Lettre n° 7644
Par la grâce de D.ieu,
24 Iyar 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Vous me demandez s’il existe des commentaires du Tanya. Pour l’heure, il n’y a pas de commentaire systématique, page par page. Néanmoins, il y a quelques années, le Tanya a été traduit en Yiddish et l’on prépare actuellement la publication de sa traduction anglaise. Il y a, en outre, certains passages qui en sont commentés. Ils ont été édités par mimographe et l’on peut les trouver chez les ‘Hassidim ‘Habad et leurs proches.
B) Vous me demandez où vous installer, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, à l’issue des études que vous menez actuellement. D’après ce que vous écrivez, vous les achèverez dans un an et demi. Il est donc trop tôt pour répondre à cette question. En effet, les conditions évoluent, en notre Terre Sainte, en particulier quand il s’agit de gagner sa vie de la manière que vous décrivez.
En fonction de ce que vous écrivez, j’ai bon espoir que, depuis que vous avez fait la connaissance de ‘Habad et rencontré ses hommes, vous vous êtes intéressé à l’étude de son enseignement. Si, comme vous le dites, il vous est difficile de comprendre le Tanya, vous aborderez, tout d’abord, sa troisième partie, Iguéret Ha Techouva. Puis, vous en apprendrez la seconde. Par la suite, vous étudierez le Kountrass Ou Mayan. Mais, avant tout, vous discuterez des notions que vous étudiez avec ceux qui les possèdent déjà. En effet, “ la Torah est acquise en s’attachant à des amis et en discutant avec les élèves ”. Et, c’est précisément à ce propos qu’il est dit : “ Celui qui te dit avoir fait des efforts, sans qu’ils aient été couronnés de succès, ne le crois pas ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
24 Iyar 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Vous me demandez s’il existe des commentaires du Tanya. Pour l’heure, il n’y a pas de commentaire systématique, page par page. Néanmoins, il y a quelques années, le Tanya a été traduit en Yiddish et l’on prépare actuellement la publication de sa traduction anglaise. Il y a, en outre, certains passages qui en sont commentés. Ils ont été édités par mimographe et l’on peut les trouver chez les ‘Hassidim ‘Habad et leurs proches.
B) Vous me demandez où vous installer, en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, à l’issue des études que vous menez actuellement. D’après ce que vous écrivez, vous les achèverez dans un an et demi. Il est donc trop tôt pour répondre à cette question. En effet, les conditions évoluent, en notre Terre Sainte, en particulier quand il s’agit de gagner sa vie de la manière que vous décrivez.
En fonction de ce que vous écrivez, j’ai bon espoir que, depuis que vous avez fait la connaissance de ‘Habad et rencontré ses hommes, vous vous êtes intéressé à l’étude de son enseignement. Si, comme vous le dites, il vous est difficile de comprendre le Tanya, vous aborderez, tout d’abord, sa troisième partie, Iguéret Ha Techouva. Puis, vous en apprendrez la seconde. Par la suite, vous étudierez le Kountrass Ou Mayan. Mais, avant tout, vous discuterez des notions que vous étudiez avec ceux qui les possèdent déjà. En effet, “ la Torah est acquise en s’attachant à des amis et en discutant avec les élèves ”. Et, c’est précisément à ce propos qu’il est dit : “ Celui qui te dit avoir fait des efforts, sans qu’ils aient été couronnés de succès, ne le crois pas ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,