Lettre n° 7496
Par la grâce de D.ieu,
6 Kislev 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 3 Kislev, dans laquelle vous me relatez l’événement malencontreux qui s’est passé dans la famille de votre fiancée(1). De ce fait, vous vous demandez si le mariage doit, malgré tout, être célébré à la date qui avait été fixée. Je suis très surpris que vous soyez dans le doute, à propos de ce qui a été clairement établi par les Décisionnaires et vous faites vous-même état, dans votre lettre, de la décision d’un Rav, tranchant la Hala’ha, selon laquelle le mariage doit avoir lieu.
Il faut ajouter à cela que, selon la coutume juive, on ne retarde pas la date d’un mariage(2). Or, une coutume juive est partie intégrante de la Torah, surtout en la matière. C’est bien évident. En un moment propice, vos noms seront mentionnés près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à votre demande. J’ai bon espoir que, non seulement vous ne retarderez pas la date du mariage que vous citez dans votre lettre, mais qu’en outre, vous l’avancerez, dans toute la mesure du possible et pour différentes raisons. Puisse D.ieu faire qu’il soit célébré en un moment bon et fructueux. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Qui a perdu sa grand-mère paternelle.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°7458.
6 Kislev 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 3 Kislev, dans laquelle vous me relatez l’événement malencontreux qui s’est passé dans la famille de votre fiancée(1). De ce fait, vous vous demandez si le mariage doit, malgré tout, être célébré à la date qui avait été fixée. Je suis très surpris que vous soyez dans le doute, à propos de ce qui a été clairement établi par les Décisionnaires et vous faites vous-même état, dans votre lettre, de la décision d’un Rav, tranchant la Hala’ha, selon laquelle le mariage doit avoir lieu.
Il faut ajouter à cela que, selon la coutume juive, on ne retarde pas la date d’un mariage(2). Or, une coutume juive est partie intégrante de la Torah, surtout en la matière. C’est bien évident. En un moment propice, vos noms seront mentionnés près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à votre demande. J’ai bon espoir que, non seulement vous ne retarderez pas la date du mariage que vous citez dans votre lettre, mais qu’en outre, vous l’avancerez, dans toute la mesure du possible et pour différentes raisons. Puisse D.ieu faire qu’il soit célébré en un moment bon et fructueux. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Qui a perdu sa grand-mère paternelle.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°7458.