Lettre n° 7445
[année 5720]
Selon ce qu’écrit le Rambam(1), à la fin des lois du Loulav, il doit en être ainsi tout au long du jour et, comme le tranche le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, au chapitre 231 : “ en toutes tes voies, reconnais-Le ”. La nécessité d’adopter une telle attitude est expliquée, en particulier, dans le Tanya, à partir du chapitre 26.
* * *
Cela est très très (Méod Méod) judicieux(2). Et, le Likouteï Torah, à la Parchat Chela’h explique le sens de cette répétition, Méod Méod.
* * *
A la page 38c(3), il est dit que l’aspect le plus haut de la prière doit se révéler jusqu’au point le plus bas, c’est-à-dire dans l’action, dans le fait de manger, de boire, “ en toutes tes voies ”.
Notes
(1) La question posée était la suivante : “ Comment puis-je me convaincre d’être joyeux ? ”.
(2) La question posée était la suivante : “ Faut-il changer le rite de la prière pour adopter celui du Ari Zal ? ”.
(3) La question posée était la suivante : “ J’ai étudié le Likouteï Torah, à la Parchat Chela’h, mais, pour l’heure, je n’ai pas compris le sens des propos du Rabbi Chlita et je ne vois pas le rapport avec le rite de la prière ”.
Selon ce qu’écrit le Rambam(1), à la fin des lois du Loulav, il doit en être ainsi tout au long du jour et, comme le tranche le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, au chapitre 231 : “ en toutes tes voies, reconnais-Le ”. La nécessité d’adopter une telle attitude est expliquée, en particulier, dans le Tanya, à partir du chapitre 26.
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Cela est très très (Méod Méod) judicieux(2). Et, le Likouteï Torah, à la Parchat Chela’h explique le sens de cette répétition, Méod Méod.
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A la page 38c(3), il est dit que l’aspect le plus haut de la prière doit se révéler jusqu’au point le plus bas, c’est-à-dire dans l’action, dans le fait de manger, de boire, “ en toutes tes voies ”.
Notes
(1) La question posée était la suivante : “ Comment puis-je me convaincre d’être joyeux ? ”.
(2) La question posée était la suivante : “ Faut-il changer le rite de la prière pour adopter celui du Ari Zal ? ”.
(3) La question posée était la suivante : “ J’ai étudié le Likouteï Torah, à la Parchat Chela’h, mais, pour l’heure, je n’ai pas compris le sens des propos du Rabbi Chlita et je ne vois pas le rapport avec le rite de la prière ”.