Lettre n° 7592
Par la grâce de D.ieu,
8 Adar 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 3 Adar, mois pendant lequel on multiplie sa joie, de même que celles qui l’ont précédée. Vous faites référence à ce qui concerne la Yechiva. Tout comme vous avez pu observer les merveilles de D.ieu, de par le passé, lorsque nos maîtres et chefs ont invoqué Sa miséricorde, je suis profondément convaincu qu’il en sera de même à l’avenir. Bien plus, on sait que le commencement est toujours difficile, comme on l’a dit et combien plus en sera-t-il donc ainsi(1), alors que l’on connaît l’élévation dans la sainteté, d’une année sur l’autre.
Puisse(2) D.ieu faire que chacun agisse en ce sens, avec une joie véritable. Selon les termes de l’Admour Hazaken, dans son Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, chapitre 529, au paragraphe 12, la joie que la Torah ordonne “ n’est pas l’attrait du vin, en pensant que plus l’on en prend, plus l’on accomplit la Mitsva de la joie. Car, l’Injonction que nous avons reçue porte sur la joie du service du Créateur de toute chose ”. Vous consulterez ce texte. Certes, la joie de Pourim est différente, se manifestant “ jusqu’à ne plus savoir ”(3). Il n’en est pas de même, en revanche, pour la joie de la fête, à laquelle cette référence du Choul’han Arou’h fait allusion. Leur point commun est, en revanche, le suivant. Cette joie(4) doit également permettre le service du Créateur, même si elle n’est pas limitée, comme l’explique la ‘Hassidout dans les discours de Pourim.
J’espère que vous vous servirez de votre capacité, dans toute la mesure du possible, pour être attiré par le “ vin de la Torah ”. Différents textes de ‘Hassidout expliquent que cette expression fait allusion aux secrets de la Torah, à sa dimension profonde, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Comme on l’a dit, celle-ci sera diffusée sans limite. Puisse D.ieu faire que vous vous y employiez avec joie et enthousiasme. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour un joyeux Pourim,
Notes
(1) On pourra observer ces merveilles.
(2) A partir de ce paragraphe, une même lettre a été adressée à plusieurs personnes.
(3) “ faire la différence entre ‘maudit soit Haman’ et ‘béni soit Morde’haï’ ”.
(4) Celle de Pourim.
8 Adar 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 3 Adar, mois pendant lequel on multiplie sa joie, de même que celles qui l’ont précédée. Vous faites référence à ce qui concerne la Yechiva. Tout comme vous avez pu observer les merveilles de D.ieu, de par le passé, lorsque nos maîtres et chefs ont invoqué Sa miséricorde, je suis profondément convaincu qu’il en sera de même à l’avenir. Bien plus, on sait que le commencement est toujours difficile, comme on l’a dit et combien plus en sera-t-il donc ainsi(1), alors que l’on connaît l’élévation dans la sainteté, d’une année sur l’autre.
Puisse(2) D.ieu faire que chacun agisse en ce sens, avec une joie véritable. Selon les termes de l’Admour Hazaken, dans son Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, chapitre 529, au paragraphe 12, la joie que la Torah ordonne “ n’est pas l’attrait du vin, en pensant que plus l’on en prend, plus l’on accomplit la Mitsva de la joie. Car, l’Injonction que nous avons reçue porte sur la joie du service du Créateur de toute chose ”. Vous consulterez ce texte. Certes, la joie de Pourim est différente, se manifestant “ jusqu’à ne plus savoir ”(3). Il n’en est pas de même, en revanche, pour la joie de la fête, à laquelle cette référence du Choul’han Arou’h fait allusion. Leur point commun est, en revanche, le suivant. Cette joie(4) doit également permettre le service du Créateur, même si elle n’est pas limitée, comme l’explique la ‘Hassidout dans les discours de Pourim.
J’espère que vous vous servirez de votre capacité, dans toute la mesure du possible, pour être attiré par le “ vin de la Torah ”. Différents textes de ‘Hassidout expliquent que cette expression fait allusion aux secrets de la Torah, à sa dimension profonde, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Comme on l’a dit, celle-ci sera diffusée sans limite. Puisse D.ieu faire que vous vous y employiez avec joie et enthousiasme. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour un joyeux Pourim,
Notes
(1) On pourra observer ces merveilles.
(2) A partir de ce paragraphe, une même lettre a été adressée à plusieurs personnes.
(3) “ faire la différence entre ‘maudit soit Haman’ et ‘béni soit Morde’haï’ ”.
(4) Celle de Pourim.