est évident.
Puisse D.ieu faire qu’une solution soit trouvée dès réception de la présente. Comme l’indique l’Admour Hazaken, à la fin du chapitre 9 d’Iguéret Ha Techouva : “ celui qui avait l’habitude de lire une page(3) en lira deux(4) ”. Vous devez, en outre, conduire ceux qui se trouvent près de vous et dans votre entourage à réaliser ces actions fondamentales, qui sont précisément des moyens de construire. J’attends de vos bonnes nouvelles. Avec ma bénédiction pour donner ces bonnes nouvelles et à l’occasion de la fête de la libération,
Notes
(1) De la ‘Hassidout.
(2) Cette lettre est adressée à des jeunes gens d’Erets Israël, ayant poursuivi leurs études, pendant quelques temps, dans la Yechiva se trouvant auprès du Rabbi.
(3) Avant de commettre la faute et désire accéder à la Techouva.
(4) Afin de parvenir à cette Techouva.