Lettre n° 7458
Par la grâce de D.ieu,
2 Mar’hechvan 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du saint Chabbat Parchat Noa’h, avec ce qui y était joint. Bien entendu, vous-même et votre épouse ne devez pas quitter l’endroit où vous vous trouvez actuellement, puisque vous y gagnez votre vie, au sens littéral et dans le domaine spirituel. D.ieu merci et avec Son aide, vous et vos enfants avez réussi à diffuser le Judaïsme et les sources(1) autour de vous, dans votre ville, mais vous n’êtes encore qu’au milieu de cette action. En conséquence, dans la joie et l’enthousiasme, vous poursuivrez tout cela, en particulier par l’intermédiaire de l’association des femmes et jeunes filles ‘Habad. Comme on l’explique à propos du don de la Torah, il fut dit, tout d’abord, “ voici ce que tu diras à la maison de Yaakov ”, c’est-à-dire aux femmes et, seulement après cela, “ tu parleras aux enfants d’Israël ”, aux hommes. C’est grâce à cela que la Torah se perpétue et D.ieu vous accordera la réussite d’en donner de bonnes nouvelles.
Nous venons de vivre le mois de Tichri, qui a une portée générale, concernant toute l’année. Il s’agit donc de poursuivre son contenu et ses actions tout au long de l’année. Bien plus, sa conclusion est la joie de la Mitsva, le “ temps de notre joie ”(2), en général et la joie de la Torah, à Sim’hat Torah, en particulier. Avec mes respects et ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Comme on le sait, on a l’habitude de ne pas retarder la date d’un mariage, après qu’elle ait été fixée, surtout quand il n’y a aucune raison de le faire. Si ce mariage implique des dépenses importantes, il serait bon d’envisager qu’il ait lieu dans l’endroit où vous résidez. Cela présentera différents avantages.
Notes
(1) De la ‘Hassidout.
(2) La fête de Soukkot.
(3) Voir les Iguerot Kodech de l’Admour Hazaken, à la lettre n°89, le Bitaon ‘Habad n°38-39, note 4 et, plus bas, la lettre n°7496.
2 Mar’hechvan 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du saint Chabbat Parchat Noa’h, avec ce qui y était joint. Bien entendu, vous-même et votre épouse ne devez pas quitter l’endroit où vous vous trouvez actuellement, puisque vous y gagnez votre vie, au sens littéral et dans le domaine spirituel. D.ieu merci et avec Son aide, vous et vos enfants avez réussi à diffuser le Judaïsme et les sources(1) autour de vous, dans votre ville, mais vous n’êtes encore qu’au milieu de cette action. En conséquence, dans la joie et l’enthousiasme, vous poursuivrez tout cela, en particulier par l’intermédiaire de l’association des femmes et jeunes filles ‘Habad. Comme on l’explique à propos du don de la Torah, il fut dit, tout d’abord, “ voici ce que tu diras à la maison de Yaakov ”, c’est-à-dire aux femmes et, seulement après cela, “ tu parleras aux enfants d’Israël ”, aux hommes. C’est grâce à cela que la Torah se perpétue et D.ieu vous accordera la réussite d’en donner de bonnes nouvelles.
Nous venons de vivre le mois de Tichri, qui a une portée générale, concernant toute l’année. Il s’agit donc de poursuivre son contenu et ses actions tout au long de l’année. Bien plus, sa conclusion est la joie de la Mitsva, le “ temps de notre joie ”(2), en général et la joie de la Torah, à Sim’hat Torah, en particulier. Avec mes respects et ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Comme on le sait, on a l’habitude de ne pas retarder la date d’un mariage, après qu’elle ait été fixée, surtout quand il n’y a aucune raison de le faire. Si ce mariage implique des dépenses importantes, il serait bon d’envisager qu’il ait lieu dans l’endroit où vous résidez. Cela présentera différents avantages.
Notes
(1) De la ‘Hassidout.
(2) La fête de Soukkot.
(3) Voir les Iguerot Kodech de l’Admour Hazaken, à la lettre n°89, le Bitaon ‘Habad n°38-39, note 4 et, plus bas, la lettre n°7496.