Lettre n° 7671
Par la grâce de D.ieu,
15 Sivan 5721,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue(1),
J’ai bien reçu votre lettre du 21 Iyar. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de votre fils près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. A la place de la douleur et de la peine, D.ieu vous ajoutera des bénédictions en tous vos besoins, au sein de tous les enfants d’Israël qui se trouvent, pour l’heure, dans tous les endroits de l’exil. Prochainement, ceux-ci mériteront la réalisation de toutes les promesses, de sorte que : “ Et, tu diras, ce jour-là : Je Te rends grâce, Eternel, car Tu m’as réprimandé. Ta colère se calmera et Tu me consolera ”. Un verset ne peut pas être départi de son sens simple. Il faut en conclure que l’on remerciera D.ieu également pour les réprimandes(2), même si, à l’heure actuelle, on ne le comprend pas, par sa logique. Néanmoins, comment l’intellect pourrait-il s’en prendre et se dresser contre la foi pure, animant chaque Juif, qui est un “ croyant, fils de croyant ” ?
Je vous joins un extrait de ce qui a été dit aux jeunes filles ‘Habad(3). Bien entendu, ces propos concernent toutes les femmes et les jeunes filles juives, combien plus les descendantes des plus anciens ‘Hassidim ‘Habad. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Car on en comprendra alors la dimension positive.
(3) Voir le Likouteï Si’hot, tome 2, à la page 550.
15 Sivan 5721,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue(1),
J’ai bien reçu votre lettre du 21 Iyar. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de votre fils près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. A la place de la douleur et de la peine, D.ieu vous ajoutera des bénédictions en tous vos besoins, au sein de tous les enfants d’Israël qui se trouvent, pour l’heure, dans tous les endroits de l’exil. Prochainement, ceux-ci mériteront la réalisation de toutes les promesses, de sorte que : “ Et, tu diras, ce jour-là : Je Te rends grâce, Eternel, car Tu m’as réprimandé. Ta colère se calmera et Tu me consolera ”. Un verset ne peut pas être départi de son sens simple. Il faut en conclure que l’on remerciera D.ieu également pour les réprimandes(2), même si, à l’heure actuelle, on ne le comprend pas, par sa logique. Néanmoins, comment l’intellect pourrait-il s’en prendre et se dresser contre la foi pure, animant chaque Juif, qui est un “ croyant, fils de croyant ” ?
Je vous joins un extrait de ce qui a été dit aux jeunes filles ‘Habad(3). Bien entendu, ces propos concernent toutes les femmes et les jeunes filles juives, combien plus les descendantes des plus anciens ‘Hassidim ‘Habad. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Car on en comprendra alors la dimension positive.
(3) Voir le Likouteï Si’hot, tome 2, à la page 550.