Lettre n° 7642
Par la grâce de D.ieu,
22 Iyar 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre du 17 Iyar et vous comprendrez ma surprise en constatant de quelle manière celle-ci est rédigée. En effet, vous considérez qu’une union avec une fille de nos frères, les Juifs séfarades(1) constitue une chute. Que D.ieu vous garde d’une telle conception ! Il est clair qu’il faut s’intéresser à une telle proposition.
B) On propose un parti à votre fils(2), alors que, pour l’heure, son frère, plus âgé, n’est pas encore fiancé. Néanmoins, ce dernier affirme qu’il ne s’en affectera pas et vous me demandez mon avis. Les derniers Décisionnaires se prononcent sur cette question. En effet, dès lors qu’ils atteignent l’âge de dix huit ans, il n’y a plus de priorité(3), d’autant qu’en l’occurrence, le frère plus âgé ne lui en voudra pas du tout. On peut donc penser, et cela est même probable, que ceci hâtera la bénédiction de D.ieu afin que le frère aîné trouve, à son tour, le partie qui lui convient.
Je suis très surpris que vous ne me disiez rien des actions que vous menez dans le but de diffuser les sources(4). Sans doute compléterez-vous tout cela dans votre prochain courrier, avec tout le détail nécessaire, d’autant que de telles actions multiplient et hâtent les bénédictions de D.ieu, en tous vos besoins. C’est bien évident. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, les lettres n°2350 et 4457.
(2) Voir, à ce sujet, les lettres n°5492 et 7264.
(3) Entre les frères.
(4) De la ‘Hassidout.
22 Iyar 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Après une interruption particulièrement longue, j’ai bien reçu votre lettre du 17 Iyar et vous comprendrez ma surprise en constatant de quelle manière celle-ci est rédigée. En effet, vous considérez qu’une union avec une fille de nos frères, les Juifs séfarades(1) constitue une chute. Que D.ieu vous garde d’une telle conception ! Il est clair qu’il faut s’intéresser à une telle proposition.
B) On propose un parti à votre fils(2), alors que, pour l’heure, son frère, plus âgé, n’est pas encore fiancé. Néanmoins, ce dernier affirme qu’il ne s’en affectera pas et vous me demandez mon avis. Les derniers Décisionnaires se prononcent sur cette question. En effet, dès lors qu’ils atteignent l’âge de dix huit ans, il n’y a plus de priorité(3), d’autant qu’en l’occurrence, le frère plus âgé ne lui en voudra pas du tout. On peut donc penser, et cela est même probable, que ceci hâtera la bénédiction de D.ieu afin que le frère aîné trouve, à son tour, le partie qui lui convient.
Je suis très surpris que vous ne me disiez rien des actions que vous menez dans le but de diffuser les sources(4). Sans doute compléterez-vous tout cela dans votre prochain courrier, avec tout le détail nécessaire, d’autant que de telles actions multiplient et hâtent les bénédictions de D.ieu, en tous vos besoins. C’est bien évident. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, les lettres n°2350 et 4457.
(2) Voir, à ce sujet, les lettres n°5492 et 7264.
(3) Entre les frères.
(4) De la ‘Hassidout.