Lettre n° 7660
Par la grâce de D.ieu,
jours de limitation(1) 5721,
Brooklyn, New York,
Au distingué et agréable ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre aux besoins communautaires, aux comportements
généreux, issu d’une illustre famille, le Rav C. Z.(2),
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de Chavouot, temps du don de notre Torah, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous adresse ma bénédiction pour une joyeuse fête et, selon les termes du maître, de mon beau-père, le Rabbi, afin que vous receviez la Torah avec joie et d’une manière profonde. Avec mes respects et ma bénédiction,
Je vous joins la copie de la lettre que j’ai adressée à quelqu’un, à propos des élections(3), rédigée d’une manière plaisante. Il est absolument certain qu’à quelqu’un comme vous, il est inutile de rappeler qu’il n’existe, en la matière, aucune différence entre les partis(4), y compris les plus à gauche. En effet, leur situation a déjà été définie par le Rambam, à la fin du second chapitre de ses lois du divorce, en ces termes : “ Celui qui, victime de son mauvais penchant, a négligé une Mitsva ou a commis une faute, n’en désire pas moins rester un Juif, accomplir toutes les Mitsvot et s’éloigner de toutes les transgressions. Toutefois, il est victime de son mauvais penchant ”. Combien plus en est-il ainsi selon le dicton suivant de l’Admour Hazaken(5) : “ Un Juif ne veut pas et ne peut pas se détacher de D.ieu ”. Vous avez sûrement reçu, en leur temps, mes précédents courriers.
Notes
(1) Qui précèdent la fête de Chavouot.
(2) Chnéor Zalman Shazar. Voir, à son sujet, la lettre n°7475.
(3) Il s’agit de la lettre précédente.
(4) M. Shazar appartenait au parti travailliste et le docteur Burg, au parti national religieux.
(5) Voir, à ce sujet, la lettre n°7053.
jours de limitation(1) 5721,
Brooklyn, New York,
Au distingué et agréable ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre aux besoins communautaires, aux comportements
généreux, issu d’une illustre famille, le Rav C. Z.(2),
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête de Chavouot, temps du don de notre Torah, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, je vous adresse ma bénédiction pour une joyeuse fête et, selon les termes du maître, de mon beau-père, le Rabbi, afin que vous receviez la Torah avec joie et d’une manière profonde. Avec mes respects et ma bénédiction,
Je vous joins la copie de la lettre que j’ai adressée à quelqu’un, à propos des élections(3), rédigée d’une manière plaisante. Il est absolument certain qu’à quelqu’un comme vous, il est inutile de rappeler qu’il n’existe, en la matière, aucune différence entre les partis(4), y compris les plus à gauche. En effet, leur situation a déjà été définie par le Rambam, à la fin du second chapitre de ses lois du divorce, en ces termes : “ Celui qui, victime de son mauvais penchant, a négligé une Mitsva ou a commis une faute, n’en désire pas moins rester un Juif, accomplir toutes les Mitsvot et s’éloigner de toutes les transgressions. Toutefois, il est victime de son mauvais penchant ”. Combien plus en est-il ainsi selon le dicton suivant de l’Admour Hazaken(5) : “ Un Juif ne veut pas et ne peut pas se détacher de D.ieu ”. Vous avez sûrement reçu, en leur temps, mes précédents courriers.
Notes
(1) Qui précèdent la fête de Chavouot.
(2) Chnéor Zalman Shazar. Voir, à son sujet, la lettre n°7475.
(3) Il s’agit de la lettre précédente.
(4) M. Shazar appartenait au parti travailliste et le docteur Burg, au parti national religieux.
(5) Voir, à ce sujet, la lettre n°7053.