Lettre n° 7579
[27 Chevat 5721]
Je fais réponse à votre lettre. Il existe un nombre incalculable d’enseignements de nos Sages et même de décisions hala’hiques, concrètement applicables, qui ont été énoncés par nos Sages parce qu’ils ont recherché, avec soin, le bien des femmes juives, en tout ce qui concerne le mariage et la vie de couple. Ils se sont, en particulier, souciés de la femme Agouna(1). Si, malgré cela, il existe une situation dans laquelle la Torah ne permet pas le remariage de cette femme Agouna, il va, bien évidemment, à l’encontre de la logique première d’introduire une réforme en ce sens, selon les conceptions de telle personne.
Car, de deux choses l’une, ou bien cet homme change une décision de la Torah et il considère donc qu’il est supérieur à elle. Dès lors, quelle valeur pourrait avoir une telle Torah ou une Injonction qu’elle émettrait ? Ou encore, l’homme a-t-il conscience de la vérité, sait que la Torah vient du ciel. Dès lors, comment la rationalité limitée des hommes pourrait-elle modifier une décision du Créateur, Qui est infini et sans aucune commune mesure ? Comment pourrait-elle affirmer que telle Loi est justifiée, alors que telle autre ne l’est pas ? C’est dans cette catégorie qu’il faut ranger les propositions qui ont été totalement rejetées par les Grands des générations précédentes. De même, l’association des Rabbanim, ici(2), compte des centaines de Rabbanim qui, avec ardeur, ont consacré la majeure partie de leurs années à la Torah. Or, ils interdisent une telle pratique(3).
J’espère que, de temps à autre, vous augmentez votre engagement pour la Torah et les Mitsvot, conformément à l’Injonction selon laquelle on s’élève dans le domaine de la sainteté. Et, rien ne résiste à la volonté. Je vous joins un extrait de la causerie du 10 Chevat(4). Il vous intéressera sûrement et vous vous en servirez de la manière qui convient.
Notes
(1) Dont le mari a disparu et qui ne peut donc pas se remarier.
(2) Aux Etats-Unis.
(3) Ne permettent pas ce remariage.
(4) Voir, à ce sujet, la lettre n°7567.
Je fais réponse à votre lettre. Il existe un nombre incalculable d’enseignements de nos Sages et même de décisions hala’hiques, concrètement applicables, qui ont été énoncés par nos Sages parce qu’ils ont recherché, avec soin, le bien des femmes juives, en tout ce qui concerne le mariage et la vie de couple. Ils se sont, en particulier, souciés de la femme Agouna(1). Si, malgré cela, il existe une situation dans laquelle la Torah ne permet pas le remariage de cette femme Agouna, il va, bien évidemment, à l’encontre de la logique première d’introduire une réforme en ce sens, selon les conceptions de telle personne.
Car, de deux choses l’une, ou bien cet homme change une décision de la Torah et il considère donc qu’il est supérieur à elle. Dès lors, quelle valeur pourrait avoir une telle Torah ou une Injonction qu’elle émettrait ? Ou encore, l’homme a-t-il conscience de la vérité, sait que la Torah vient du ciel. Dès lors, comment la rationalité limitée des hommes pourrait-elle modifier une décision du Créateur, Qui est infini et sans aucune commune mesure ? Comment pourrait-elle affirmer que telle Loi est justifiée, alors que telle autre ne l’est pas ? C’est dans cette catégorie qu’il faut ranger les propositions qui ont été totalement rejetées par les Grands des générations précédentes. De même, l’association des Rabbanim, ici(2), compte des centaines de Rabbanim qui, avec ardeur, ont consacré la majeure partie de leurs années à la Torah. Or, ils interdisent une telle pratique(3).
J’espère que, de temps à autre, vous augmentez votre engagement pour la Torah et les Mitsvot, conformément à l’Injonction selon laquelle on s’élève dans le domaine de la sainteté. Et, rien ne résiste à la volonté. Je vous joins un extrait de la causerie du 10 Chevat(4). Il vous intéressera sûrement et vous vous en servirez de la manière qui convient.
Notes
(1) Dont le mari a disparu et qui ne peut donc pas se remarier.
(2) Aux Etats-Unis.
(3) Ne permettent pas ce remariage.
(4) Voir, à ce sujet, la lettre n°7567.