Lettre n° 7682
Par la grâce de D.ieu,
27 Sivan 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 20 Sivan, dans laquelle vous me décrivez l’état de santé de votre fils, auquel D.ieu accordera de longs jours et de bonnes années. Vous me communiquez également l’avis des médecins. Selon la manière dont vous le formulez, bien que vous ne le disiez pas clairement, il semble qu’aucun de ces médecins n’envisage, pour l’heure, un traitement sérieux, par exemple une intervention chirurgicale, pas même pour clarifier la situation. Il est bien clair qu’une telle éventualité doit être exclue, compte tenu de l’âge de l’enfant. Tout ceci n’ayant pas d’incidence concrète(1), un homme doit, selon la conception de notre Torah, Torah de vie, être ferme en sa confiance en D.ieu, Qui “ guérit toute chair et accomplit des merveilles ”, être certain que tout ira en s’améliorant.
Néanmoins, il convient, à mon sens, de suggérer aux médecins que la cause de son état pourrait être le rétrécissement d’une artère pulmonaire. Si c’est effectivement le cas, le traitement pourra être mécanique, sans risque pour lui, ce qu’à D.ieu ne plaise et ne pouvant donc lui faire que du bien. Il devra faire des mouvements respiratoires et du cou à un rythme un peu plus rapide, un peu plus soutenu(2). Lorsque l’on entraîne les membres à leur fonctionnement, ceci les raffermit et les développe et l’on peut penser qu’il en sera de même, en l’occurrence. J’ai bien dit : “ un peu plus rapide ”, ce qui supprime tous les risques(3). Bien entendu, il appartiendra au médecin de décider les mouvements qui conviennent. Il dira aussi si l’on doit se servir d’une machine ou bien si on le fera à la main. Peut-être faut-il interroger, en la matière, des infirmières qui ont acquis une expérience dans l’exercice physique.
Il serait bon de faire vérifier vos Tefillin, si cela n’a pas été fait au cours des douze derniers mois. Et, votre épouse gardera l’usage positif des femmes juives vertueuses, qui consiste à prélever de la Tsedaka avant l’allumage des bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. De même, il serait bon de vérifier si votre union n’a pas eu pour effet un manque de respect pour un Juif ou une Juive(4), auquel il faudrait présenter des excuses, selon la Hala’ha. Tout est effet de la divine Providence(5) et j’ai donc le devoir, qui est également un mérite, de vous souligner la nécessité de fixer un temps pour l’étude de la partie profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Cette étude sera quotidienne et elle sera accrue le Chabbat, qui est saint pour D.ieu. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Puisqu’aucun traitement, aucune opération ne sont prescrits.
(2) Que la normale.
(3) Quand on exclut une accélération indésirable.
(4) Avec qui le mari ou la femme se serait fiancé ou aurait promis de le faire.
(5) Y compris le fait que cette bénédiction ait été demandé précisément au Rabbi.
27 Sivan 5721,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 20 Sivan, dans laquelle vous me décrivez l’état de santé de votre fils, auquel D.ieu accordera de longs jours et de bonnes années. Vous me communiquez également l’avis des médecins. Selon la manière dont vous le formulez, bien que vous ne le disiez pas clairement, il semble qu’aucun de ces médecins n’envisage, pour l’heure, un traitement sérieux, par exemple une intervention chirurgicale, pas même pour clarifier la situation. Il est bien clair qu’une telle éventualité doit être exclue, compte tenu de l’âge de l’enfant. Tout ceci n’ayant pas d’incidence concrète(1), un homme doit, selon la conception de notre Torah, Torah de vie, être ferme en sa confiance en D.ieu, Qui “ guérit toute chair et accomplit des merveilles ”, être certain que tout ira en s’améliorant.
Néanmoins, il convient, à mon sens, de suggérer aux médecins que la cause de son état pourrait être le rétrécissement d’une artère pulmonaire. Si c’est effectivement le cas, le traitement pourra être mécanique, sans risque pour lui, ce qu’à D.ieu ne plaise et ne pouvant donc lui faire que du bien. Il devra faire des mouvements respiratoires et du cou à un rythme un peu plus rapide, un peu plus soutenu(2). Lorsque l’on entraîne les membres à leur fonctionnement, ceci les raffermit et les développe et l’on peut penser qu’il en sera de même, en l’occurrence. J’ai bien dit : “ un peu plus rapide ”, ce qui supprime tous les risques(3). Bien entendu, il appartiendra au médecin de décider les mouvements qui conviennent. Il dira aussi si l’on doit se servir d’une machine ou bien si on le fera à la main. Peut-être faut-il interroger, en la matière, des infirmières qui ont acquis une expérience dans l’exercice physique.
Il serait bon de faire vérifier vos Tefillin, si cela n’a pas été fait au cours des douze derniers mois. Et, votre épouse gardera l’usage positif des femmes juives vertueuses, qui consiste à prélever de la Tsedaka avant l’allumage des bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. De même, il serait bon de vérifier si votre union n’a pas eu pour effet un manque de respect pour un Juif ou une Juive(4), auquel il faudrait présenter des excuses, selon la Hala’ha. Tout est effet de la divine Providence(5) et j’ai donc le devoir, qui est également un mérite, de vous souligner la nécessité de fixer un temps pour l’étude de la partie profonde de la Torah, laquelle, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout. Cette étude sera quotidienne et elle sera accrue le Chabbat, qui est saint pour D.ieu. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Puisqu’aucun traitement, aucune opération ne sont prescrits.
(2) Que la normale.
(3) Quand on exclut une accélération indésirable.
(4) Avec qui le mari ou la femme se serait fiancé ou aurait promis de le faire.
(5) Y compris le fait que cette bénédiction ait été demandé précisément au Rabbi.