Lettre n° 7523
Par la grâce de D.ieu,
29 Kislev 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre de la veille des jours de ‘Hanouka et je commencerai par évoquer ce qui est dit au début de votre lettre. Je vous remercie pour ce que vous m’écrivez à propos de la réunion ‘hassidique du jour de la bonne nouvelle, la date propice du 19 Kislev, à Kfar ‘Habad, fondé et dirigé par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Ce que vous m’avez écrit m’a procuré satisfaction et plaisir. J’espère, je prie pour que l’impression que vous garderez de cette réunion soit conforme à son objectif, ce qui veut dire qu’elle exercera un effet pour ce qui concerne le Judaïsme, la Torah et ses Mitsvot, jusque dans l’existence quotidienne, tout au long de l’année.
Vous me faites part des avis divergents émis par les médecins, à propos du traitement qui convient à votre épouse. Vous savez que, quand on est dans le doute concernant une intervention chirurgicale, il est préférable de s’abstenir. Celui qui guérit toute chair et accomplit des miracles la guérira donc. Il la renforcera de la manière qui convient et Il exaucera le souhait de vos cœurs(1). Vous faites également allusion à une nouvelle maison. Il est clair que cela est bon et judicieux. En effet, conformément à la coutume et au dicton d’Israël, partie intégrante de la Torah, “ celui qui change d’endroit change de Mazal, pour le bien et pour la bénédiction ”. Bien plus, nos Sages affirment clairement qu’il en est ainsi. Néanmoins, votre épouse doit accepter le principe de ce déménagement(2) de son plein gré et sans subir la moindre pression. C’est à cette condition qu’il sera positif. Il ne faut donc pas exercer de pression sur elle. Bien au contraire, vous lui expliquerez tout cela, une première fois, puis une seconde.
En un moment propice, on mentionnera votre nom et tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela, de même que, bien évidemment, du renforcement du Judaïsme, de sa diffusion et, en particulier, de l’objectif profond, la diffusion des sources(3) jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour un joyeux ‘Hanouka,
Notes
(1) Vraisemblablement celui d’avoir un enfant.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°7015 et 7590.
(3) De la ‘Hassidout.
29 Kislev 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre de la veille des jours de ‘Hanouka et je commencerai par évoquer ce qui est dit au début de votre lettre. Je vous remercie pour ce que vous m’écrivez à propos de la réunion ‘hassidique du jour de la bonne nouvelle, la date propice du 19 Kislev, à Kfar ‘Habad, fondé et dirigé par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Ce que vous m’avez écrit m’a procuré satisfaction et plaisir. J’espère, je prie pour que l’impression que vous garderez de cette réunion soit conforme à son objectif, ce qui veut dire qu’elle exercera un effet pour ce qui concerne le Judaïsme, la Torah et ses Mitsvot, jusque dans l’existence quotidienne, tout au long de l’année.
Vous me faites part des avis divergents émis par les médecins, à propos du traitement qui convient à votre épouse. Vous savez que, quand on est dans le doute concernant une intervention chirurgicale, il est préférable de s’abstenir. Celui qui guérit toute chair et accomplit des miracles la guérira donc. Il la renforcera de la manière qui convient et Il exaucera le souhait de vos cœurs(1). Vous faites également allusion à une nouvelle maison. Il est clair que cela est bon et judicieux. En effet, conformément à la coutume et au dicton d’Israël, partie intégrante de la Torah, “ celui qui change d’endroit change de Mazal, pour le bien et pour la bénédiction ”. Bien plus, nos Sages affirment clairement qu’il en est ainsi. Néanmoins, votre épouse doit accepter le principe de ce déménagement(2) de son plein gré et sans subir la moindre pression. C’est à cette condition qu’il sera positif. Il ne faut donc pas exercer de pression sur elle. Bien au contraire, vous lui expliquerez tout cela, une première fois, puis une seconde.
En un moment propice, on mentionnera votre nom et tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela, de même que, bien évidemment, du renforcement du Judaïsme, de sa diffusion et, en particulier, de l’objectif profond, la diffusion des sources(3) jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour un joyeux ‘Hanouka,
Notes
(1) Vraisemblablement celui d’avoir un enfant.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°7015 et 7590.
(3) De la ‘Hassidout.