Lettre n° 7549
Par la grâce de D.ieu,
21 Tévet 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites que le Bar Mitsva s’apprête à lire publiquement toute la Paracha. Vous connaissez l’avis qui a toujours été le mien, à ce propos. En notre génération, on a malheureusement rendu essentiel ce qui est accessoire et vice versa. En l’occurrence, pour se préparer à accepter le joug de la Torah et des Mitsvot, on réduit l’étude des bases et des fondements, des lois dont l’application est quotidienne, pour les remplacer par ce qui, en tout état de cause, n’est pas primordial(1).
Autre point, qui est essentiel également, une telle manière de pratiquer n’a jamais existé. Certes, nos Sages disent que “ quand on parvient dans une ville, on en adopte les usages ”. Pour autant, il existe, dans chaque ville, de nombreux usages(2). C’est bien évident. Bien entendu, il n’y a là qu’une proposition, qu’une remarque, afin que vous reconsidériez tout cela encore une fois, pour vous demander si cette pratique est bien justifiée. Puisse D.ieu faire qu’en tout état de cause, la décision que vous prendrez soit pour le bien(3).
Notes
(1) En l’occurrence, le fait de lire la Torah, au jour de sa Bar Mitsva, avec la nécessité de préparer cette lecture qui en résulte. Le temps consacré à cette préparation est nécessairement sur le compte d’autres activités.
(2) Que l’on n’adopte pas tous. Dès lors, pourquoi précisément celui-là ?
(3) Voir, à la suite de cela, la lettre n°7564.
21 Tévet 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me dites que le Bar Mitsva s’apprête à lire publiquement toute la Paracha. Vous connaissez l’avis qui a toujours été le mien, à ce propos. En notre génération, on a malheureusement rendu essentiel ce qui est accessoire et vice versa. En l’occurrence, pour se préparer à accepter le joug de la Torah et des Mitsvot, on réduit l’étude des bases et des fondements, des lois dont l’application est quotidienne, pour les remplacer par ce qui, en tout état de cause, n’est pas primordial(1).
Autre point, qui est essentiel également, une telle manière de pratiquer n’a jamais existé. Certes, nos Sages disent que “ quand on parvient dans une ville, on en adopte les usages ”. Pour autant, il existe, dans chaque ville, de nombreux usages(2). C’est bien évident. Bien entendu, il n’y a là qu’une proposition, qu’une remarque, afin que vous reconsidériez tout cela encore une fois, pour vous demander si cette pratique est bien justifiée. Puisse D.ieu faire qu’en tout état de cause, la décision que vous prendrez soit pour le bien(3).
Notes
(1) En l’occurrence, le fait de lire la Torah, au jour de sa Bar Mitsva, avec la nécessité de préparer cette lecture qui en résulte. Le temps consacré à cette préparation est nécessairement sur le compte d’autres activités.
(2) Que l’on n’adopte pas tous. Dès lors, pourquoi précisément celui-là ?
(3) Voir, à la suite de cela, la lettre n°7564.