Lettre n° 7655
Par la grâce de D.ieu,
1er Sivan 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 16 Iyar et vous comprendrez que je sois surpris par ce que vous me dites, à propos de votre faiblesse, en particulier pendant la période de l’Omer, au cours de laquelle on doit “ amasser ”(1) chaque jour. Comme on le sait, c’est la raison pour laquelle on ne dit pas(2) : “ c’est aujourd’hui le second jour ”, mais : “ C’est aujourd’hui deux jours ”. En effet, l’intégrité du premier jour doit alors être conservée. Or, il est nécessaire que cette Mitsva, au même titre que toutes les autres, révèle son contenu pour l’ensemble de l’année. C’est bien évident. Mais, “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec félonie envers Ses créatures ”. Il est donc certain qu’un homme a la force et le pouvoir d’accomplir tout cela. En outre, je suis surpris et peiné que vous ne me disiez rien de ce que vous avez fait pour trouver un bon parti, bien que telle soit votre habitude(3). Il s’agit pourtant, là encore, d’une Injonction clairement énoncée par notre Torah, Torah de vie. Bien plus, un autre point s’ajoute à tout cela, c’est une Mitsva dont on ne peut pas confier la pratique à quelqu’un d’autre !
En ce début du troisième mois(4), alors que commence le don de la Torah, comme l’explique le Torah Or, dans le discours ‘hassidique intitulé : “ Le troisième mois ” et dans les additifs, puisse D.ieu accorder une aide accrue en tout cela et dans tous les autres domaines pour lesquels l’aide de D.ieu vous est nécessaire, en fonction de ce que vous écrivez dans votre lettre. Et, vous en profiterez également pour vous fiancer immédiatement. Au final, tout ceci se réalisera et vous parviendrez à une conclusion, en un moment bon et fructueux. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et, selon les termes du maître, de mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah avec joie et d’une manière profonde,
Notes
(1) Des forces.
(2) En comptant l’Omer.
(3) De ne rien dire à ce propos.
(4) Celui de Sivan.
1er Sivan 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 16 Iyar et vous comprendrez que je sois surpris par ce que vous me dites, à propos de votre faiblesse, en particulier pendant la période de l’Omer, au cours de laquelle on doit “ amasser ”(1) chaque jour. Comme on le sait, c’est la raison pour laquelle on ne dit pas(2) : “ c’est aujourd’hui le second jour ”, mais : “ C’est aujourd’hui deux jours ”. En effet, l’intégrité du premier jour doit alors être conservée. Or, il est nécessaire que cette Mitsva, au même titre que toutes les autres, révèle son contenu pour l’ensemble de l’année. C’est bien évident. Mais, “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec félonie envers Ses créatures ”. Il est donc certain qu’un homme a la force et le pouvoir d’accomplir tout cela. En outre, je suis surpris et peiné que vous ne me disiez rien de ce que vous avez fait pour trouver un bon parti, bien que telle soit votre habitude(3). Il s’agit pourtant, là encore, d’une Injonction clairement énoncée par notre Torah, Torah de vie. Bien plus, un autre point s’ajoute à tout cela, c’est une Mitsva dont on ne peut pas confier la pratique à quelqu’un d’autre !
En ce début du troisième mois(4), alors que commence le don de la Torah, comme l’explique le Torah Or, dans le discours ‘hassidique intitulé : “ Le troisième mois ” et dans les additifs, puisse D.ieu accorder une aide accrue en tout cela et dans tous les autres domaines pour lesquels l’aide de D.ieu vous est nécessaire, en fonction de ce que vous écrivez dans votre lettre. Et, vous en profiterez également pour vous fiancer immédiatement. Au final, tout ceci se réalisera et vous parviendrez à une conclusion, en un moment bon et fructueux. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et, selon les termes du maître, de mon beau-père, le Rabbi, pour recevoir la Torah avec joie et d’une manière profonde,
Notes
(1) Des forces.
(2) En comptant l’Omer.
(3) De ne rien dire à ce propos.
(4) Celui de Sivan.