Lettre n° 7433
Par la grâce de D.ieu,
21 Elloul 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 14 Elloul, mois de la miséricorde, dans laquelle vous me décrivez brièvement ce que vous avez vécu, de même que la perte que vous avez dernièrement subie, avec le décès de votre fils. Que le Consolateur de Sion et de Jérusalem renforce chacun d’entre vous, dans toute la mesure du possible et qu’à l’avenir, vous connaissiez uniquement le bien et la largesse. Vous me parlez de votre famille et de son origine. Il est inutile, je l’espère, de vous rappeler que l’âme est éternelle. De fait, les sages des nations le reconnaissent et ils n’émettent même aucun doute, à ce sujet. Cette âme ne fait que passer d’un stade à un autre. En conséquence, tous ceux qui étaient auparavant liés à elle et qui recherchent son bien doivent s’efforcer de lui procurer de la satisfaction, dans toute la mesure du possible. De fait, même lorsque l’âme se trouve dans le corps, c’est bien à elle qu’on est lié, elle qu’on aime, car le corps n’est qu’un vêtement extérieur. Comment lui procurer de la satisfaction ? En introduisant un esprit de purification, une lumière pure dans ses quatre coudées et dans son entourage. C’est de cette façon qu’un homme et un endroit peuvent recevoir la bénédiction de D.ieu, Source de la vie réelle, Existence véritable. En tout ce qui est lié et attaché à la vie, s’accomplissent les termes du verset : “ Et vous, vous êtes liés à l’Eternel votre D.ieu, tous vivants aujourd’hui ”. Il est inutile de préciser que ces mots font allusion à notre Torah, Torah de vie et à ses Mitsvot, desquelles il est dit : “ On vivra par elles ”.
Autre point, à ce sujet, bien que cette précision soit sans doute inutile, j’espère que vous avez adopté une organisation, concernant la lecture du Kaddish et l’étude de la Michna pour l’âme du défunt. En outre, et ceci est essentiel, vous devez donner de la Tsédaka, au sens littéral de même qu’en sa dimension morale, en diffusant le Judaïsme traditionnel en tout endroit où s’exerce votre influence. Je serais satisfait d’obtenir une bonne nouvelle, concernant cette organisation. Je dois également me référer au début de votre lettre, concernant votre lieu de travail, du fait duquel vous ne m’avez pas écrit jusqu’à maintenant. J’en suis surpris et étonné, car vous travaillez avec des Juifs. Or, tous assument une responsabilité collective et, qui sait ? Peut-être travaillez-vous là afin que, par votre intermédiaire, s’y produise un ajout à “ la bougie (qui) est une Mitsva et la Torah (qui) est une lumière ”, de même qu’au luminaire de la Torah, sa dimension profonde, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout, avec sa lumière et sa vitalité. Déjà, au préalable, il n’était pas de Juif qui n’ait son moment, un domaine dans lequel il soit possible d’exercer une influence sur lui. Et, combien plus est-ce le cas, à l’heure actuelle. On peut observer, dans le milieu que vous décrivez et au sein duquel vous travaillez, une motivation pour les valeurs véritables des Juifs, la Torah, la Tradition ancestrale, l’étude, qui conduit à l’action, à la pratique effective des Mitsvot. C’est à ce propos que nos Sages disent : “ Rien ne résiste à la volonté ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles, de même qu’afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
N. B. : J’ai lu avec plaisir les quelques lignes que vous m’écrivez à propos de votre frère, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, qui aura de longs jours et de bonnes années. Vous me dites qu’il connaît la réussite en ses actions de diffusion de la lumière de la Torah dans son entourage, en des proportions de plus en plus larges, surtout parmi les jeunes gens et les jeunes filles, qui construisent l’avenir et le confortent.
21 Elloul 5720,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 14 Elloul, mois de la miséricorde, dans laquelle vous me décrivez brièvement ce que vous avez vécu, de même que la perte que vous avez dernièrement subie, avec le décès de votre fils. Que le Consolateur de Sion et de Jérusalem renforce chacun d’entre vous, dans toute la mesure du possible et qu’à l’avenir, vous connaissiez uniquement le bien et la largesse. Vous me parlez de votre famille et de son origine. Il est inutile, je l’espère, de vous rappeler que l’âme est éternelle. De fait, les sages des nations le reconnaissent et ils n’émettent même aucun doute, à ce sujet. Cette âme ne fait que passer d’un stade à un autre. En conséquence, tous ceux qui étaient auparavant liés à elle et qui recherchent son bien doivent s’efforcer de lui procurer de la satisfaction, dans toute la mesure du possible. De fait, même lorsque l’âme se trouve dans le corps, c’est bien à elle qu’on est lié, elle qu’on aime, car le corps n’est qu’un vêtement extérieur. Comment lui procurer de la satisfaction ? En introduisant un esprit de purification, une lumière pure dans ses quatre coudées et dans son entourage. C’est de cette façon qu’un homme et un endroit peuvent recevoir la bénédiction de D.ieu, Source de la vie réelle, Existence véritable. En tout ce qui est lié et attaché à la vie, s’accomplissent les termes du verset : “ Et vous, vous êtes liés à l’Eternel votre D.ieu, tous vivants aujourd’hui ”. Il est inutile de préciser que ces mots font allusion à notre Torah, Torah de vie et à ses Mitsvot, desquelles il est dit : “ On vivra par elles ”.
Autre point, à ce sujet, bien que cette précision soit sans doute inutile, j’espère que vous avez adopté une organisation, concernant la lecture du Kaddish et l’étude de la Michna pour l’âme du défunt. En outre, et ceci est essentiel, vous devez donner de la Tsédaka, au sens littéral de même qu’en sa dimension morale, en diffusant le Judaïsme traditionnel en tout endroit où s’exerce votre influence. Je serais satisfait d’obtenir une bonne nouvelle, concernant cette organisation. Je dois également me référer au début de votre lettre, concernant votre lieu de travail, du fait duquel vous ne m’avez pas écrit jusqu’à maintenant. J’en suis surpris et étonné, car vous travaillez avec des Juifs. Or, tous assument une responsabilité collective et, qui sait ? Peut-être travaillez-vous là afin que, par votre intermédiaire, s’y produise un ajout à “ la bougie (qui) est une Mitsva et la Torah (qui) est une lumière ”, de même qu’au luminaire de la Torah, sa dimension profonde, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout, avec sa lumière et sa vitalité. Déjà, au préalable, il n’était pas de Juif qui n’ait son moment, un domaine dans lequel il soit possible d’exercer une influence sur lui. Et, combien plus est-ce le cas, à l’heure actuelle. On peut observer, dans le milieu que vous décrivez et au sein duquel vous travaillez, une motivation pour les valeurs véritables des Juifs, la Torah, la Tradition ancestrale, l’étude, qui conduit à l’action, à la pratique effective des Mitsvot. C’est à ce propos que nos Sages disent : “ Rien ne résiste à la volonté ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles, de même qu’afin d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
N. B. : J’ai lu avec plaisir les quelques lignes que vous m’écrivez à propos de votre frère, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, qui aura de longs jours et de bonnes années. Vous me dites qu’il connaît la réussite en ses actions de diffusion de la lumière de la Torah dans son entourage, en des proportions de plus en plus larges, surtout parmi les jeunes gens et les jeunes filles, qui construisent l’avenir et le confortent.