Lettre n° 742
Par la grâce de D.ieu,
17 Elloul 5710,
A madame ...,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 9 de ce mois, dans laquelle vous décrivez votre situation. Vous dites avoir écrit, à ce propos, à mon beau-père, le Rabbi, qui vous a répondu.
Vous devez savoir que le Rabbi a toujours tenu parole et combien plus est-ce le cas, à l’heure actuelle, pendant l’année du décès. Comme le souligne l’Admour Hazaken, toutes les barrières qui existaient auparavant sont désormais tombées. Vous devez donc être certaine, ferme dans votre foi, car la promesse du Rabbi se réalisera en tout état de cause. Bien évidemment, cela est seulement une question de temps.
Vous me parlez de votre fille et je me rappelle qu’à l’époque, lorsque je me trouvais à Paris, elle m’avait elle-même transmis votre requête. Je lui avais, alors, envoyé un Sidour. Ayant été éduquée à Beth Rivka, je suis sûr qu’elle s’en sert souvent. J’ai donc demandé qu’on lui en envoie un nouveau. Puisse D.ieu faire que les prières qu’elle dira avec celui-ci soient exaucées par le Maître du monde.
Nous sommes dans le mois d’Elloul et nous commencerons bientôt à dire les Seli’hot. Il y aura ensuite les jours redoutables, puis les jours joyeux de Soukkot et de Chemini Atséret. On doit donc savoir qu’il en est de même pour chaque Juif, homme ou femme. Quand on demande à D.ieu de faire preuve de miséricorde et de bonté, on met en éveil l’aspect profond du cœur juif qui est intact chez chacun.
Alors, même si l’on a eu un comportement qui n’était pas irréprochable, D.ieu pardonne et permet d’être inscrit et scellé pour une bonne année. Viennent ensuite les moments joyeux et l’on reçoit une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Vous respectez sans doute la coutume consistant à donner de la Tsédaka dans un tronc dédié à Rabbi Meïr Baal Haness, avant d’allumer les bougies du Chabbat et des fêtes, ce qui favorise la bonne santé et la prospérité matérielle.
Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai votre nom, celui de votre mari et celui de votre fille, afin que vous soyez inscrits et scellés pour une bonne année. J’émets le souhait que la promesse du Rabbi se réalise au plus vite et que vous soyez inscrite et scellée pour une bonne et douce année.
Avec ma bénédiction pour une bonne année,
Mena’hem Schneerson,
17 Elloul 5710,
A madame ...,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 9 de ce mois, dans laquelle vous décrivez votre situation. Vous dites avoir écrit, à ce propos, à mon beau-père, le Rabbi, qui vous a répondu.
Vous devez savoir que le Rabbi a toujours tenu parole et combien plus est-ce le cas, à l’heure actuelle, pendant l’année du décès. Comme le souligne l’Admour Hazaken, toutes les barrières qui existaient auparavant sont désormais tombées. Vous devez donc être certaine, ferme dans votre foi, car la promesse du Rabbi se réalisera en tout état de cause. Bien évidemment, cela est seulement une question de temps.
Vous me parlez de votre fille et je me rappelle qu’à l’époque, lorsque je me trouvais à Paris, elle m’avait elle-même transmis votre requête. Je lui avais, alors, envoyé un Sidour. Ayant été éduquée à Beth Rivka, je suis sûr qu’elle s’en sert souvent. J’ai donc demandé qu’on lui en envoie un nouveau. Puisse D.ieu faire que les prières qu’elle dira avec celui-ci soient exaucées par le Maître du monde.
Nous sommes dans le mois d’Elloul et nous commencerons bientôt à dire les Seli’hot. Il y aura ensuite les jours redoutables, puis les jours joyeux de Soukkot et de Chemini Atséret. On doit donc savoir qu’il en est de même pour chaque Juif, homme ou femme. Quand on demande à D.ieu de faire preuve de miséricorde et de bonté, on met en éveil l’aspect profond du cœur juif qui est intact chez chacun.
Alors, même si l’on a eu un comportement qui n’était pas irréprochable, D.ieu pardonne et permet d’être inscrit et scellé pour une bonne année. Viennent ensuite les moments joyeux et l’on reçoit une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Vous respectez sans doute la coutume consistant à donner de la Tsédaka dans un tronc dédié à Rabbi Meïr Baal Haness, avant d’allumer les bougies du Chabbat et des fêtes, ce qui favorise la bonne santé et la prospérité matérielle.
Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai votre nom, celui de votre mari et celui de votre fille, afin que vous soyez inscrits et scellés pour une bonne année. J’émets le souhait que la promesse du Rabbi se réalise au plus vite et que vous soyez inscrite et scellée pour une bonne et douce année.
Avec ma bénédiction pour une bonne année,
Mena’hem Schneerson,