Lettre n° 743
Par la grâce de D.ieu,
17 Elloul 5710,
Au ‘Hassid qui craint D.ieu, monsieur ...,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre et votre demande pour une bénédiction de réussite, pour vous, votre épouse et vos deux fils. Sans en faire le voeu, je mentionnerai tous vos noms, lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin que vous soyez inscrits et scellées pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Vous connaissez sûrement l’explication de mon beau-père, le Rabbi, comparant une bénédiction à la pluie. En effet, il est d’abord nécessaire de planter. Puis, la bénédiction transforme une graine unique en une quantité infiniment plus importante de fruits.
Il en est de même lorsque l’on fait, de sa propre initiative, un acte lié à la Torah et aux Mitsvot, en général et à la Tsédaka, en particulier. Un homme ne peut agir qu’en fonction des forces dont il dispose et qui sont nécessairement limitées. Néanmoins, il reçoit la bénédiction, que D.ieu lui accorde selon Ses possibilités, lesquelles ne sont pas limitées. Vous obtiendrez ainsi la santé, la prospérité matérielle et la réussite, de même que votre épouse et vos enfants.
Je suis convaincu que vous rechercherez et trouverez le moyen d’agir dans les domaines de la Tsédaka, de la Torah et des Mitsvot, pour vous-même et pour les autres. Ceci sera un bon réceptacle pour contenir la bénédiction dont vous-même et votre famille avez besoin.
Je voudrais vous demander de transmettre à votre oncle que je mentionnerai son nom, comme vous me l’avez demandé, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin qu’il ait une prompte guérison, qu’il soit inscrit et scellé pour une bonne et douce année.
Vous trouverez ci-joint un reçu pour le don que vous avez fait pour les oeuvres de Ma’hané Israël réalisées de manière confidentielle, venant en aide à des personnes ou a des institutions, selon des modalités qui, pour différentes raisons, ne peuvent être divulguées. La Tsédaka qui reste confidentielle est, de fait, l’une de ses formes les plus hautes.
Avec ma bénédiction pour que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année,
Mena’hem Schneerson,
17 Elloul 5710,
Au ‘Hassid qui craint D.ieu, monsieur ...,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre et votre demande pour une bénédiction de réussite, pour vous, votre épouse et vos deux fils. Sans en faire le voeu, je mentionnerai tous vos noms, lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin que vous soyez inscrits et scellées pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Vous connaissez sûrement l’explication de mon beau-père, le Rabbi, comparant une bénédiction à la pluie. En effet, il est d’abord nécessaire de planter. Puis, la bénédiction transforme une graine unique en une quantité infiniment plus importante de fruits.
Il en est de même lorsque l’on fait, de sa propre initiative, un acte lié à la Torah et aux Mitsvot, en général et à la Tsédaka, en particulier. Un homme ne peut agir qu’en fonction des forces dont il dispose et qui sont nécessairement limitées. Néanmoins, il reçoit la bénédiction, que D.ieu lui accorde selon Ses possibilités, lesquelles ne sont pas limitées. Vous obtiendrez ainsi la santé, la prospérité matérielle et la réussite, de même que votre épouse et vos enfants.
Je suis convaincu que vous rechercherez et trouverez le moyen d’agir dans les domaines de la Tsédaka, de la Torah et des Mitsvot, pour vous-même et pour les autres. Ceci sera un bon réceptacle pour contenir la bénédiction dont vous-même et votre famille avez besoin.
Je voudrais vous demander de transmettre à votre oncle que je mentionnerai son nom, comme vous me l’avez demandé, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin qu’il ait une prompte guérison, qu’il soit inscrit et scellé pour une bonne et douce année.
Vous trouverez ci-joint un reçu pour le don que vous avez fait pour les oeuvres de Ma’hané Israël réalisées de manière confidentielle, venant en aide à des personnes ou a des institutions, selon des modalités qui, pour différentes raisons, ne peuvent être divulguées. La Tsédaka qui reste confidentielle est, de fait, l’une de ses formes les plus hautes.
Avec ma bénédiction pour que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année,
Mena’hem Schneerson,