Lettre n° 745
Par la grâce de D.ieu,
17 Elloul 5710,
Au ‘Hassid, qui craint D.ieu, le Rav ...,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du premier jour de Roch ‘Hodech Elloul. J’ai appris avec satisfaction que vous avez terminé vos études, avez obtenu vos diplômes et que vous exercez déjà votre métier.
Vous savez que le Rambam, dans ses lois des opinions, explique longuement comment mettre en pratique le Précepte "en toutes tes voies, connais-Le". Il montre que, par chaque élément de sa vie, on doit pouvoir servir D.ieu. A n’en pas douter, si vous faites l’effort qui convient, vous trouverez le meilleur moyen de servir D.ieu sur la voie dans laquelle vous vous êtes engagée.
Vous me dites que, durant votre voyage, vous avez rencontré des Juifs orthodoxes et tiré un enseignement de leur comportement. C’est une très bonne chose et, de fait, la Michna dit: "Qui est le sage? Celui qui apprend de chacun". Et vous trouverez, dans les mémoires de mon beau-père, le Rabbi, le commentaire du Baal Chem Tov sur cette sentence(1).
Néanmoins, tout cela n’est pas suffisant. Car, un homme doit, certes, apprendre, mais aussi enseigner aux autres. Il est différentes manières de le faire, ou bien en dispensant un enseignement, au sens le plus littéral, c'est-à-dire en parlant aux autres et en leur montrant le comportement droit, dans le service de D.ieu comme dans les relations entre les hommes. Ce peut être aussi en leur montrant un exemple, par son propre comportement, en particulier par son étude de la Torah et sa pratique des Mitsvot.
Ainsi, si l’on voit un homme qui adopte toujours un bon comportement, on dira: "Voyez telle personne, qui a une attitude digne d’un Juif. Chacun doit donc l’imiter". Je souhaite qu’avec le temps, il en soit ainsi pour vous, et non uniquement de la seconde manière(2).
Ainsi, vous dites, dans votre lettre, que vous enseignez à l’école du dimanche(3) et travaillez dans une compagnie juive. Vous enseignerez donc encore plus activement, en exerçant directement une influence positive sur les autres, en les conduisant à étudier la Torah, en étant pénétrés de crainte de D.ieu et en accomplissant les Mitsvot.
Vous me dites qu’il vous est difficile de transformer votre personnalité. Je ne comprends pas exactement ce que vous voulez dire. Faites-vous allusion à vos relations avec les autres personnes ou à autre chose? Vous préciserez sûrement vos propos, la prochaine fois.
Vous m’écrivez aussi que vous êtes surpris par la politique du monde, en relation avec la venue du Machia’h. Là encore, vous ne m’expliquez pas clairement ce qui fait l’objet de votre étonnement. Vous vous rappelez sans doute de notre conversation, lorsque vous étiez ici. Nous disions que le Saint béni soit-Il n’a rien créé d’inutile dans le monde. Cela est vrai également des événements qui s’y déroulent et de la manière de les interpréter.
Ainsi, si cela était nécessaire au service de D.ieu, il y aurait sûrement des personnes qui prédiraient l’avenir, afin de rendre ce service plus aisé. Si l’on ne trouve pas de telles personnes, c’est donc que l’on attend de nous ce service, même si nous ne savons pas à l’avance ce qui va se passer.
Il y a deux mois environ, j’ai déjà dit qu’à mon avis, il n’y aura pas de guerre, dans les prochains mois. Il n’y a donc pas lieu d’avoir peur et chacun peut se consacrer à ses occupations, comme à l’accoutumée. Il importe uniquement de mener à bien la mission pour laquelle son âme est descendue dans ce monde. Pour y parvenir, il faut étudier la Torah et accomplir les Mitsvot, comme l’explique la ‘Hassidout.
Lorsque quelqu’un a eu le mérite de se voir confier une mission par mon beau-père, le Rabbi, il doit être clair pour lui que celle-ci fait partie du rôle dévolu à son âme, ici-bas.
Pour reprendre ce dont nous avons parlé il y a quelques temps, lorsque vous m’avez posé plusieurs questions à propos d’Erets Israël, il est sans doute maintenant évident pour vous, puisque le Saint béni soit-Il l’a montré aux Juifs sans ambiguïté, que cela n’est pas la délivrance tant attendue. Il l’explique avec bonté et miséricorde, afin que l’on sache qu’il n’y a là qu’une faible part du salut.
Pour différentes raisons, nous n’avons pas encore obtenu la délivrance qui nous a été annoncée par nos prophètes et pour laquelle nous prions chaque jour en disant "et à Jérusalem, Ta ville(4)", "La pousse de David Ton serviteur(5)", "Que nos yeux assistent(6)".
Mais, avant de dire "et à Jérusalem, Ta ville", nous proclamons d’abord: "Et nous n’aurons jamais honte, car nous avons placé notre espoir en Toi". Avant de dire "Que nos yeux assistent", nous affirmons: "Père miséricordieux, prends-nous en pitié".
Ainsi, il est clair que la délivrance viendra de D.ieu Lui-même, qu’elle est liée à la Torah et aux Mitsvot, comme l’expliquent nos Sages, dans différents textes, dont voici quelques références: "Israël sera délivré uniquement lorsqu’il accédera à la Techouva", "Israël sera délivré seulement par la Tsédaka". Chaque Juif et chaque Juive doivent savoir que toutes leurs bonnes actions hâtent la rédemption, la fin de l’exil et de l’obscurité, rapprochent la délivrance complète et véritable, par notre juste Machia’h.
C’est donc le seul moyen d’obtenir la délivrance d’Israël et Moché, notre maître, l’a dit lui-même au peuple juif, il y a plus de trois mille ans. Il l’a même longuement consigné, dans la Torah de D.ieu, à la Parchat Nitsavim, au chapitre 30.
Vous m’avez demandé de mentionner votre nom près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi et c’est ce que je ferais. Mais, vous dites que vous ne comprenez pas cette pratique. Néanmoins, lorsque vous mangez, buvez ou dormez, je suppose que vous ne réfléchissez pas, au préalable, à l’effet que ceci peut avoir sur votre corps et sur votre âme. Or, vous faites ces actions, bien que vous ne les compreniez pas. Il peut donc en être de même, dans ce domaine.
Vous dites que cette manière d’agir s’apparente à une conversation avec les morts, ce qu’à D.ieu ne plaise, que l’on s’adresse alors à quelqu’un d’autre(7), que D.ieu nous en garde. Vous comprenez sans doute que ce n’est nullement le cas. Vous savez que Kalev, fils d’Ifouné, des Sages de la Michna et de la Guemara, des Justes de différentes époques ont agi de la sorte.
Je répondrai brièvement à votre question. Lorsque l’on venait demander une bénédiction au Rabbi(8), on ne s’adressait pas à lui du fait de la supériorité de son corps, mais bien à cause de l’élévation de son âme. Or, la mort atteint uniquement le corps, car l’âme est éternelle. Celle du Juste, en particulier, ne peut connaître le Guehénom(9) ou la fronde(10). Pour elle, la mort ne peut donc être qu’une élévation, qu’une ascension vers un stade plus élevé. Mais, ce Juste n’est pas un "mort", ce qu’à D.ieu ne plaise. C’est ce qu’explique le Zohar, tome 3, page 71.
Vous prétendez également que l’on s’adresse à quelqu’un d’autre(7). Je vous expliquerai brièvement que ce n’est nullement le cas. En effet,
A) On demande, au Juste, dans sa grande perfection, d’intercéder en faveur de celui qui le sollicite auprès du Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il.
B) Il fait aussi introduire un autre point. Chaque ‘Hassid, attaché au Rabbi, possède une âme qui est une parcelle de celle du Juste, laquelle possède un caractère collectif, est comparée à la tête par rapport à toutes ces âmes individuelles, comme le dit le second chapitre du Tanya. Chaque membre du corps reçoit sa vitalité de l’âme. Mais, celle-ci se révèle tout d’abord dans le cerveau et dans la tête. C’est ensuite seulement qu’elle véhicule à chaque membre la vitalité dont il a besoin.
Or, il en est de même pour la relation entre un ‘Hassid et son Rabbi. La tête, qui est saine et forte, possède la vitalité qui convient à chaque membre du corps. Pour que ce dernier soit également sain, il doit s’attacher pleinement à la tête, c'est-à-dire avoir des nerfs qui fonctionnent bien. C’est alors qu’il peut recevoir la vitalité.
De façon générale, c’est en ces termes que l’on peut définir l’attachement d’un ‘Hassid à son Rabbi et c’est de cette manière que celui-ci obtient la satisfaction de tous ses besoins, matériels et spirituels.
Le temps ne me permet pas de développer cette analyse, mais j’ai bon espoir que ce qui a été dit sera suffisant. Si vous vous posez des questions sur ce qui vient d’être dit, vous me les communiquerez et, lorsque je disposerai de temps libre, je m’efforcerai d’y répondre.
Vous trouverez ci-joint le fascicule édité à l’occasion du 18 Elloul.
Et, je conclus en vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne et douce année,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Voir, à ce propos, les additifs de Keter Chem Tov, paru aux éditions Kehot en 5733-1963, à la page 52.
(2) Qui est passive, mais de la première manière, en enseignant effectivement.
(3) L’équivalent américain du Talmud Torah français.
(4) "Tu reviendras dans la miséricorde", dans la Amida, de même que les passages suivants.
(5) "Fais-la germer promptement".
(6) "A Ton retour à Tsion, dans la miséricorde".
(7) Que D.ieu.
(8) De son vivant.
(9) Le purgatoire des âmes.
(10) Dans laquelle on fait "tourner" l’âme, après qu’elle ait quitté le corps, pour supprimer la trace des paroles inutiles qu’elle a prononcées, de son vivant.
17 Elloul 5710,
Au ‘Hassid, qui craint D.ieu, le Rav ...,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du premier jour de Roch ‘Hodech Elloul. J’ai appris avec satisfaction que vous avez terminé vos études, avez obtenu vos diplômes et que vous exercez déjà votre métier.
Vous savez que le Rambam, dans ses lois des opinions, explique longuement comment mettre en pratique le Précepte "en toutes tes voies, connais-Le". Il montre que, par chaque élément de sa vie, on doit pouvoir servir D.ieu. A n’en pas douter, si vous faites l’effort qui convient, vous trouverez le meilleur moyen de servir D.ieu sur la voie dans laquelle vous vous êtes engagée.
Vous me dites que, durant votre voyage, vous avez rencontré des Juifs orthodoxes et tiré un enseignement de leur comportement. C’est une très bonne chose et, de fait, la Michna dit: "Qui est le sage? Celui qui apprend de chacun". Et vous trouverez, dans les mémoires de mon beau-père, le Rabbi, le commentaire du Baal Chem Tov sur cette sentence(1).
Néanmoins, tout cela n’est pas suffisant. Car, un homme doit, certes, apprendre, mais aussi enseigner aux autres. Il est différentes manières de le faire, ou bien en dispensant un enseignement, au sens le plus littéral, c'est-à-dire en parlant aux autres et en leur montrant le comportement droit, dans le service de D.ieu comme dans les relations entre les hommes. Ce peut être aussi en leur montrant un exemple, par son propre comportement, en particulier par son étude de la Torah et sa pratique des Mitsvot.
Ainsi, si l’on voit un homme qui adopte toujours un bon comportement, on dira: "Voyez telle personne, qui a une attitude digne d’un Juif. Chacun doit donc l’imiter". Je souhaite qu’avec le temps, il en soit ainsi pour vous, et non uniquement de la seconde manière(2).
Ainsi, vous dites, dans votre lettre, que vous enseignez à l’école du dimanche(3) et travaillez dans une compagnie juive. Vous enseignerez donc encore plus activement, en exerçant directement une influence positive sur les autres, en les conduisant à étudier la Torah, en étant pénétrés de crainte de D.ieu et en accomplissant les Mitsvot.
Vous me dites qu’il vous est difficile de transformer votre personnalité. Je ne comprends pas exactement ce que vous voulez dire. Faites-vous allusion à vos relations avec les autres personnes ou à autre chose? Vous préciserez sûrement vos propos, la prochaine fois.
Vous m’écrivez aussi que vous êtes surpris par la politique du monde, en relation avec la venue du Machia’h. Là encore, vous ne m’expliquez pas clairement ce qui fait l’objet de votre étonnement. Vous vous rappelez sans doute de notre conversation, lorsque vous étiez ici. Nous disions que le Saint béni soit-Il n’a rien créé d’inutile dans le monde. Cela est vrai également des événements qui s’y déroulent et de la manière de les interpréter.
Ainsi, si cela était nécessaire au service de D.ieu, il y aurait sûrement des personnes qui prédiraient l’avenir, afin de rendre ce service plus aisé. Si l’on ne trouve pas de telles personnes, c’est donc que l’on attend de nous ce service, même si nous ne savons pas à l’avance ce qui va se passer.
Il y a deux mois environ, j’ai déjà dit qu’à mon avis, il n’y aura pas de guerre, dans les prochains mois. Il n’y a donc pas lieu d’avoir peur et chacun peut se consacrer à ses occupations, comme à l’accoutumée. Il importe uniquement de mener à bien la mission pour laquelle son âme est descendue dans ce monde. Pour y parvenir, il faut étudier la Torah et accomplir les Mitsvot, comme l’explique la ‘Hassidout.
Lorsque quelqu’un a eu le mérite de se voir confier une mission par mon beau-père, le Rabbi, il doit être clair pour lui que celle-ci fait partie du rôle dévolu à son âme, ici-bas.
Pour reprendre ce dont nous avons parlé il y a quelques temps, lorsque vous m’avez posé plusieurs questions à propos d’Erets Israël, il est sans doute maintenant évident pour vous, puisque le Saint béni soit-Il l’a montré aux Juifs sans ambiguïté, que cela n’est pas la délivrance tant attendue. Il l’explique avec bonté et miséricorde, afin que l’on sache qu’il n’y a là qu’une faible part du salut.
Pour différentes raisons, nous n’avons pas encore obtenu la délivrance qui nous a été annoncée par nos prophètes et pour laquelle nous prions chaque jour en disant "et à Jérusalem, Ta ville(4)", "La pousse de David Ton serviteur(5)", "Que nos yeux assistent(6)".
Mais, avant de dire "et à Jérusalem, Ta ville", nous proclamons d’abord: "Et nous n’aurons jamais honte, car nous avons placé notre espoir en Toi". Avant de dire "Que nos yeux assistent", nous affirmons: "Père miséricordieux, prends-nous en pitié".
Ainsi, il est clair que la délivrance viendra de D.ieu Lui-même, qu’elle est liée à la Torah et aux Mitsvot, comme l’expliquent nos Sages, dans différents textes, dont voici quelques références: "Israël sera délivré uniquement lorsqu’il accédera à la Techouva", "Israël sera délivré seulement par la Tsédaka". Chaque Juif et chaque Juive doivent savoir que toutes leurs bonnes actions hâtent la rédemption, la fin de l’exil et de l’obscurité, rapprochent la délivrance complète et véritable, par notre juste Machia’h.
C’est donc le seul moyen d’obtenir la délivrance d’Israël et Moché, notre maître, l’a dit lui-même au peuple juif, il y a plus de trois mille ans. Il l’a même longuement consigné, dans la Torah de D.ieu, à la Parchat Nitsavim, au chapitre 30.
Vous m’avez demandé de mentionner votre nom près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi et c’est ce que je ferais. Mais, vous dites que vous ne comprenez pas cette pratique. Néanmoins, lorsque vous mangez, buvez ou dormez, je suppose que vous ne réfléchissez pas, au préalable, à l’effet que ceci peut avoir sur votre corps et sur votre âme. Or, vous faites ces actions, bien que vous ne les compreniez pas. Il peut donc en être de même, dans ce domaine.
Vous dites que cette manière d’agir s’apparente à une conversation avec les morts, ce qu’à D.ieu ne plaise, que l’on s’adresse alors à quelqu’un d’autre(7), que D.ieu nous en garde. Vous comprenez sans doute que ce n’est nullement le cas. Vous savez que Kalev, fils d’Ifouné, des Sages de la Michna et de la Guemara, des Justes de différentes époques ont agi de la sorte.
Je répondrai brièvement à votre question. Lorsque l’on venait demander une bénédiction au Rabbi(8), on ne s’adressait pas à lui du fait de la supériorité de son corps, mais bien à cause de l’élévation de son âme. Or, la mort atteint uniquement le corps, car l’âme est éternelle. Celle du Juste, en particulier, ne peut connaître le Guehénom(9) ou la fronde(10). Pour elle, la mort ne peut donc être qu’une élévation, qu’une ascension vers un stade plus élevé. Mais, ce Juste n’est pas un "mort", ce qu’à D.ieu ne plaise. C’est ce qu’explique le Zohar, tome 3, page 71.
Vous prétendez également que l’on s’adresse à quelqu’un d’autre(7). Je vous expliquerai brièvement que ce n’est nullement le cas. En effet,
A) On demande, au Juste, dans sa grande perfection, d’intercéder en faveur de celui qui le sollicite auprès du Roi, Roi des rois, le Saint béni soit-Il.
B) Il fait aussi introduire un autre point. Chaque ‘Hassid, attaché au Rabbi, possède une âme qui est une parcelle de celle du Juste, laquelle possède un caractère collectif, est comparée à la tête par rapport à toutes ces âmes individuelles, comme le dit le second chapitre du Tanya. Chaque membre du corps reçoit sa vitalité de l’âme. Mais, celle-ci se révèle tout d’abord dans le cerveau et dans la tête. C’est ensuite seulement qu’elle véhicule à chaque membre la vitalité dont il a besoin.
Or, il en est de même pour la relation entre un ‘Hassid et son Rabbi. La tête, qui est saine et forte, possède la vitalité qui convient à chaque membre du corps. Pour que ce dernier soit également sain, il doit s’attacher pleinement à la tête, c'est-à-dire avoir des nerfs qui fonctionnent bien. C’est alors qu’il peut recevoir la vitalité.
De façon générale, c’est en ces termes que l’on peut définir l’attachement d’un ‘Hassid à son Rabbi et c’est de cette manière que celui-ci obtient la satisfaction de tous ses besoins, matériels et spirituels.
Le temps ne me permet pas de développer cette analyse, mais j’ai bon espoir que ce qui a été dit sera suffisant. Si vous vous posez des questions sur ce qui vient d’être dit, vous me les communiquerez et, lorsque je disposerai de temps libre, je m’efforcerai d’y répondre.
Vous trouverez ci-joint le fascicule édité à l’occasion du 18 Elloul.
Et, je conclus en vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne et douce année,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Voir, à ce propos, les additifs de Keter Chem Tov, paru aux éditions Kehot en 5733-1963, à la page 52.
(2) Qui est passive, mais de la première manière, en enseignant effectivement.
(3) L’équivalent américain du Talmud Torah français.
(4) "Tu reviendras dans la miséricorde", dans la Amida, de même que les passages suivants.
(5) "Fais-la germer promptement".
(6) "A Ton retour à Tsion, dans la miséricorde".
(7) Que D.ieu.
(8) De son vivant.
(9) Le purgatoire des âmes.
(10) Dans laquelle on fait "tourner" l’âme, après qu’elle ait quitté le corps, pour supprimer la trace des paroles inutiles qu’elle a prononcées, de son vivant.