Lettre n° 7375
Par la grâce de D.ieu,
Roch ‘Hodech Mena’hem Av 5720,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, le Rav Moché(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre question, posée par le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Tsvi Shusterman, concernant votre état de santé et l’avis du médecin. De façon générale, il faut se conformer à l’opinion de deux médecins, spécialistes en ce domaine. En l’occurrence, vous m’écrivez que tous deux sont du même avis et considèrent que vous devez suivre ce traitement. Quand faudra-t-il le suivre ? Dans la mesure du possible, vous le repousserez après le neuvième jour(2). Et, tout retard est pour le bien. Néanmoins, si le médecin insiste pour qu’il soit effectué avant cela, vous le ferez avant Chabbat ‘Hazon(3).
D.ieu, Qui guérit toute chair et accomplit des merveilles, prononcera Sa Parole et vous guérira, par l’intermédiaire de tel médecin et de tel traitement. Et, vous me donnerez de bonnes nouvelles, d’un bien visible et tangible. Je vous adresse une copie de ma lettre adressée à tous à l’occasion du dernier Chavouot(4). Celle-ci est d’actualité tout au long de l’année et elle explique que le bien visible et tangible va de pair avec le bien véritable. Et, chaque ajout à l’étude de la Torah, de sa partie révélée et de la ‘Hassidout, renforce la bénédiction de D.ieu en ce qui vient d’être dit. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles, en bonne santé,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav M. Shayevitch, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°6616.
(2) Le jeûne du 9 Av.
(3) En l’occurrence, le 9 Av.
(4) Il s’agit de la lettre n°7327.
Roch ‘Hodech Mena’hem Av 5720,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, le Rav Moché(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre question, posée par le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Tsvi Shusterman, concernant votre état de santé et l’avis du médecin. De façon générale, il faut se conformer à l’opinion de deux médecins, spécialistes en ce domaine. En l’occurrence, vous m’écrivez que tous deux sont du même avis et considèrent que vous devez suivre ce traitement. Quand faudra-t-il le suivre ? Dans la mesure du possible, vous le repousserez après le neuvième jour(2). Et, tout retard est pour le bien. Néanmoins, si le médecin insiste pour qu’il soit effectué avant cela, vous le ferez avant Chabbat ‘Hazon(3).
D.ieu, Qui guérit toute chair et accomplit des merveilles, prononcera Sa Parole et vous guérira, par l’intermédiaire de tel médecin et de tel traitement. Et, vous me donnerez de bonnes nouvelles, d’un bien visible et tangible. Je vous adresse une copie de ma lettre adressée à tous à l’occasion du dernier Chavouot(4). Celle-ci est d’actualité tout au long de l’année et elle explique que le bien visible et tangible va de pair avec le bien véritable. Et, chaque ajout à l’étude de la Torah, de sa partie révélée et de la ‘Hassidout, renforce la bénédiction de D.ieu en ce qui vient d’être dit. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles, en bonne santé,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav M. Shayevitch, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°6616.
(2) Le jeûne du 9 Av.
(3) En l’occurrence, le 9 Av.
(4) Il s’agit de la lettre n°7327.