Lettre n° 7557
Par la grâce de D.ieu,
3 Chevat 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la fin Tévet. En un moment propice, on mentionnera votre nom et celui de votre épouse près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément au contenu de votre lettre. Tout comme vous m’avez transmis cette requête, D.ieu fasse que vous m’en donniez également de bonnes nouvelles.
Vous évoquez les progrès de la médecine, aux Etats-Unis. De façon générale, les médecins se trouvant ici et ceux de Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, travaillent en étroite collaboration. Les uns savent ce que font les autres. Toutefois, il est parfois bon d’interroger spécifiquement le médecin que l’on consulte sur les progrès qui sont faits en dehors d’Erets Israël et surtout aux Etats-Unis, conformément à l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ Ce qui n’incombe pas à l’homme… ”(1).
Vous envisagez un déménagement à Tel Aviv. Il ne me semble pas que ce soit une bonne initiative, au moins pour l’heure. Vous me dites que votre appartement vous évoque des souvenirs(2). Néanmoins, il est possible d’en changer le mobilier, ou bien la répartition des pièces. En outre, il serait judicieux, dans la mesure du possible, qu’il y ait, de temps à autre, un cours de Torah dans votre appartement, au moins réunissant quelques personnes. Celui-ci portera sur la partie révélée de la Torah ou bien sur sa dimension profonde, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Il peut aussi porter sur les deux à la fois. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction pour donner ces bonnes nouvelles,
Notes
(1) Celui-ci n’y pense pas. En l’occurrence, le médecin ne pensera peut-être pas à un nouveau traitement, s’il n’est pas spécifiquement interrogé, à ce sujet.
(2) Désagréables, du fait d’un événement malencontreux qui s’y est passé, d’où le désir de déménager.
3 Chevat 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la fin Tévet. En un moment propice, on mentionnera votre nom et celui de votre épouse près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément au contenu de votre lettre. Tout comme vous m’avez transmis cette requête, D.ieu fasse que vous m’en donniez également de bonnes nouvelles.
Vous évoquez les progrès de la médecine, aux Etats-Unis. De façon générale, les médecins se trouvant ici et ceux de Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, travaillent en étroite collaboration. Les uns savent ce que font les autres. Toutefois, il est parfois bon d’interroger spécifiquement le médecin que l’on consulte sur les progrès qui sont faits en dehors d’Erets Israël et surtout aux Etats-Unis, conformément à l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ Ce qui n’incombe pas à l’homme… ”(1).
Vous envisagez un déménagement à Tel Aviv. Il ne me semble pas que ce soit une bonne initiative, au moins pour l’heure. Vous me dites que votre appartement vous évoque des souvenirs(2). Néanmoins, il est possible d’en changer le mobilier, ou bien la répartition des pièces. En outre, il serait judicieux, dans la mesure du possible, qu’il y ait, de temps à autre, un cours de Torah dans votre appartement, au moins réunissant quelques personnes. Celui-ci portera sur la partie révélée de la Torah ou bien sur sa dimension profonde, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Il peut aussi porter sur les deux à la fois. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction pour donner ces bonnes nouvelles,
Notes
(1) Celui-ci n’y pense pas. En l’occurrence, le médecin ne pensera peut-être pas à un nouveau traitement, s’il n’est pas spécifiquement interrogé, à ce sujet.
(2) Désagréables, du fait d’un événement malencontreux qui s’y est passé, d’où le désir de déménager.